mardi 23 janvier 2018

Encore une source d'inspiration : Les Rois Maudits

George R. R. Martin, qui considère Maurice Druon comme son « héros », s'est inspiré des Rois Maudits pour écrire son cycle de romans Le Trône de fer. Il juge à ce titre que « Les Stark et les Lannister ne sont rien à côté des Capétiens et des Plantagenêt ».

Sourcehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Rois_maudits



vendredi 19 janvier 2018

Images de Trantor








Florina, où tout s'arrête, d'où tout recommence.

La planète Florina ...


... unique dans tout l'Empire Galactique pour sa production de kyrt, cette fibre textile plus douce que la soie, plus résistante que l'acier, ...


... s'avère être le lieu où s'affrontent secrètement les grandes Maisons ...


... certaines pour conserver le pouvoir ...

... d'autres pour le dérober ...


Conclusion en 1600 EG [soit 11600 EC; soit 21600 EH].

Problème de cohérence

Dialogue extrait des commentaires sur l'article "Liste (partielle) des empereurs galactiques"
Stéphane a dit…
Bien difficile de faire correspondre toutes ces chronologies :
- L'Imperium de Dune est vieux de 10000 ans, et il a été fondé après le Jihad Butlerien qui a lieu 10000 ans dans notre futur (donc Dune, c'est 22000 anno domini)
- L'Empire de Fondation est vieux de plus de 20000 ans, il a été fondé après l'ère des 50 mondes spatiens (qu'Asimov situait a priori autour du 22ème siècle) puis des mondes coloniens. Bref, on ne doit pas être loin de 25000 anno domini.
- le Troisième Imperium de Traveller n'a que 1000 ans et se situe aux alentours du 56ème siècle sauf erreur. Il a été précédé par une sorte d'hégémonie confédérale terrienne qui avait mis à bas le Premier Imperium alors sous domination Vilani (humains extra-terrestres ayant découvert le vol supraluminique des millénaires avant les terriens), déjà légèrement décadent, qui portait le nom de Ziru Sirka ou "grand empire des étoiles".
- Empire Galactique se situe en 11500 anno domini, et son avènement date de 8050 anno domini, soit 3500 ans d'histoire impériale.
Je a dit…
Je sais que si l'on s'en tient strictement aux chronologies officielles, c'est difficile ... quoique !

Un auteur peut changer considérablement sa propre chronologie, par exemple Isaac Asimov dans "Les courants de l'espace" :
"The story takes place in the backdrop of Trantor's rise from a large regional power to a galaxy-wide empire, unifying millions of worlds. This story occurs around the year 11,000 AD (originally 34,500 AD, according to Asimov's early 1950s chronology), when the Trantorian Empire encompasses roughly half of the galaxy."
Source : https://en.wikipedia.org/wiki/The_Currents_of_Space

Dans le cycle de Dune, il y a plusieurs versions :
- celle de Frank Herbert
- celle du film
- celle du fils de Frank Herbert
- sans oublier le jeu de rôles
comme je l'explique dans l'article "Les 16 empereurs Corrino" :
"[...] les romans Dune et Fondation s'excluent mutuellement et sont difficilement intégrables dans un jeu de rôles comme Traveller qui se voudrait ouvert à de nombreuses influences.

Pourtant, à bien y regarder, il y a des incohérences entre le film Dune inspiré des romans de Frank Herbert (où Shaddam IV est le 50ème empereur), l'univers étendu d'après les livres de Brian Herbert, son fils, (où Shaddam IV est le 81ème et dernier empereur d'une dynastie qui aura régné 10 000 ans, soit 125 années en moyenne par empereur !) et le jeu de rôles Imperium (où Audrii XV est déjà le 361ème empereur alors que l'action se passe près de deux siècles avant la chute de Shaddam IV et l'épopée de Paul Atréïdes).


Ces incohérences permettent de prendre du recul, de considérer avec souplesse toutes ces contraintes imposées par la littérature officielle et, finalement, de réussir à intégrer la dynastie Corrino (et bien d'autres éléments de Dune) à une Histoire du futur assimilant moult sources (films, bandes dessinées, jeux de rôles, etc.)."
 Source : http://calypso1577.blogspot.com/2014/09/les-16-empereurs-corrino.html

Même chose pour "La guerre des étoiles" (Star Wars ! diront les plus jeunes). Il existe une encyclopédie Wookeepedia où les contributeurs font bien la distinction entre :
- le canon
- et les légendes
pour différencier les films, d'une part, et tous les romans et bande dessinées, d'autre part.
Exemple : http://starwars.wikia.com/wiki/Leia_Organa_Solo

En conclusion, je vais rédiger "Une Histoire du futur" très personnelle dans laquelle Dune se déroulera à compter de 10193 anno domini [Paul "Muad'Dib" Atréides renverse Padishah Shaddam IV], Empire Galactique autour de 11500 anno domini [date donnée par François Nedelec pour son jeu de rôles éponyme] et Fondation vers 12069 anno domini [décès d'Hari Seldon].
Le reste s’insérera là où je trouverai de la place.

Arrakeen, capitale de la planète Arrakis, et les Vers d'au-delà du Mur


Rencontre avec Christophe Arleston – Scénariste de Lanfeust et Ekhö monde miroir


« Ekhö n’est pas un univers parallèle, monsieur! C’est une extension philoplasmique d’une a-réalité alternative, construite et entretenue grâce à un patient travail d’énergie thaumique! Un peu de respect pour une œuvre qui a tant demandé d’efforts, monsieur! Vous êtes sur Ekhö et il est impossible d’en repartir. Je vous engage à prendre toutes les dispositions nécessaires pour poursuivre votre existence sur ce monde. »

Le Salon du Livre de Paris mettait pour la première fois à l’honneur un scénariste avec l’exposition consacrée à Christophe Arleston. Le créateur de la saga Lanfeust nous livre ses impressions sur cette exposition, nous parle de ses projets et nous présente sa vision de la BD actuelle.
Chronique du Tome 1

Retrouvez les premières planches du Tome 1 en fin d’interview.

Bulle d’Encre : Bonjour Christophe. Nous te rencontrons au Salon du Livre de Paris où une exposition t’est consacrée. C’est rare qu’un scénariste soit ainsi mis en avant… Tes impressions ?
Christophe Arleston : Cela fait plaisir que des auteurs de bande dessinée puissent être présents sur le salon autrement qu’en dédicace. On sent petit à petit une intégration de la bande dessinée à la littérature. La plupart des expositions sont très visuelles, avec les présentations des travaux de dessinateurs ; et cette fois, c’est le travail du scénariste qui est mis en avant.
Pour mon exposition, l’idée était de recréer plus ou moins mon bureau et d’y découvrir le processus de création d’un scénario. On peut feuilleter des dossiers avec des annotations, un écran interactif avec la musique que j’écoute lorsque je travaille, des planches originales…
On évoque aussi le Studio Gottferdom, un grand atelier de 250m² à Aix-en-Provence, comprenant différents dessinateurs, coloristes, scénaristes, tout un univers. On rentre au cœur du bouillonnement de la création. Chaque mois, le Lanfeust Mag y est conçu et chaque mois on recommence à zéro. J’ai besoin de ça, c’est mon petit cocon, mon environnement. Longtemps j’ai travaillé chez moi, mais l’ambiance d’un studio est beaucoup plus stimulante.
BDE : Pilier de chez Soleil, fondateur historique du Lanfeust Mag, et désormais auteur Delcourt suite au rachat de Soleil. Est-ce que ça a changé quelque chose pour toi, aussi bien sur la ligne éditoriale du magazine que sur tes propres séries ?
CA : Delcourt, en rachetant Soleil, a voulu préserver l’identité des maisons d’éditions et leurs natures respectives. Chaque équipe éditoriale reste indépendante, garde sa personnalité, sa structure. Les moyens ont été mutualisés mais il n’y a pas eu de changement. Parfois le mélange peut être bénéfique, en fonction des gens qui peuvent être utile à l’autre. Tout se passe donc très bien, je n’ai entendu personne, auteurs comme salariés, se plaindre d’une situation inconfortable. Je suis libre de publier dans Lanfeust Mag des séries, ou pas, je n’ai aucune obligation : ça me permet de passer le meilleur de chez Soleil et le meilleur de chez Delcourt ! Mourad Boudjellal n’avait plus la tête à tout ça, il était plus dans le rugby et commençait à craindre l’avenir, notamment sur la question du numérique. Guy Delcourt est arrivé et nous a rassurés.
BDE : En parlant du numérique, ce matin [NDR: le 23 mars 2013], un accord était signé entre auteurs et éditeurs…
CA : Les maisons d’édition veulent maintenant que les auteurs vendent les droits papier et les droits numériques. Mais la question n’est pas de vendre ou pas ses droits, mais la rémunération de l’auteur au final. Le système reste identique au système papier, toute la chaîne se retrouve, on économisera juste sur les camions… Le pourcentage reversé aux auteurs doit être renégociable, on ne connaît encore rien des réalités de ce marché. J’ai moi-même cédé mes droits numériques, mais avec une révision dans 3 ans. Une fois que l’on saura exactement ce que ça coûte et rapporte, on pourra adapter les pourcentages. Mais ça mettra quelques années à se mettre en place.
Le numérique en France est plus lent qu’aux USA. Tout simplement car, aux USA, il n’y a presque plus de librairies. En France, tant qu’il y aura des librairies – et heureusement qu’il y en a – le numérique sera plus lent à démarrer. Les ventes numériques vont-elles remplacer les ventes papier ou les compléter ? A voir, il faut rester attentifs, vigilants. L’application Lanfeust a été lancée avec Comixology, qui gère déjà Marvel aux USA, où l’on retrouve tout le monde de Troy. Elle a été mise au même niveau que Star Wars et Walking Dead qui ont également leur application, c’est très flatteur !
BDE : Scénariste prolifique, connaissant un vif succès auprès du public, tu restes malgré tout en lien avec de jeunes auteurs débutants ou semi-professionnels grâce au Lanfeust Mag et au Studio Gottferdom. Comment juges-tu l’évolution de la BD et les problèmes qu’elle rencontre (surproduction, auteurs peinant à joindre les deux bouts…) ?
CA : La « crise » est un vrai faux problème. J’ai commencé à publier en 1991 et on parlait de la crise de surproduction de la BD. Aujourd’hui, le discours est le même… Mais l’aspect positif, même si les libraires sont très vite encombrés, c’est que les jeunes auteurs ont plus de chances de s’exprimer. En réalité, il se vend de plus en plus de BD, mais les ventes sont réparties sur plus de titres : certains ont donc des difficultés à en vivre. Il y a des gens qui font des choses formidables mais sans trouver leur public. C’est dommage, mais on ne peut pas forcer les lecteurs !
Pour Lanfeust, j’ai eu beaucoup de chance. Ça aurait pu ne pas marcher si je l’avais sorti un an avant ou un an après. Mais, quand le train passe, il faut sauter dedans avec toute son énergie. Au début, nous avons publié 4 tomes en deux ans, un rythme épuisant mais qui a aidé au succès.
Hélas, une génération de jeunes auteurs arrive avec un esprit fonctionnaire : je travaille tant, je devrais gagner tant. Ça ne marche pas comme ça : c’est le nombre de lecteurs qui va déterminer la rémunération de l’auteur, et certains ne comprennent pas. J’ai même reçu un CV par la poste, avec une lettre disant « Bonjour, j’ai fait cette école, j’ai eu ce diplôme et je postule pour un poste de dessinateur au Studio Gottferdom, quel salaire me proposez-vous ? ». Mais aucun dessin dans l’enveloppe ! C’est bien, les écoles, mais ce qui m’intéresse moi, c’est le dessin, le trait, pas là où vous l’avez appris.
Je suis loin de cet état d’esprit. J’ai toujours ce besoin d’écrire en permanence, je ne veux pas m’installer dans le confort. J’aime lancer de nouvelles choses et me mettre en danger. Si je le voulais, je pourrais me contenter de sortir un Lanfeust par an et en vivre à l’aise. Mais j’aime écrire, raconter des histoires.
BDE : Un de nos lecteurs souhaiterait savoir si tu envisages de mélanger tes personnages au sein d’un cross-over, comme on peut le voir dans le monde des comics ?
CA : Il n’y aura pas de cross-over. Dans le monde de Troy, j’ai bien pris soin de situer chaque histoire à des époques différentes. Je ne voulais pas que les histoires puissent être considérées comme des spin-off, que je déteste. La seule exception est Cixi de Troy, qui est une pièce de puzzle de Lanfeust qui a été confiée à Olivier Vatine car Didier Tarquin n’avait pas le temps de tout faire, mais cette histoire était prévue depuis l’origine.
BDE : Sur Facebook, tu as dévoilé une Athéna très moderne. Pourrais-tu nous en dire plus sur ce nouveau projet ?
CA : C’est un vrai projet en cours, une uchronie antique avec Steven Lejeune. On a déjà 5 pages de faites. Mais le dessinateur n’est pas très rapide, il cherche encore ses marques dans le projet, donc on en reparlera quand on sera prêt pour ça !
BDE : Et l’inévitable question…
CA : Non, toujours rien.
BDE : Ah, nous ne pensions pas aux Feux d’Askell ! (rires) Mais juste quelques mots sur ton actu ?
CA : Mon bébé du moment c’est Ekhö. Je suis vraiment ravi de cet album. Déjà, il y a le plaisir de bosser avec Alessandro Barbucci : j’aime son trait, j’aime sa compagnie. C’est un bonheur de travailler avec lui. Il a un formidable talent de narrateur et il transcende le scénario qu’on lui confie. Initialement, il voulait faire de la fantasy, mais je n’en avais guère envie, je fais déjà beaucoup de choses dans ce domaine, j’avais envie d’un récit contemporain. Mais il a insisté et ça a été un déclic : mélanger contemporain et fantasy. Notre monde moderne, mais sans notre technologie ! On commence par New York, qui est pour moi symbole de la modernité, de la civilisation, de la ville dans notre monde. La fantasy permet un décalage qui me permet de mieux parler de notre monde justement. Le second volet se déroulera à Paris. Dans Ekhö, il n’y aura pas de « à suivre » ou de cliffhanger. Ce sont des aventures séparées, qu’on peut lire dans le désordre. Cela permet d’éviter le « c’est quand, la suite ? » qui est la question que mes lecteurs posent le plus souvent !
Propos recueillis par Jeanne Pouliquen et Anthony Roux.
Interview réalisée le 23 mars 2013.
Premières planches de l’album


Source : http://www.bdencre.com/2013/05/10885_rencontre-avec-christophe-arleston-scenariste-de-lanfeust-et-ekho-monde-miroir/

Autres plans de réalité dans l'Incal

AUTRES PLANS

Si vous possedez les clefs, si les bonnes cartes sont entre vos mains, si vous faite la paix en votre intérieur, alors vous pouvez espérer entrer dans les dimensions où ni le haut, ni le bas n'existe ; où les créatures improbables évoluent hors du temps. Les couleurs , les lignes et la lumière y sont des entités propres.
L'INTERIEUR-EXTERNE

Lorsque John Difool, en compagnie de Deepo, pénètre dans le grand pondeur d'oeuf d'ombre dont il était quelques instants plus tôt prisonnier, il se retrouve contre toute attente à l'extérieur d'une sphère sur laquelle il tient parfaitement debout. A sa surface, "vit" le Cardiogrif, gardien de l'incal noir. Le grand pondeur d'oeuf d'ombre génère en son intérieur une dimension extérieure, fruit d'un paradoxe dimensionnel impressionnant. Cela en fait un piège sans issue ... à moins que le gardien ne soit vaincu.
LA PORTE DE LA TRANSFIGURATION

Pour que l'union des deux incals soit possible, les sept clefs de la porte de la transfiguration doivent être activées. La place du centre, la septième, ou la première, demande à son occupant de muter en un état particulier ; celui de la révélation de son être essentiel, l'être double sombre et lumière. Dans la scène présente, Solune joue ce rôle, son coté sombre vers son père détenant l'incal lumière et son coté lumière orienté vers sa mère (que l'on imagine détenir l'incal noir) ; ainsi les opposés s'attirent et se complètent.

ORH

Grâce à une nouvelle configuration de clefs sur la porte interdimensionnelle, John Difool, Animah, Tanatah, le Méta-Baron, Solune et Deepo aidés par l'incal et l'énergie apportée par le rêve téta de l'humanité entière, entrent en conflit avec la ténèbre. Celle-ci réveille en chacun les monstres intérieurs et chacun ( sauf Difool) tombe sous l'emprise de ses démons réprimés. En les assumant enfin, la lutte peut continuer jusqu'à ce que chacun doive se sacrifier pour venir en aide à l'incal que la Ténèbre tente d'investir (toujours sans JDF). C'est ainsi que Difool accéde à la dimension suprème, le royaume d Ohr.

Après avoir rencontré Orh, l'entité suprème qui a crée le temps et l'espace ( de l'univers dans lequel l'action se produit ), John Difool est précipité à nouveau dans la réalité afin de reprendre sa place de témoin éternel d'un univers en constante recherche de la vérité.


Source : http://manocorto.free.fr/plans.htm

Balades ...

BALADES ...

Sur TER21, l'Incal lumière fait l'objet d'attentions particulières. Des commandos Berg, mutants, de sbires de l'Amok, essayent de se l'approprier alors que son extraordinaire puissance est mise entre les mains du minable détective classé "R", John Difool. Bientôt, c'est le préz lui-même puis les techniciens technos, qui tentent de faire main basse sur le trésor, sans succés. Tanatah, Reine de l'Amok, contraint sous le chantage, le Méta-Baron, de lui amener John Difool en personne ainsi que l'Incal dont il est investi. Dans la ville-puits, la rebellion s'organise et des émeutes éclatent. La cité-Techno est détruite en même temps que l'Incal noir est remis à Animah. L'armada Berg s'apprète à une invasion sans merci de l'empire galactique humain. Acculé dans ses derniers retranchements, le prèz s'incarne dans la nécro-sonde, une formidable machine à tuer, et entamme un travail de destruction en suivant la trace de L'incal lumière.
La situation devient critique. John Difool, Tanatah, le Méta-Baron, kill "tête de chien" et deepo sont contraint à la fuite vers les bas-fonds de la planète, ils vont rejoindre Animah, la Reine des rats, et vont entammer un voyage initiatique qui doit les mener à l'union des deux incals.
Détritus valllée

Le centre-terre est traversé par un rayon...

A sa source, une tour, au centre de laquelle on accède par un labyrinthe.
En ce centre, la porte du coeur soleil.

Chacun doit faire la paix en soi et le passage s'ouvre

Les sages Arhats sont les gardiens millénaires du miroir ...

... porte vibrale qui ouvre sur le miracle de la forêt des cristaux chantants.

Au sommet de la pyramide hélicoïdale au centre de la forêt, la joyeuse bande d'aventuriers s'engage encore plus profond dans sa quête de spiritualité.

Enfin, la porte de la transfiguration aux sept clés. Chacun doit trouver sa place et la transfiguration pourra commencer et la création du vaisseau-étoile s'accomplir.

Mais ceci est une autre histoire, celle que même le vide peut raconter, celle que l'on lit entre les lignes de notre réalité, celle des plans intermédiaires ...des autres plans.
Pendant ce temps, d'autres évènements se déroulent sur planète d'or où réside l'Impéroratriz, et tout au long des épisodes de cette épopée, le vaisseau-étoile construit, nos amis vont se lancer dans l'espace et nous donnent rendez vous sur d'autres planètes...plus ou moins naturelles.

Sourcehttp://manocorto.free.fr/balade.htm