La Chute de l’Étoile Noire sur la lune forestière d'Endor aura provoqué une cataclysme pire que celui qui a anéanti les dinosaures sur le Terre il y a 65 millions d'années. Les Ewoks ont tous été anéantis.
Source : https://www.facebook.com/techinsider/videos/458321087699586/?fref=nf
One of the most persistent theories in the Star Wars universe may have some grounding in reality. We asked Astrophysicist Dave Minton about the 'Endor Holocaust', the fan theory that the exploding Death Star would have annihilated the moon forest of Endor at the end of 'Return of the Jedi'. It turns out to be far worse than anyone expected.
Source : https://youtu.be/XWTXFuIBatk
Texte en incrustation sur la vidéo
Scientists say blowing up the Death Star would have had a catastrophic result.
Instead of seeing ths [happiness of Ewoks] at the end of "Return of the Jedi", we should have seen ths [forest in fire].
People have theorized about an "Endor Holocaust" for years.
We now have proof.
In a new paper, astrophysicist Dave Minton analyzed the fallout from blowing up the Death Star.
Judging from the way the Death Star explodes, very little of the debris would vaporize or scatter and it wouldn't be moving fast enough to stay in orbit.
The falling ball of rubble would strike Endor.
At more than 6,000 mph.
This would create a 434-mile-wide crater.
4 times larger than the one left by the asteroid that helped wide out the dinosaurs.
And this on a moon only 15% the size of Earth.
Everything on the surface of Endor would be obliterated.
"The Ewoks are dead. All of them", concludes Minton.
The atmosphere would heat up so much that every body of water would flash into steam.
And every forest would ignite, creating a global firestorm.
It looks like the Dark Side wins again.
samedi 16 avril 2016
mercredi 13 avril 2016
lundi 4 avril 2016
Fondation et Empire (extrait du roman d'Isaac Asimov)
La planète-ruban Radole est citée dans l'extrait ci-dessous :
Source : http://mreadz.com/read30016/p34
VI
Lorsque les vingt-sept mondes marchands indépendants, unis
seulement par la méfiance que leur inspire la mère planète de la
Fondation, décident de siéger en assemblée – et que chacun est gonflé
d’un orgueil né de sa petitesse, durci par son isolement et exacerbé par
le danger constant – il faut passer par des négociations préliminaires
dont la mesquinerie suffit à navrer les plus persévérants.
Il ne suffit pas de fixer par avance des détails tels que les méthodes de vote et le genre de représentation : par monde ou par population. Ce sont des questions d’une importance politique complexe. Il ne suffit pas non plus de fixer les problèmes de priorité, aussi bien à la table du Conseil qu’à celle du dîner. Ce sont des problèmes d’une importance sociale non moins compliquée.
Il fallait prévoir le lieu de la réunion. Et, en fin de compte, les routes tortueuses de la diplomatie aboutirent au monde de Radole, que certains commentateurs avaient proposé dès le début, pour la raison logique qu’il occupait une position centrale.
Radole était un petit monde et, en tant que puissance militaire, peut-être le plus faible des vingt-sept. C’était encore un autre facteur qui avait présidé à ce choix.
C’était un monde-ruban, et un des rares à être habité. Un monde, autrement dit, où les deux faces affrontent constamment une chaleur ou un froid extrême, tandis que la région où la vie est possible se situe sur l’étroit ruban de la zone crépusculaire.
Un tel monde semble toujours peu accueillant à ceux qui ne l’ont pas expérimenté, mais il existe des endroits, stratégiquement disposés, où fleurit la vie, et la ville de Radole était justement bâtie à l’un de ces endroits.
Elle s’étendait sur les douces pentes des collines, avant les montagnes déchiquetées qui bordaient l’hémisphère froid et arrêtaient la redoutable glace. L’air sec et chaud de la moitié ensoleillée se répandait jusque-là et l’on faisait venir l’eau des montagnes : entre les deux, Radole était un perpétuel jardin, baignant dans l’éternel matin d’un éternel mois de juin.
Radole était donc à sa façon une petite oasis de douceur et de luxe sur une horrible planète, un petit coin d’Eden – et c’était là aussi un facteur intervenant dans la logique du choix.
Les étrangers arrivaient de chacun des vingt-six autres inondes marchands : délégués, épouses, secrétaires, journalistes, astronefs et équipages ; la population de Radole doubla presque, ce qui puisa jusqu’aux limites mêmes des ressources de la ville. On mangeait, on buvait à volonté et on ne dormait pas.
Rares pourtant étaient ceux, parmi les fêtards, qui ne se rendaient pas compte que toute cette partie de la Galaxie se consumait lentement dans une sorte de guerre latente. Et parmi ceux qui s’en rendaient compte, il y avait trois catégories. D’abord ceux, nombreux, qui ne savaient pas grand-chose et qui parlaient beaucoup…
Ainsi le jeune pilote de l’espace qui portait sur sa casquette la cocarde de Port, et qui était parvenu, en gardant ses lunettes devant ses yeux, à attirer le regard légèrement souriant de la jeune Radolienne assise en face de lui.
« Nous avons traversé la zone des opérations pour venir ici, disait-il. Nous avons parcouru environ une minute-lumière au point mort, juste après Horleggor…
— Horleggor ! fit un indigène aux jambes longues qui se trouvait être l’hôte dans cette réunion. C’est là où le Mulet a pris une raclée la semaine dernière, n’est-ce pas ?
— Où avez-vous entendu que le Mulet s’était fait ramasser ? demanda le pilote d’un ton hautain.
— A la radio de la Fondation.
— Ah oui ? Eh bien, le Mulet a bel et bien pris Horleggor. Nous avons failli tomber sur un convoi de ses astronefs, et c’est de là qu’ils venaient. Ça ne s’appelle pas une raclée, quand on reste là où on s’est battu et que celui qui vous a soi-disant administré la raclée décampe aussitôt.
— Il ne faut pas parler comme ça, dit quelqu’un d’une voix un peu pâteuse. La Fondation commence toujours par trinquer quelque temps. Vous n’avez qu’à attendre la suite. La vieille Fondation sait quand il faut riposter. Et alors… vlan !
— En tout cas, dit le pilote après un bref silence, comme je le disais, nous avons vu les astronefs du Mulet, et ils m’ont paru rudement bien ; je vais même vous dire : ils avaient l’air neufs.
— Neufs ? fit l’indigène d’un ton songeur. Ils les construisent eux-mêmes ? » Il arracha une feuille d’une branche au-dessus de sa tête, la huma délicatement, puis se mit à mâcher les fibres qui répandaient une douce odeur de menthe. » Vous voulez dire qu’ils ont battu les appareils de la Fondation avec des astronefs de leur propre fabrication ? Allons donc !
— On les a vus, mon vieux, et je sais reconnaître un astronef d’une comète.
— Vous savez ce que je crois ? fit l’indigène en se penchant vers lui. Ne vous faites pas d’illusions. Les guerres ne commencent pas toutes seules, [...]
Source : http://mreadz.com/read30016/p34
VI
Lorsque les vingt-sept mondes marchands indépendants, unis
seulement par la méfiance que leur inspire la mère planète de la
Fondation, décident de siéger en assemblée – et que chacun est gonflé
d’un orgueil né de sa petitesse, durci par son isolement et exacerbé par
le danger constant – il faut passer par des négociations préliminaires
dont la mesquinerie suffit à navrer les plus persévérants.Il ne suffit pas de fixer par avance des détails tels que les méthodes de vote et le genre de représentation : par monde ou par population. Ce sont des questions d’une importance politique complexe. Il ne suffit pas non plus de fixer les problèmes de priorité, aussi bien à la table du Conseil qu’à celle du dîner. Ce sont des problèmes d’une importance sociale non moins compliquée.
Il fallait prévoir le lieu de la réunion. Et, en fin de compte, les routes tortueuses de la diplomatie aboutirent au monde de Radole, que certains commentateurs avaient proposé dès le début, pour la raison logique qu’il occupait une position centrale.
Radole était un petit monde et, en tant que puissance militaire, peut-être le plus faible des vingt-sept. C’était encore un autre facteur qui avait présidé à ce choix.
C’était un monde-ruban, et un des rares à être habité. Un monde, autrement dit, où les deux faces affrontent constamment une chaleur ou un froid extrême, tandis que la région où la vie est possible se situe sur l’étroit ruban de la zone crépusculaire.
Un tel monde semble toujours peu accueillant à ceux qui ne l’ont pas expérimenté, mais il existe des endroits, stratégiquement disposés, où fleurit la vie, et la ville de Radole était justement bâtie à l’un de ces endroits.
Elle s’étendait sur les douces pentes des collines, avant les montagnes déchiquetées qui bordaient l’hémisphère froid et arrêtaient la redoutable glace. L’air sec et chaud de la moitié ensoleillée se répandait jusque-là et l’on faisait venir l’eau des montagnes : entre les deux, Radole était un perpétuel jardin, baignant dans l’éternel matin d’un éternel mois de juin.
Radole était donc à sa façon une petite oasis de douceur et de luxe sur une horrible planète, un petit coin d’Eden – et c’était là aussi un facteur intervenant dans la logique du choix.
Les étrangers arrivaient de chacun des vingt-six autres inondes marchands : délégués, épouses, secrétaires, journalistes, astronefs et équipages ; la population de Radole doubla presque, ce qui puisa jusqu’aux limites mêmes des ressources de la ville. On mangeait, on buvait à volonté et on ne dormait pas.
Rares pourtant étaient ceux, parmi les fêtards, qui ne se rendaient pas compte que toute cette partie de la Galaxie se consumait lentement dans une sorte de guerre latente. Et parmi ceux qui s’en rendaient compte, il y avait trois catégories. D’abord ceux, nombreux, qui ne savaient pas grand-chose et qui parlaient beaucoup…
Ainsi le jeune pilote de l’espace qui portait sur sa casquette la cocarde de Port, et qui était parvenu, en gardant ses lunettes devant ses yeux, à attirer le regard légèrement souriant de la jeune Radolienne assise en face de lui.
« Nous avons traversé la zone des opérations pour venir ici, disait-il. Nous avons parcouru environ une minute-lumière au point mort, juste après Horleggor…
— Horleggor ! fit un indigène aux jambes longues qui se trouvait être l’hôte dans cette réunion. C’est là où le Mulet a pris une raclée la semaine dernière, n’est-ce pas ?
— Où avez-vous entendu que le Mulet s’était fait ramasser ? demanda le pilote d’un ton hautain.
— A la radio de la Fondation.
— Ah oui ? Eh bien, le Mulet a bel et bien pris Horleggor. Nous avons failli tomber sur un convoi de ses astronefs, et c’est de là qu’ils venaient. Ça ne s’appelle pas une raclée, quand on reste là où on s’est battu et que celui qui vous a soi-disant administré la raclée décampe aussitôt.
— Il ne faut pas parler comme ça, dit quelqu’un d’une voix un peu pâteuse. La Fondation commence toujours par trinquer quelque temps. Vous n’avez qu’à attendre la suite. La vieille Fondation sait quand il faut riposter. Et alors… vlan !
— En tout cas, dit le pilote après un bref silence, comme je le disais, nous avons vu les astronefs du Mulet, et ils m’ont paru rudement bien ; je vais même vous dire : ils avaient l’air neufs.
— Neufs ? fit l’indigène d’un ton songeur. Ils les construisent eux-mêmes ? » Il arracha une feuille d’une branche au-dessus de sa tête, la huma délicatement, puis se mit à mâcher les fibres qui répandaient une douce odeur de menthe. » Vous voulez dire qu’ils ont battu les appareils de la Fondation avec des astronefs de leur propre fabrication ? Allons donc !
— On les a vus, mon vieux, et je sais reconnaître un astronef d’une comète.
— Vous savez ce que je crois ? fit l’indigène en se penchant vers lui. Ne vous faites pas d’illusions. Les guerres ne commencent pas toutes seules, [...]
Practical Planetology, pour Spelljammer!
Practical planetology! Un supplément pour Spelljammer, écrit par Nigel Findley,
auteur de jeux de rôles prolifique, qui a également pondu dans cette
gamme Greyspace et Skulls & Crossbows, mais que les amateurs
connaissent pour sa prose sur Earthdawn ou Shadowrun. Supplément de 68
pages qui s’attache à offrir d’autres planètes que les très classiques
mondes du Triangle radiant. Les nouvelles planètes sont classées selon
la classification élémentaire traditionnelle dans Spelljammer; Mondes
telluriques, mondes gazeux, pyrétiques et aquatiques.
Le premier monde décrit est de type
tellurique, sensiblement plus gros que notre bonne vieille Terre avec sa
Taille E, il s’appelle Comporelon, c’est une planète à
forte activité volcanique et peuplée par… Des dinosaures! Oui je sais,
une sorte de paradis pour MD, et où les pjs devront s’attendre à se
crasher-la-faute-aux-dés, à chaque début de campagne. Oui, c’est comme
ça! Accessoirement, quelques tribus nomades évoluent entre les coulées
de magma, ce sont les Ai’ir, dans le supplément des humanoïdes-humains à
peau blanche, mais j’ai préféré en faire des sauriens de différentes
ethnies primitives avec des traditions animistes.
Les descriptions du monde suivant sont à l’opposées; Falx
est une planète morte et froide, avec zéro activité géologique et une
dense couverture nuageuse, le jour est une pénombre perpétuelle, et la
concentration de gaz entraîne une plus grande fatigue parmi les espèces
humanoïdes. Son écosystème biologique se trouve dans l’épaisse croûte
planétaire enserrant un noyau plus petit que la moyenne, ce qui implique
un champs magnétique moindre (pas de boussole). Le monde souterrain de
Falx et dominé par les Illithids, j’en ai fait une Grande Enclave
dissidente et dissimulée, attendant son heure en lançant des raids dans
l’Espace sauvage.
Armistice est un autre
monde tellurique froid, caractérisé par une gravité trois fois plus
importante que la norme. Le nom vient d’un ancien conflit qui opposa
Gobelinoïdes natifs de ce monde et elfes de l’Armada. Après une
sanglante bataille, l’Amiral Aldyn Leafbower accorda un cessez-le-feu à
ses adversaires, qui devint une armistice, en échange de quoi les
descendants des vaincus évolueraient en tant que Rampants.
La plus intéressante planète tellurique décrite dans Practical planetology reste encore Radole,
un monde semblable à Mercure,sans rotation et avec une face
continuellement exposée au soleil, et une autre plongée dans les ombres.
Difficile de s’y poser tranquillement pour refourguer de la verroterie
aux autochtones! Radole possède une bande équatoriale, le Ruban, où la
vie est possible. Des communautés vivent là et font du commerce, mais
l’intérêt de la planète réside dans le fait que cette bande habitable
semble avoir été aménagée de manière artificielle, par un peuple ancien.
Et donc… ruines mystérieuses, donjons piégés, écritures bizarroïdes et
autres joyeusetées!
Enfin, dernier des mondes telluriques décrits dans ce supplément: Bodi,
un monde forestier doté d’un anneau d’astéroïdes de glace. Classique
avec ses populations elfiques et alliées des elfes, la planète est
relativement petite, elle peut servir d’étape our des spelljammers de
gentils, mais également d’enjeu face à une flotte de méchants.
Les deux mondes de feu qui sont ensuite décrits, Ignia et Garrash,
sont des environnements extrêmes, peuplés pour le premier par quelques
efrits, et pour le second par des créatures géantes, les Zat. Les pjs
évitant traditionnellement ce type de planète, les descriptifs sont donc
réservés au plaisir du MD.
Viennent ensuite les mondes aquatiques, avec Thalassa,
une bulle liquide sans atmosphère, mais plutôt une enveloppe d’eau à
forte teneur en oxygène. Cette strate océanique supérieure est
clairement distinguée du reste de l’océan planétaire. Les profondeurs
sont le territoire de créatures géantes, et les communautés plus
développées se regroupent dans la bande extérieure, ce sont les
traditionnels Sahuagins et autres Nixies et Mermen.
Charon est un autre
monde-océan, qui s’avère être en réalité la lune liquide d’un monde
disparu,nommé Nex, et dont les habitants provoquèrent la destruction.
Les débris planétaires s’écrasèrent dans l’océan extrêmement salé et
toxique de Charon, formant des îles. Bon, rien qu’au nom de la planète,
les plus innocents des pjs comprendront qu’il y a quelque chose de
pourri dans le coin. Et en effet, les anciens sorciers de Nex ont
survécut au cataclysme, sous la forme de liches! Eh oui, c’est l’île de
Sahu du Book of Necromancers, étendue à l’échelle d’une planète!
Le dernier monde aquatique est plus classique, il s’appelle Barbuda
et abrite des esprits de l’Eau, des Coualt et des Sahuagins. C’est un
monde-océan avec des archipels mais très peu de lien avec les
populations de l’Espace sauvage.
Les mondes gazeux sont à mon sens les
plus intéressants pour le setting de Spelljammer. Même si les Rampants
seront peu nombreux à s’y développer, il existe mille et une idées pour
établir des colonies de natifs du Vide. Alabeth est un
monde géant divisé en strates nuageuses où les conditions atmosphériques
sont souvent diamétralement opposées. Des créatures géantes, en forme
de sac de gaz, servent d’îles à de nombreuses petites communautés,
tandis que des scavven maraudent sur d’autres niveaux. La planète est
chauffée par un noyau de Feu que bien peu de navires ont pu approcher.
La planète gazeuse suivante s’appelle Nubis,
elle est le territoire de nombreux dragons d’argent, et pour ceux qui
n’aiment pas, il y a également des communautés de géants des nuages et
des tempêtes. La discussion entre les pjs et les habitants peut donc
être très souvent brève. La planète se caractérise par les classiques
nuages solides, sur lesquels sont établis de nombreuses communautés.
Enfin, pour compléter les descriptions de
mondes pour Spelljammer, Practical planetology se penche sur des
planètes hors-classification. Nivil est la version
donjoneuse de l’Anneau monde, un cercle de métal entourant son soleil,
aux dimensions si vastes qu’il est possible d’y placer n’importe quel
idée. Les conditions de vie sont optimales, pour toutes les espèces,
seul petit problème; C’est la force centrifuge qui maintien une gravité à
la surface de l’anneau, approcher à bord d’un spelljammer est donc une
opération des plus complexes!
Torus est un tore, un
donut semblable à Sigil mais avec une plus luxuriante végétation, sans
démons ni célestes, bref, c’est plus sympa! La civilisation locale est
celle d’une ethnie centaurine particulièrement sociale et raffinée,
ayant des connaissances sur le spelljamming.
Plata est un disque
ayant la particularité de n’avoir qu’une face affectée par sa gravité.
C’est un monde où il est possible de rejouer Avatar (ou Pocahontas, même
scénario), en opposant les Chilterik, des aarakocra divisés en
nombreuses tribus, et des colons humanoïdes un peu belliqueux. Planète
classique en dehors de sa forme, donc.
Voilà pour Practical planetology. On y
puise ainsi quelques bonnes idées, en tout cas des setting prêts à
l’emploi pour des mini-campagnes ou des one-shot. Les descriptifs sont
suffisamment détaillés pour être employésdirectement, mais sont
suffisamment standards pour une adaptation à n’importe quelle campagne
Spelljammer.
dimanche 3 avril 2016
samedi 2 avril 2016
Who is Supreme Leader Snoke?
By:
Brandon Rhea
Everybody loves a good villain. Whether it’s Darth Vader, Darth Maul, or the Emperor himself, villains have a way of captivating us even when they scare us.
It’s no surprise, then, that new villains like Kylo Ren are capturing the imaginations of Star Wars fans across the globe. Even so, while Kylo may be the primary villainous character in The Force Awakens, he’s not the one in charge of the First Order.
Supreme Leader Snoke, portrayed through motion capture by Andy Serkis, is the shadowy figure who leads the resurgent Imperial forces, speaking to his underlings only through a massive holographic projection that makes him look dozens of feet larger than any mere human. His deformed face and ghastly demeanour suggest he could be ancient and incredibly powerful in the dark side of the Force — but beyond that, we know nothing about him.
That mystery is why fans have started theorizing who Supreme Leader Snoke could be. Here are a few of the best…
By far the most popular fan theory about Supreme Leader Snoke is that he’s secretly Darth Plagueis, the mysterious Sith Lord first referenced in Star Wars: Revenge of the Sith. Superfans know that Darth Plagueis was the master who trained Palpatine in the ways of the dark side. Palpatine later told Anakin Skywalker about “the tragedy of Darth Plagueis the Wise” in an effort to turn the young Jedi Knight to the dark side. After seeing visions of his wife, Padmé Amidala, dying in childbirth, the tales of Darth Plagueis learning to use the Force to keep the ones he cared for from dying were just too enticing for the conflicted Jedi hero. The non-canon Star Wars Legends novel Darth Plagueis, by popular series author James Luceno, later noted that it was Plagueis’s experimentation with the Force that led to Anakin’s conception as the Chosen One, as a way for the Force to fight back against the designs of the Sith.
So why do fans think Darth Plagueis could be Supreme Leader Snoke? Chatter about the theory started after it was announced that Andy Serkis would be playing the villainous leader using motion capture, and he was described as tall, thin, and ancient-looking.
Darth Plagueis was established as a Muun in Legends, and the look of the Muun certainly fits that description, though Serkis himself has been quick to say that Snoke is a new character. There were even rumors that Rey’s quarterstaff weapon was the staff of Darth Plagueis, also referenced in Luceno’s novel. In the film itself, Kylo Ren says that “the Supreme Leader is wise” — perhaps a reference to Darth Plagueis the Wise ?
While there’s not much evidence for this theory, I have to admit there’s something compelling about the idea of Palpatine’s master, spoken of only in legend, being the true architect of evil all along.
Fans who have played the MMORPG Star Wars: The Old Republic will be familiar with the Sith Emperor, once known as Vitiate and later known as Valkorion. Vitiate was a Sith Lord who lived during the time of the Great Hyperspace War, the first conflict between the Old Republic and the Sith Empire. The Sith lost and retreated into the unknown, but Vitiate rebuilt them over thousands of years to become an empire that could once again take on the Republic. The Emperor’s true goal, however, was to live forever and rule the galaxy, so his spirit spent millennia jumping from one host to another. During the Galactic War, his true designs were revealed: Unknown to most in the galaxy, he forged the Eternal Empire to defeat both the Republic and the Sith Empire that he had built, which would allow him to reshape the galaxy the way he wanted it to be.
The Old Republic is commonly accepted as a Legends storyline, so it’s doubtful we’ll see its primary villain revealed as Supreme Leader Snoke, but with the transmedia storytelling involved at Lucasfilm, it’s not entirely outside the realm of possibility. There have also been hints that Snoke has lived for a very long time and has seen everything that transpired during the previous six films, suggesting he could be ancient. In the novelization of The Force Awakens, Snoke tells Kylo Ren about how he watched the Empire rise and fall, and wants to create something stronger than the Empire ever was.
Between that and his decidedly ancient appearance, it’s possible that Snoke could be Plagueis or the Sith Emperor, but there’s one theory that I think is far more likely to be true…
Aftermath is part of the Journey to The Force Awakens series, so it seems unlikely that the story would introduce a detail like that only for it to never pay off. My guess is that Supreme Leader Snoke is from beyond the galaxy, perhaps from or influenced by the source of the dark side itself, and has been watching the galaxy for a long time. That would fit with Serkis saying that Snoke is a new character, and it would mean that the seeds for Snoke’s true nature have already been planted in the post-Return of the Jedi storyline.
Who do you think Supreme Leader Snoke is? Join the discussion on Wookieepedia, and visit our Star Warshub for all of the latest information about The Force Awakens!
Source : http://fandom.wikia.com/articles/who-is-supreme-leader-snoke
SPOILER ALERT: This feature contains major plot details for Star Wars: The Force Awakens!
It’s no surprise, then, that new villains like Kylo Ren are capturing the imaginations of Star Wars fans across the globe. Even so, while Kylo may be the primary villainous character in The Force Awakens, he’s not the one in charge of the First Order.
Supreme Leader Snoke, portrayed through motion capture by Andy Serkis, is the shadowy figure who leads the resurgent Imperial forces, speaking to his underlings only through a massive holographic projection that makes him look dozens of feet larger than any mere human. His deformed face and ghastly demeanour suggest he could be ancient and incredibly powerful in the dark side of the Force — but beyond that, we know nothing about him.
That mystery is why fans have started theorizing who Supreme Leader Snoke could be. Here are a few of the best…
Darth Plagueis
Darth Plagueis and the young Palpatine
By far the most popular fan theory about Supreme Leader Snoke is that he’s secretly Darth Plagueis, the mysterious Sith Lord first referenced in Star Wars: Revenge of the Sith. Superfans know that Darth Plagueis was the master who trained Palpatine in the ways of the dark side. Palpatine later told Anakin Skywalker about “the tragedy of Darth Plagueis the Wise” in an effort to turn the young Jedi Knight to the dark side. After seeing visions of his wife, Padmé Amidala, dying in childbirth, the tales of Darth Plagueis learning to use the Force to keep the ones he cared for from dying were just too enticing for the conflicted Jedi hero. The non-canon Star Wars Legends novel Darth Plagueis, by popular series author James Luceno, later noted that it was Plagueis’s experimentation with the Force that led to Anakin’s conception as the Chosen One, as a way for the Force to fight back against the designs of the Sith.
So why do fans think Darth Plagueis could be Supreme Leader Snoke? Chatter about the theory started after it was announced that Andy Serkis would be playing the villainous leader using motion capture, and he was described as tall, thin, and ancient-looking.
Darth Plagueis was established as a Muun in Legends, and the look of the Muun certainly fits that description, though Serkis himself has been quick to say that Snoke is a new character. There were even rumors that Rey’s quarterstaff weapon was the staff of Darth Plagueis, also referenced in Luceno’s novel. In the film itself, Kylo Ren says that “the Supreme Leader is wise” — perhaps a reference to Darth Plagueis the Wise ?
While there’s not much evidence for this theory, I have to admit there’s something compelling about the idea of Palpatine’s master, spoken of only in legend, being the true architect of evil all along.
The Sith Emperor
Dark Council
Fans who have played the MMORPG Star Wars: The Old Republic will be familiar with the Sith Emperor, once known as Vitiate and later known as Valkorion. Vitiate was a Sith Lord who lived during the time of the Great Hyperspace War, the first conflict between the Old Republic and the Sith Empire. The Sith lost and retreated into the unknown, but Vitiate rebuilt them over thousands of years to become an empire that could once again take on the Republic. The Emperor’s true goal, however, was to live forever and rule the galaxy, so his spirit spent millennia jumping from one host to another. During the Galactic War, his true designs were revealed: Unknown to most in the galaxy, he forged the Eternal Empire to defeat both the Republic and the Sith Empire that he had built, which would allow him to reshape the galaxy the way he wanted it to be.
The Old Republic is commonly accepted as a Legends storyline, so it’s doubtful we’ll see its primary villain revealed as Supreme Leader Snoke, but with the transmedia storytelling involved at Lucasfilm, it’s not entirely outside the realm of possibility. There have also been hints that Snoke has lived for a very long time and has seen everything that transpired during the previous six films, suggesting he could be ancient. In the novelization of The Force Awakens, Snoke tells Kylo Ren about how he watched the Empire rise and fall, and wants to create something stronger than the Empire ever was.
Between that and his decidedly ancient appearance, it’s possible that Snoke could be Plagueis or the Sith Emperor, but there’s one theory that I think is far more likely to be true…
A New Power From Beyond the Galaxy
The recent novel Aftermath, the first in a trilogy by Chuck Wendig, tells the story of what happened in the months after Star Wars: Return of the Jedi. During the story, the remaining Imperial fleet commanders gather on Akiva to discuss how the Empire should handle its defeat at Endor and the rise of the New Republic. One of the new characters introduced is Yupe Tashu, who served as an adviser to Emperor Palpatine. He was a dark side historian, though he could not use the Force himself, and believed strongly in the powers of the Force. He wanted to follow the teachings of the Emperor, and he recognized that the Sith had found strength in hiding in the shadows and then striking when the enemy least expected them to. He also said this:
“No Sith
remain. And the lone Jedi that exists—the son of Anakin
Skywalker—possesses an untouchable soul. At least for now. We must
instead move toward the dark side. Palpatine felt that the universe
beyond the edges of our maps was where his power came from. Over the
many years he, with our aid, sent men and women beyond known space. They
built labs and communication stations on distant moons, asteroids, out
there in the wilds. We must follow them. Retreat from the galaxy. Go out
beyond the veil of stars. We must seek the source of the dark side like
a man looking for a wellspring of water.”
Aftermath is part of the Journey to The Force Awakens series, so it seems unlikely that the story would introduce a detail like that only for it to never pay off. My guess is that Supreme Leader Snoke is from beyond the galaxy, perhaps from or influenced by the source of the dark side itself, and has been watching the galaxy for a long time. That would fit with Serkis saying that Snoke is a new character, and it would mean that the seeds for Snoke’s true nature have already been planted in the post-Return of the Jedi storyline.
Who do you think Supreme Leader Snoke is? Join the discussion on Wookieepedia, and visit our Star Warshub for all of the latest information about The Force Awakens!
Source : http://fandom.wikia.com/articles/who-is-supreme-leader-snoke
vendredi 1 avril 2016
Question d'échelle
Ordre de grandeur : kilomètre(s)
Dans la longue histoire des flottes stellaires de combat, peu de vaisseaux peuvent se vanter d'occuper dans l'imaginaire collectif une place aussi importante que les Destroyers Stellaires de Classe Impériale (1600m). Ces imposants mastodontes, qui symbolisent à eux seuls la toute-puissance du premier Empire Galactique né en l'an -19 (avant la Bataille de Yavin), n'auront eu besoin que de quelques années pour se faire connaître de tous les peuples de la galaxie, et pendant longtemps leur silhouette seule suffira à emplir d'effroi les pilotes les plus téméraires...
Ordre de grandeur : dizaine(s) de kilomètres
Ci-dessous, les vaisseaux les plus imposants des peuples (Amarr, Galente, Caldari et Minmatar) qui dominèrent la Galaxie peu avant la fondation de l'Empire Galactique, sur Prima, par Tortran le Bâtisseur. L'Avatar (le vaisseau amiral des Amaar, doré, en forme de masse elfique), par exemple, mesure 13816m.
Ordre de grandeur : centaine(s) de kilomètres
Comparés à la station spatiale cassemonde Etoile de la Mort (diamètre 160km), tous les vaisseaux longs de plusieurs kilomètres semblent bien dérisoires. Pourtant, on reconnaît parmi eux les vaisseaux amiraux des Amarr, des Galente et autres peuples d'EVE Online , les superdestroyers de l'Empire de Palpatine, les "Marteaux de Guerre" de l'Empereur de l'Humanité (plus tard associé à Osiris, gardien des esprits des défunts) et même, en bas à gauche, un long-courrier de la Guilde Spatiale. Les plus gros de ces engins oscillent pourtant entre 10 et 25 km de long !
Ci-dessous, l'Etoile de la Mort et l'Etoile Noire aux côtés de Haute Charité (du jeu Halo III), de l'Empire Covenant, avec ses 464 sur 348km.
C'est une prouesse technologique que de construire une "petite lune" artificielle, et d'y ajouter l'armement et de la propulsion qui vont avec.
C'est généralement un palier, un passage entre le niveau technologique "interstellaire" (NT5) et le niveau technologique "galactique" (NT6).
Ordre de grandeur : millier(s) de kilomètres
Au-delà de cette échelle (quelques centaines de kilomètres), on trouve des engins de la taille de planètes naines (comme Pluton). Sur l'image ci-dessous, on aperçoit Unicron (1000km de diamètre sans l'anneau artificiel et les excroissances pointues), le Tueur d'Etoile (1200km de diamètre) mis au point une trentaine d'années après la bataille de Yavin, la base des Zentraedi (1400km de haut), le vaisseau-mère des Boov (sphère bleutée de 1500km de diamètre), le tétraèdre vaisseau-mère des Gorgs (2000km de long), la roue Gaea (2000km de diamètre d'après l'image mais 1300km dans le roman) de la trilogie écrite par John Varley, Cybertron (3500km), et autres planétoïdes en haut à droite de l'image.
Cybertron (3500km de diamètre, soit quasiment de la même taille que la Lune) est la planète fictive d'où sont originaires les Transformers.
La Lune (satellite naturel de la Terre), avec ses 3474km de diamètre (parmi les plus grands pour une lune, aux côtés de Titan, Ganymède, Callisto, Io, Europe, Triton ...), apporte une échelle de grandeur pour estimer la taille du planétoïde artificiel Prima, capitale de l'Empire Galactique au 91ème siècle (représentée ci-dessous entourée de ses champs de force et anneaux artificiels défensifs).
Entièrement
creuse, Prima abrite, dans d’innombrables bureaux, appartements et
jardins d’agrément, un milliard de fonctionnaires de l’Empire. Prima
dépend pour sa survie de 24 mondes nourriciers contrôlés par l’Armée. Sa
défense est assurée par 12 lunes artificielles mobiles et 6 escadres
d’élite de la Flotte Impériale. Prima abrite une garnison de 800.000
Scorpionautes. L’économie de 500 systèmes stellaires est liée à la seule
proximité de Prima.
Ordre de grandeur : dizaine(s) de milliers de kilomètres
Sur le tableau de comparaison de tailles, ci-dessus, on aperçoit une portion d'un anneau de type Halo. Ces structures extraterrestres mesurent 10.000km de diamètre, 318km de large et 22,3km d'épaisseur. Elles ont été construites par les Précurseurs (Forerunners en anglais) qui en avaient précédemment bâti des plus grandes encore de 30.000km de diamètre. Les dimensions des Halo découvertes par les Humains sont du même ordre de grandeur que la planète Terre dont le diamètre est 12742 km en moyenne. L'humanité ne parviendra que tardivement à égaler puis dépasser nettement cette ancienne civilisation, en construisant ses propres Orbitales.
Ordre de grandeur : centaine(s) de milliers de kilomètres
La Grande Arche et l'Installation 00 ou Arche (Ark en anglais) dans Halo mesurent très exactement 127.530 km. Ces mégastructures ont fabriqué les Halos d'une dizaine de milliers de km (de 10.000 à 30.000km) qu'on peut trouver dans la Galaxie. La Grande Arche a été construite environ 106.000 ans avant J.-C. et a été détruite 97.000 ans avant J.-C. L'Arche ou Installation 00 existe encore et est située hors de la Voie Lactée, à 262144 années-lumière au-dessus du plan galactique.
Ordre de grandeur : million(s) de kilomètres
C'est un nouveau palier, un passage entre le niveau technologique "galactique" (NT6) et le niveau technologique "intergalactique" -ou "extragalactique"- (NT7).
Le diamètre moyen du Soleil (étoile jaune de type G) est 1.392.684km. Ce diamètre est exactement 109 fois plus grand que celui de la Terre (cf. le premier schéma ci-dessous). Le deuxième schéma montre que même l'orbite lunaire autour de la Terre serait largement incluse dans le volume sphérique du Soleil.
Le monde-vaisseau des Magogs mesure 1.500.000km de diamètre. Son volume total est du même ordre de grandeur que celui du Soleil. Il est composé d'une étoile naine M ou K (rouge ou orange probablement) et d'une dizaine ou vingtaine de mondes sphériques reliés entre eux.
Iain Banks décrit les Orbitales de la Culture comme des "bracelets de dieux" suspendus dans le vide intersidéral. Les orbitales sont des rubans circulaires constitués d'un matériau super-résistant (voir aussi unobtainium), dont la cohésion est encore renforcée par l'emploi de champs de force. Une Orbitale ressemble à un Halo, mais en beaucoup plus grand, et à un Anneau-monde, mais en beaucoup moins grand.
Au lieu d'encercler une étoile 'comme c'est le cas d'un Anneau), elle orbite autour de manière plus conventionnelle, faisant d'elle un système intrinsèquement beaucoup plus stable qu'un Anneau-monde. De nombreuses civilisations sont connues pour utiliser des Orbitales dont la taille est adaptée aux préférences de leurs constructeurs; les Orbitales de la Culture par exemple font environ dix millions de kilomètres de circonférence, pour un diamètre de 3 millions de km, avec une largeur allant de mille à six mille kilomètres, soit une surface de 20 à 120 fois celle de la Terre (de 10 à 60 milliards de km²).
Ordre de grandeur : dizaine(s) de millions de kilomètres
... pas d'artefact de référence ...
Ordre de grandeur : centaine(s) de millions de kilomètres
Sphères de Freeman Dyson (dite également "biosphère artificielle") et Anneau-Monde de Larry Niven possèdent un diamètre de 300.000.000km avec, au centre, une étoile semblable au Soleil ! Le rayon de ces structures (150 millions de km, soit une UA -pour "unité astronomique"-) correspond exactement à la distance moyenne entre la Terre et le Soleil.
Données techniques sur l’Anneau-Monde
Ci-dessous, les dimensions d'une Sphère de Dyson; surface habitable de soixante millions de fois celle de la Terre !
Dans la longue histoire des flottes stellaires de combat, peu de vaisseaux peuvent se vanter d'occuper dans l'imaginaire collectif une place aussi importante que les Destroyers Stellaires de Classe Impériale (1600m). Ces imposants mastodontes, qui symbolisent à eux seuls la toute-puissance du premier Empire Galactique né en l'an -19 (avant la Bataille de Yavin), n'auront eu besoin que de quelques années pour se faire connaître de tous les peuples de la galaxie, et pendant longtemps leur silhouette seule suffira à emplir d'effroi les pilotes les plus téméraires...
Ordre de grandeur : dizaine(s) de kilomètres
Ci-dessous, les vaisseaux les plus imposants des peuples (Amarr, Galente, Caldari et Minmatar) qui dominèrent la Galaxie peu avant la fondation de l'Empire Galactique, sur Prima, par Tortran le Bâtisseur. L'Avatar (le vaisseau amiral des Amaar, doré, en forme de masse elfique), par exemple, mesure 13816m.
Ordre de grandeur : centaine(s) de kilomètres
Comparés à la station spatiale cassemonde Etoile de la Mort (diamètre 160km), tous les vaisseaux longs de plusieurs kilomètres semblent bien dérisoires. Pourtant, on reconnaît parmi eux les vaisseaux amiraux des Amarr, des Galente et autres peuples d'EVE Online , les superdestroyers de l'Empire de Palpatine, les "Marteaux de Guerre" de l'Empereur de l'Humanité (plus tard associé à Osiris, gardien des esprits des défunts) et même, en bas à gauche, un long-courrier de la Guilde Spatiale. Les plus gros de ces engins oscillent pourtant entre 10 et 25 km de long !
Ci-dessous, l'Etoile de la Mort et l'Etoile Noire aux côtés de Haute Charité (du jeu Halo III), de l'Empire Covenant, avec ses 464 sur 348km.
C'est une prouesse technologique que de construire une "petite lune" artificielle, et d'y ajouter l'armement et de la propulsion qui vont avec.
C'est généralement un palier, un passage entre le niveau technologique "interstellaire" (NT5) et le niveau technologique "galactique" (NT6).
Ordre de grandeur : millier(s) de kilomètres
Au-delà de cette échelle (quelques centaines de kilomètres), on trouve des engins de la taille de planètes naines (comme Pluton). Sur l'image ci-dessous, on aperçoit Unicron (1000km de diamètre sans l'anneau artificiel et les excroissances pointues), le Tueur d'Etoile (1200km de diamètre) mis au point une trentaine d'années après la bataille de Yavin, la base des Zentraedi (1400km de haut), le vaisseau-mère des Boov (sphère bleutée de 1500km de diamètre), le tétraèdre vaisseau-mère des Gorgs (2000km de long), la roue Gaea (2000km de diamètre d'après l'image mais 1300km dans le roman) de la trilogie écrite par John Varley, Cybertron (3500km), et autres planétoïdes en haut à droite de l'image.
Cybertron (3500km de diamètre, soit quasiment de la même taille que la Lune) est la planète fictive d'où sont originaires les Transformers.
La Lune (satellite naturel de la Terre), avec ses 3474km de diamètre (parmi les plus grands pour une lune, aux côtés de Titan, Ganymède, Callisto, Io, Europe, Triton ...), apporte une échelle de grandeur pour estimer la taille du planétoïde artificiel Prima, capitale de l'Empire Galactique au 91ème siècle (représentée ci-dessous entourée de ses champs de force et anneaux artificiels défensifs).
Ordre de grandeur : dizaine(s) de milliers de kilomètres
Sur le tableau de comparaison de tailles, ci-dessus, on aperçoit une portion d'un anneau de type Halo. Ces structures extraterrestres mesurent 10.000km de diamètre, 318km de large et 22,3km d'épaisseur. Elles ont été construites par les Précurseurs (Forerunners en anglais) qui en avaient précédemment bâti des plus grandes encore de 30.000km de diamètre. Les dimensions des Halo découvertes par les Humains sont du même ordre de grandeur que la planète Terre dont le diamètre est 12742 km en moyenne. L'humanité ne parviendra que tardivement à égaler puis dépasser nettement cette ancienne civilisation, en construisant ses propres Orbitales.
Ordre de grandeur : centaine(s) de milliers de kilomètres
La Grande Arche et l'Installation 00 ou Arche (Ark en anglais) dans Halo mesurent très exactement 127.530 km. Ces mégastructures ont fabriqué les Halos d'une dizaine de milliers de km (de 10.000 à 30.000km) qu'on peut trouver dans la Galaxie. La Grande Arche a été construite environ 106.000 ans avant J.-C. et a été détruite 97.000 ans avant J.-C. L'Arche ou Installation 00 existe encore et est située hors de la Voie Lactée, à 262144 années-lumière au-dessus du plan galactique.
Ordre de grandeur : million(s) de kilomètres
C'est un nouveau palier, un passage entre le niveau technologique "galactique" (NT6) et le niveau technologique "intergalactique" -ou "extragalactique"- (NT7).
Le diamètre moyen du Soleil (étoile jaune de type G) est 1.392.684km. Ce diamètre est exactement 109 fois plus grand que celui de la Terre (cf. le premier schéma ci-dessous). Le deuxième schéma montre que même l'orbite lunaire autour de la Terre serait largement incluse dans le volume sphérique du Soleil.
Le monde-vaisseau des Magogs mesure 1.500.000km de diamètre. Son volume total est du même ordre de grandeur que celui du Soleil. Il est composé d'une étoile naine M ou K (rouge ou orange probablement) et d'une dizaine ou vingtaine de mondes sphériques reliés entre eux.
Iain Banks décrit les Orbitales de la Culture comme des "bracelets de dieux" suspendus dans le vide intersidéral. Les orbitales sont des rubans circulaires constitués d'un matériau super-résistant (voir aussi unobtainium), dont la cohésion est encore renforcée par l'emploi de champs de force. Une Orbitale ressemble à un Halo, mais en beaucoup plus grand, et à un Anneau-monde, mais en beaucoup moins grand.
Au lieu d'encercler une étoile 'comme c'est le cas d'un Anneau), elle orbite autour de manière plus conventionnelle, faisant d'elle un système intrinsèquement beaucoup plus stable qu'un Anneau-monde. De nombreuses civilisations sont connues pour utiliser des Orbitales dont la taille est adaptée aux préférences de leurs constructeurs; les Orbitales de la Culture par exemple font environ dix millions de kilomètres de circonférence, pour un diamètre de 3 millions de km, avec une largeur allant de mille à six mille kilomètres, soit une surface de 20 à 120 fois celle de la Terre (de 10 à 60 milliards de km²).
L'Orbitale de Vavatch (Orbitale extérieure à la Culture) apparaît dans le roman Une forme de guerre.
Sa taille est sensiblement plus importante que celle des Orbitales
construites par la Culture : sa circonférence est de quatorze millions
de kilomètres pour une largeur de trente-cinq mille kilomètres, soit une
superficie de 490 milliards de km² : près de 1000 fois celle de la
Terre (8 à 50 fois plus qu'une Orbitale moyenne). La gravité à sa
surface y est également plus importante : 1,2 fois celle de la Terre. Sa
surface consiste essentiellement en une étendue d'eau douce appelée Mer
Circulaire, les terres sont relativement peu importantes en
comparaison. Vavatch ne présente pas non plus ce système d'assistance
permanente par une superintelligence artificielle telle que celle d'un
Mental, mais elle possède un Moyeu central comme les autres Orbitales.
Elle est découpée en morceaux puis désintégrée par un vaisseau militaire
de la Culture pour que les Idirans ne puissent pas se l'approprier.
Ordre de grandeur : dizaine(s) de millions de kilomètres
... pas d'artefact de référence ...
Ordre de grandeur : centaine(s) de millions de kilomètres
Sphères de Freeman Dyson (dite également "biosphère artificielle") et Anneau-Monde de Larry Niven possèdent un diamètre de 300.000.000km avec, au centre, une étoile semblable au Soleil ! Le rayon de ces structures (150 millions de km, soit une UA -pour "unité astronomique"-) correspond exactement à la distance moyenne entre la Terre et le Soleil.
Données techniques sur l’Anneau-Monde
- Étoile K9 (de type G3, proche d’une G2, un peu plus petite et plus froide que notre Soleil) ;
- Vitesse de l’anneau : 1 250 kilomètres par seconde ;
- Masse de l’anneau : 2×1027 kilogrammes, soit à peu près la masse de Jupiter (2 millions de milliards de milliards de tonnes) ;
- Rayon : 1,54×108 kilomètres (= 1 UA environ, soit la distance Terre-Soleil) ;
- Largeur : 1,6×106 kilomètres (soit un peu plus que le diamètre de son étoile) 1,6 million de kilomètres ;
- Superficie : 3×106 fois celle de la Terre = 1,6×1015 km2 environ (1,6 million de milliards de kilomètres carrés) ;
- Hauteur des montagnes bordant l’Anneau : 1 500 km ;
- Plaques rectangulaires permettant l’alternance jour/nuit : 1,5×106 par 4×106 kilomètres, reliées par des câbles et en orbite plus rapprochée de l’étoile ;
- Durée du jour : 30 heures ;
- Temps de rotation de l’anneau : 7,5 jours ;
- 1 falan = 10 révolutions = 75 jours ;
- Gravité en surface : 9,73 m/s2 = 0,992 g
Récapitulatif,
image suivante :
-
un
Halo, de 10000 km de diamètre (pour 300km de largeur)
-
frôle
une Orbitale d’une largeur de 10000 km (soit d’une taille intermédiaire entre
celles de la Culture -1000 à 6000km de largeur- et Vavatch -35000km de
largeur) dont le diamètre est compris entre 3 et 5 millions de km
-
comparés
à l'Anneau-Monde de Larry Niven, en arrière-plan, de largeur 1,6 million de km
et de diamètre d’environ 300 millions de km.
En
résumé : le diamètre de l’un ne vaut que la largeur du supérieur.
Ci-dessous, les dimensions d'une Sphère de Dyson; surface habitable de soixante millions de fois celle de la Terre !
Omale est une Sphère de Dyson.
Qu'on imagine une sphère de matière ultra-dense, le carb, enveloppant une petite étoile calme, Héliale, de façon à
former une coquille solide tout autour. Telle est Omale. La surface interne de cet artefact démesuré est parsemée
de vastes cuvettes atmosphérisées, les Grand'Aires, abritant des milliers
d'espèces intelligentes ou rehs (voir le Lexique).
L'humanité n'est qu'une reh parmi d'autres. Une espèce mythique disparue, les Vangk, aurait édifié cette fabuleuse configuration astronomique, à laquelle les Humains donnent le nom d'Omale, et y aurait importé les espèces de toute la galaxie. Afin qu'il y ait des échanges thermiques avec l'extérieur, deux "trous" dans la coquille d'Omale existent aux pôles, ainsi que des surfaces non atmosphérisées poreuses aux rayonnements.
L'humanité n'est qu'une reh parmi d'autres. Une espèce mythique disparue, les Vangk, aurait édifié cette fabuleuse configuration astronomique, à laquelle les Humains donnent le nom d'Omale, et y aurait importé les espèces de toute la galaxie. Afin qu'il y ait des échanges thermiques avec l'extérieur, deux "trous" dans la coquille d'Omale existent aux pôles, ainsi que des surfaces non atmosphérisées poreuses aux rayonnements.
La distance de la sphère d'Omale à son soleil est de 120 millions de
jals (1 jal = 1,24 km). Sa superficie habitable (zone tropicale) se
monte à 65 millions de fois celle de la Terre, soit 33,15 x 1015
kilomètres carrés. Un total si vaste que ses habitants ne peuvent en
apprécier la courbure sans instrument de mesure. Un quart de cette
superficie serait habitable. Un Terrien pèserait 0,96 fois son poids à
l'équateur, celui-ci décroissant vers les pôles.
Deux planètes intérieures, les Captives, gravitent dans l'espace
qui sépare Héliale de la coquille de carb : Benveniste et Acomat. Noyées
dans la lumière solaire, elles ne sont pas visibles depuis la surface
d'Omale. La première planète est exploitée pour ses minerais par une
espèce maîtresse de l'espace hélien, les Æzirs, qui ne descendent
sur Omale que par exception. Acomat, la plus proche d'Héliale, est
interdite aux Æzirs par un champ magnétique dangereux pour leur
organisme. D'après ces derniers, sa surface est un pavage hexagonal de
composition inconnue.
La révolution d'Omale autour d'Héliale est de douze tours par jour. Mais
l'alternance des jours et des nuits est assurée, à l'échelle de la
Grand'Aire, par une couche gazeuse de cristaux phototropes nappant la très haute atmosphère.
Omale bénéficie d'une insolation clémente due à la stabilisation
d'Héliale par des procédés mystérieux. Dans la Grand'Aire, il n'y a que
deux saisons : la saison humide, et la saison sèche.
L'Aire humaine s'étend sur environ deux cents gaias (soit deux cents
fois la surface de la Terre). Elle est entourée d'autres Aires où
résident des espèces biologiquement voisines : les Chiles et les
Hodgqins, avec lesquels l'humanité des Bordures commerce ou guerroie.
Les Chiles occupent trois cents gaias, les Hodgqins cinquante. Au-delà
de ces territoires encore peu explorés s'étendent d'immenses déserts de
carb nu, dépourvus de vie. D'après les Æzirs, il existerait
d'innombrables Grand'Aires disséminées sur Omale, séparées par des
millions de kilomètres.
Libellés :
Amarr,
Caldari,
civilisation ET,
Culture,
empire galactique,
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Manchu,
Minmatar,
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