vendredi 20 décembre 2024
jeudi 19 décembre 2024
Projets d'exploration spatiale des prochaines décennies
Les êtres humains de la planète Terre préparent leurs astronautes à de futurs voyages sans gravité longs de plusieurs mois dans la station spatiale internationale en orbite autour de la planète.
Le deuxième étape va consister à construire une base habitable sur le sol lunaire. Ce sera une répétition de la première mission habitée martienne.
Ensuite (entre 2030 et 2050), une expédition sera envoyée sur Mars. Le voyage aller durera 9 mois (contre seulement 3 jours pour la Lune). Les astronautes se poseront ensuite sur le sol martien pour y construire une base habitable. Après quelques mois sur le sol martien, les astronautes entreprendront le voyage de retour. La base sera agrandie et maintenue en état par les prochains corps expéditionnaires.
Au delà de Mars, d'autres projets sont en cours pour rechercher de la vie dans le système solaire : sur Titan, lune de Saturne, et sur Europe, lune de Jupiter.
mardi 17 décembre 2024
Ummo, de vrais extraterrestres ! : panorama complété par le précis du système idéophonémique
Jean Pollion préface de Jean-Pierre Petit
Résumé
Depuis le milieu des années 1960, de curieuses lettres dactylographiées ont commencé à parvenir à plus de quarante destinataires à travers le monde, principalement en Espagne. Les auteurs de ces lettres disent être originaires d'une lointaine planète, qu'ils appellent, dans leur langue, UMMO. Tandis que les gens bien pensants ne se privaient pas de se gausser d'une aussi bonne plaisanterie, d'autres, comme l'astrophysicien Jean-Pierre Petit, se sont intéressés de plus près au contenu de ces lettres, et y ont trouvé des indications de grande valeur scientifique, peu compatibles avec la thèse d'un canular. Ces lettres sont émaillées de termes ummites (transcrits phonétiquement). Des dictionnaires d'équivalence ont été établis. Mais jamais encore le secret de la langue utilisée n'avait été élucidé. Pour la première fois, le sens réel du langage ummite est percé à jour dans le présent travail. Loin d'être de simples assemblages de sons fantaisistes, les phonèmes ummites, en effet, ont révélé une exceptionnelle structure, non seulement intelligente mais n'ayant rien en commun avec aucun des idiomes terrestres connus. L'aventure de cette découverte, une étape capitale dans l'histoire de l'humanité, est l'objet de cet ouvrage passionnant. "Jamais au cours de ces recherches, ni au cours de ce travail, l'origine supposée extraterrestre des documents n 'est intervenue. J'ai seulement tenu compte des points de vue ou des explications donnés dans les documents. Points de vue originaux certes, mais que je me suis refusé à considérer comme inacceptables. Si je voulais accéder à la langue, ce ne pouvait être qu en cohérence avec les contenus des documents. Et c 'est ce qui était nécessaire. Je cherchais à comprendre une langue, exactement comme si elle avait été oubliée et s'était perdue dans un coin de la Terre, mais une langue de gens que je prenais pour beaucoup plus en avance que nous dans la connaissance. " Jean Pollion "Je suis très favorablement impressionné par le sérieux, la rigueur, l'impeccable protocole scientifique, l'approche rationnelle du tortueux dilemme d'Ummo, l'excellente méthodologie, la clarté d'expression et, peut-être par-dessus tout, par l'honnêteté des points de vue clairs et la gestion impartiale des informations et données ambiguës sur Wolf. " Ignacio Darnaude Rojas-Marcos "Pollion a fait un travail fantastique, passionnant, fonctionnant comme un véritable Sherlock Holmes. " Jean-Pierre Petit
- Auteur :
- Pollion, Jean
- Préfacier :
- Petit, Jean-Pierre (1937-....)
- Éditeur :
- [Cointrin (Suisse)], Éd. Aldane, [DL 2008]
- Genre :
- | Essai
- Langue :
- français.
- Note :
- Bibliogr. p.455-457Le cédérom contient la partie IV de l'ouvrage
- Mots-clés :
-
- Nom commun :
- Extraterrestres
- Description du livre original :
- 1 vol. (460 p.) : couv. ill. ; 22 cm
- Description du livre original :
- 1 disque optique numérique (CD-ROM) : coul. ; 12 cm
- ISBN :
- 2940045119.
- Domaine public :
- Non
- Mentions légales
- À propos de ce livre numérique :
- Sommaire.
- Quatrième de couverture
- Remerciements
- Préface
- PREMIÈRE PARTIE - Panorama
- Extraits
- Avant - Propos
- 1. La décision
- 2. L'histoire espagnole
- 3. Ummo et l'ufologie
- Les travaux de Claude Poher
- Les écrits des ufologues
- L'incompatibilité
- Les travaux de Claude Poher
- 4. Contenus et vérités
- La vérité scientifique
- La société et son point de vue
- La vérité scientifique
- 5. Comment j'ai pu trouver les bases de la langue ummite
- Le matériel disponible et la méthode
- L'état d'esprit
- Le matériel disponible et la méthode
- 6. La civilisation des Ummites
- Les Ummites tels qu'ils se décrivent
- L'image mentale
- La société et les réseaux
- La formule d'identité psychotechnique
- Les ordinateurs (contribution à la vie sociale)
vendredi 13 décembre 2024
Voyages galactiques
Voir aussi OAWOLEIIDAA
Selon les oummains, les voyages galactiques peuvent être :
- voyages intragalactiques (voyages interstellaires) de trois types :
- voyages intergalactiques ("inenvisageable dans l'état de nos connaissances cosmologiques")
Les références provisoires de route sont :
- champs gravitationnels due à la distribution de masses,
- champs électromagnétiques,
- grandes nébuleuses de corpuscules "infinitésimales" fortement ionisés. (D69-4)
La forme géométrique du vaisseau doit être en accord avec les postulats de l'aérodynamique. (D69-4)
Sommaire
Voyages intragalactiques (interstellaires)
Nous avons comme règle tacite de référer aux autres frères OEMMII plus évolués avec lesquels nous sommes en contact pour tout voyage exploratoire que nous désirons effectuer. La règle est encore plus forte en cas de volonté d'incursion dans le réseau social d'une planète à OEMMII non voyageurs : nous sommes tenus moralement d'en faire mention officielle auprès de nos frères galactiques, avec les motivations légitimes qui nous la semblent imposer. Il est fréquent, au vu de notre relative inexpérience, qu'un voyage soit déconseillé. Les motivations de ce refus sont rarement explicitées mais nous nous y tenons strictement.
Par le même WAAM (Cosmos)
Dans le nouveau système - réel - de référence, les sources émissives [...] qui servaient de "phares" au vaisseau, n'ont plus d'existence pour le vaisseau transporté dans ce nouveau cadre tridimensionnel; notre galaxie même cesse d'être une entité perceptible au moyen d'un quelconque instrument détecteur aussi sensible qu'il soit [...].
Mais pour les voyageurs spatiaux, le nouveau cadre, la nouvelle "perspective" du Cosmos [vous ne devez pas interpréter ce changement d'axes comme le passage à un second WAAM (univers ou cosmos) mais comme une nouvelle perception de celui-ci] n'est cependant pas isotrope. La nouvelle présence de champs gravitationnels due à la distribution de masses, champs électromagnétiques et grandes nébuleuses de corpuscules "infinitésimales" fortement ionisés, servent maintenant de nouvelles références provisoires de route. |
Tweet W1-122 d'OAXIIBOO 6 tⁱ = t ⇒ WAAM⇝ WAAM |
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Distance entre Iumma et Soleil (voyage de 35 ans sur l'axe droit avec la vitesse maximum conseillée)
La distance réelle (distance droite dans l'espace décadimensionnel) était à cette même date, suivant notre mesure: 3,685 années lumières.
La première distance est celle utilisée par les astronomes terrestres pour leurs calculs (en dédaignant les courbures de la lumière quand elle traverse des Champs de forte intensité gravitationnelle), une telle distance est "constante" pour deux corps fixes dans l'espace. La seconde distance est une fonction de temps qui se mesure dans un espace de N. dimensions et qui présente une certaine périodicité. Sa mesure est très importante car elle est en relation avec nos voyages galactiques.Par un autre WAAM (un autre plan)
Nous sommes convaincus qu'il en existe beaucoup plus et rien ne s'oppose à ce que leur nombre soit (infini).
Deux de ces plans ou Waam (univers) nous sont inaccessibles physiquement. Ceci veut dire qu'aucune civilisation, aussi avancée soit-elle, ne pourrait les visiter avec ses UUAUUA (nefs d'exploration). L'un d'eux (unique dans la famille des faisceaux tridimensionnels) "est dépourvu" d'anticosmos (il est son propre anticosmos), est dépourvu de masse (imaginaire et réelle). Toutes ses particules sont annulées, c'est-à-dire : son réseau d'Ibozsoo UUHU est un réseau statique qui ne constitue ni temps, ni longueur, ni masse, ni moment, etc.., au point que parler de la vitesse d'un mobile en son sein n'a pas de sens. Exprimé sous une autre forme, philosophique, le WAAM dont nous parlons EXISTE et N'EXISTE PAS. Il est dimensionnel et il est NON-dimensionnel. Ce WAAM abrite toute la constellation des BUUAWUA (âmes ou esprits) de tous les êtres humains de notre Univers. |
Tweet W1-122 d'OAXIIBOO 6 tⁱ ≠ t ⇒ WAAM⇝ autre WAAM (mⁱ = ±m, ±im) |
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Principe des voyages à travers la Galaxie (permutation des particules subatomiques)
Si maintenant je plie le drap suivant un axe qui coupe perpendiculairement le plan médian de la distance qui sépare les deux tâches, il est certain qu'en plus de cette distance (celle que les mathématiciens appellent Géodésique) il en existera une autre plus courte qui, en sortant de la surface du drap, traverse l'espace aérien qui sépare ces deux points.
De plus vous pouvez observer qu'une telle distance est axiale par rapport à une distance qui tombe en dehors de l'Espace Tridimensionnel représenté par le tissu du drap. L'unique voie pour réussir à nous situer dans un cadre tridimensionnel de référence qui ne soit pas celui de la propre toile du drap qui nous sert d'exemple, sera d'orienter nos propres corpuscules subatomiques vers un axe différent ; exprimé en langage physique de la TERRE : permuter les particules subatomiques avec un contrôle homogène et rigoureux.Conditions isodynamiques favorables
- Mais ces ondulations ou plis de l'espace sont apériodiques, ils ne subissent pas une loi déterminée. On peut les prévoir à court terme mais avec de grandes marges d'erreur. Par exemple en ce moment (janvier 1967) nous savons que l'un de ces intervalles favorables approche (la marge d'erreur s'étend de décembre à mars des deux années 1966-1967). [...] Les prédictions et leur technique sont plus difficiles que ce que peuvent être pour vous celles de type météorologique ou bien des tâches et des tempêtes solaires car de telles perturbations n'obéissent à aucune loi connue et malheureusement leur source est le UWAN (Anticosmos) et elle ne nous est pas accessible dans l'absolu.
L'analyse des données au moment de la survenue de ce phénomène permet d'affiner les paramètres du modèle mathématique que nous allons injecter dans le SANMOO (ordinateur) de chaque OAWOOLEA OUEWA OEM (vaisseau spatial) destiné à voyager au travers des conditions isodynamiques relatives au prochain plissement. Toutefois le modèle est imprécis car, si nous savons déduire avec une approximation correcte l'amplitude du plissement, nous ne savons pas prédire avec exactitude le moment auquel il va s'amorcer. Nous devons parfois attendre plusieurs mois avant qu'une expédition, préparée en quelques jours, initie son voyage.
Par le cosmos-jumeau OUWAAM
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Tweet W1-122 d'OAXIIBOO 6 tⁱ = -t ⇒ WAAM⇝ OUWAAM (mⁱ = -m) |
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Navigation intersidérale
Triangulation
1968
Nos OAWOOLEA UEWA OEMM utilisent comme système de référence notre propre système de coordonnées galactique (de type que vous dénommez polaire). Le procédé pour matérialiser un tel cadre référentiel consiste à sélectionner quatre sources de radiation dans la galaxie, situées respectivement à une distance de IUMMA (Notre Astre solaire) en unités terrestres :
- 12 382,26 parsecs (40386.4 Années lumière)
- 19 002,64 parsecs (61979.65 Années lumière)
- 31,44 parsecs (102.55 Années lumière)
- 899,07 parsecs (2932.44 Années lumière)
Il s'agit de noyaux émetteurs intra-galactiques que nos XAANMOO ont sélectionné parmi les plus stables (et pour d'autres caractéristiques). Leurs déplacements par rapport au système référenciel galactique sont parfaitement connus, et ainsi de simples fonctions de conversion permettent, grâce à un procédé de calcul approprié, de situer un quelconque point-problème à l'intérieur du cadre de référence idéal, si l'on connaît avec assez de précision les distances aux noyaux émetteurs. Dans la pratique, ce n'est pas cette distance que l'on mesure mais les rapports trigonométriques des angles que forment, entre eux, les rayons idéaux depuis le Point-Problème (dans notre cas : l'Astronef) jusqu'aux sources radiantes proprement dites (VOIR NOTE 8) . Pour cela, comme nous vous l'expliquerons dans la Note de l'Annexe, l'UEWA possède quatre équipements d'"ACQUISITION DE DONNÉES" (UAXOO) qui livrent leur information au XANMOO central. Une fois les coordonnées polaires de position "connues" par celui-ci, il intègre la séquence de faits relatifs à une trajectoire que suit durant un certain temps l'UEWA, et il est alors capable d'afficher à un instant donné la distance par rapport à n'importe quelle entité Galactique (Notre UMMO par exemple). De plus, ces données servent pour corriger automatiquement la trajectoire en évitant les zones connues comme dangereuses (Haute densité de cosmolites, Radiation intense, Température élevée à proximité des Étoiles, etc.). Naturellement, une telle information est ajoutée (simultanément) aux données qu'apportent les autres organes UAXOO (DÉTECTEURS). Le XANMOO compare les deux trains d'information. Quand apparaissent des discordances (ceci peut être dû au fait que les éléments mémorisés par rapport à la configuration galactique étaient erronés ou que les UAXOO (TRANSDUCTEURS) soient perturbés), à ce moment-là d'autres UAXOO se mettent en service pour confirmer la fiabilité informative des premiers. Les frères cosmonautes sont de plus informés de l'existence de cette anomalie et peuvent agir en conséquence.
Quand la UEWA OEMM se trouve en un point où il faut recourir à un changement de cadre tridimensionnel, on provoque alors artificiellement un phénomène appelé par nous OAWOOLEAIDAA. Alors, toutes ses particules subatomiques situées au sein de l'enceinte, limitée par une superficie idéale nommée ITOOA (VOIR FIGURE 7), s'inversent en pouvant disparaître du contrôle physique d'un observateur situé au sein de l'autre cadre primitif.
D69-7 (D69-7)
Dans le nouveau système réel de référence, les sources émissives que j'ai mentionnées antérieurement et qui servaient de "phares" à la Nef, n'ont plus d'existence pour la Nef transporté dans ce nouveau cadre tridimensionnel, notre Galaxie même cesse d'être une entité perceptible au moyen d'un quelconque instrument détecteur aussi sensible qu'il soit (tout au moins notre science ne peut imaginer comment on pourrait concevoir un système physique capable d'avoir accès à un autre cadre tridimensionnel et qui apporte simultanément sa réponse au premier).
Mais pour les voyageurs spatiaux, le Nouveau cadre, la nouvelle "perspective" du Cosmos (vous ne devez pas interpréter ce changement d'axes comme le passage à un "second" WAAM (UNIVERS ou COSMOS) mais comme une nouvelle perception de celui-ci) n'est cependant pas isotrope. La nouvelle présence de champs gravitationnels due à la distribution de masses, champs électromagnétiques et grandes nébuleuses de corpuscules "infinitésimales" fortement ionisés, servent maintenant de nouvelles références provisoires de route.
La UEWA OEMM avait atteint, avant la OAWOOLEAIDAA, une vitesse de régime qui, avec l'accroissement correspondant dû à l'augmentation de masse subie au ras de ce phénomène, constitue l'étape cinématique initiale dans le nouveau système tridimensionnel.
A cet instant : le XANMOO central mémorise les ultimes références de position par rapport aux quatre centres sidéro-émetteurs cités, pour, immédiatement après, sélectionner six points provisoires de référence dans le nouveau cadre, lesquels servent pour fixer la position de l'UEWA dans un système qui lui est étranger. Toute cette information est informatisée pour calculer à chaque instant quelle serait la nouvelle position de la Nef s'il retournait dans l'ancien cadre tridimensionnel (c'est-à-dire la Galaxie qui nous est familière). Naturellement on connaît avec une relative exactitude la fonction mathématique du "plissement de l'espace" que nous appelons UXGIGIAM ONNOXOO. Les erreurs d'évaluation dans une telle situation de retour sont de grandeurs variables (de l'ordre de centaines de KOAE (1 KOAE : 8,71 kilomètres terrestres) jusqu'à des marges d'erreur de l'ordre de 105 KOAE). Ces erreurs sont dues:
- Au fait que le nouveau système de référence choisi dans le nouveau cadre est arbitraire ou imprécis, car il est impossible de fixer un système absolu de référence avec les moyens limités de l'UEWA.
- Au fait que les "conditions isodynamiques", comme nous nommons les plissements apériodiques du WAAM, ne peuvent être calculées analytiquement avec précision. C'est ce que vos frères mathématiciens terrestres appellent aujourd'hui : un "PROBLÈME FLOU". Un processus itératif de calcul réalisé par le XANMOO permet naturellement de déterminer des solutions approximatives.
Difficultés
Les problèmes les plus importants qui doivent être résolus en route sont ceux dérivés de la présence de quatre types de facteurs qui constituent un indiscutable danger pour l'UEWA OEMM :
- - Températures élevées à proximité de noyaux stellaires.
- - Niveaux de radiations intenses dans des zones déterminées.
- - Destruction ou perforation du vaisseau par l'impact de cosmolites de différents calibres.
La meilleure solution pour les trois premiers cas consiste en une nouvelle OAWOOLEAIDAA, quoique dans le troisième cas, comme la présence de cosmolites dangereux peut être détectée facilement à une certaine distance, on peut faire une modification de trajectoire pour l'éviter.
L'effet d'abrasion continue que subit la zone externe de la XOODINAA (MEMBRANE) à cause de la poussière cosmique constitue un autre inconvénient grave. Une telle perturbation est négligeable pendant les voyages "courts", mais il n'en est pas de même
en ce qui concerne les longs trajets. L'usure par friction peut endommager gravement les organes intégrés en elle . Nos vaisseaux possèdent un système protecteur que je vous décris dans la (NOTE 19). Comme expliqué dans cet appendice, la luminescence de couleur orangé que l'on observe sur nos UEWA n'est qu'un effet secondaire de cette protection technique.
Voyages intergalactiques
Articles connexes
Source : https://www.ummowiki.fr/index.php/Voyages_galactiquesOAWOLEIIDAA
L'OAWOLEIIDAA est un changement de référentiel. Un spectateur sur Terre verra apparaître ou disparaître le disque volant, au moment de la OWOOLEAIDAA (D60). Voir aussi Voyages galactiques
Sommaire
Vocable
OAWOLEIIDAA = dimension (OAWOO) + pénétrer (OOLEEA) + inversion (AIDAA)
Autres orthographes
OAWOOLEIDAA, OAWOOLEAIDAA, OAWOLEAIDA, OAWOLEAIDAA, OAWOLEIIDA, OWOALEAIDA, OWOOLEAIDAA
En bref
- OAWOLEIIDAA (inversion de l'orientation des axes des IBOSZOO OU) NR-13
- OAWOLEIIDAA, processus pendant lequel ses particules sousatomiques subissent une phase d'inversion dans un autre système tridimensionnel. D63
- OAWOOLEAIDAA (instant où toutes les subparticules subissent leur inversion) D69-2
- OAWOOLEAIDAA (inversion de la masse) D69-5
- OAWOOLEAIDAA (le processus physique d'inversion des corpuscules subatomiques qui permettent l'orientation de tels vaisseaux à travers un autre axe dans les voyages spatiaux) D57-4
- OAWOLEAIDAA (transfert du système tridimensionnel) D69-4
- OAWOOLEIDAA (peut se traduire par "orienter nos astronefs dans une géodésique perpendiculaire déterminée et produire un changement dimensionnel susceptible d'être détecté par vous") NR-2
- OAWOOLEIDAA (terme scientifique intraduisible qui décrit le phénomène technique dans lequel les particules subatomiques IBOZOO UU du vaisseau et ses membres d'équipage permutent leur orientation, ce qui suppose un changement de système tridimensionnel de référence, par rapport à un autre de référence, c'est à dire: un changement de dimension. Un spectateur verra le vaisseau disparaître devant ses yeux à l'instant de l'OAWOOLEIIDAA) D60
- OAWOOLEIIDAA - modification angulaire des sous particules NR-22
- OAWOOOLEIDAA // Phénomène physique provoqué par notre technologie, par lequel les particules subatomiques du vaisseau permutent leur orientation, ce qui suppose un changement de Système tridimensionnel de référence. De cette manière peuvent être réalisés nos Voyages. Un spectateur situé sur Terre verra apparaître ou disparaître le Véhicule, au moment de la OWOOLEAIDAA D60
Extraits
Voir les originaux couleur de la D45 http://ummo-sciences.org/es/scan/scan-D45.pdf , de la D69 http://ummo-sciences.org/es/scan/scan-D69.pdf et de la D357-2 http://ummo-sciences.org/es/scan/scan-D357-2.pdf
112 - DISTANCES APPARENTES ENTRE LES ASTRES ET GALAXIES DU WAAM.
Le cosmos est un continuum espace-temps décadimensionnel, courbé en son ensemble et formant une Hypersphère inverse (c'est-à-dire avec deux rayons de même longueur mais inversés). Mais, en plus de cette immense courbure universelle, il est soumis à deux autres types de courbures. Voyons ce qu'elles sont :
Il est impossible cependant de représenter sur un dessin de telles courbures (car sur une surface on ne peut dessiner que des images à trois dimensions). Cependant nous allons essayer de dessiner des vrais graphismes en utilisant les moyens d'expression habituels parmi vous (et dans ce cas des crayons de couleur). Accueillez donc avec réserve de tels dessins qui n'ont qu'une valeur didactique, comme un enfant terrestre doit recevoir l'expression de Dieu par le symbole d'un TRIANGLE avec un OEIL tracé à l'intérieur.
L'image A l'indique: la façon dont nous voyons ou apprécions, nous les humains, un "fragment" de l'ESPACE qui englobe deux astres quelconques (par exemple la TERRE et UMMO). La ligne pointillée représente l'apparent chemin le plus court, c'est-à-dire celui que suivra un RAYON de lumière, c'est-à-dire un faisceau d'IBOAAAYA OU (PHOTONS) ou bien l'un de vos projectiles téléguidés.
L'image B suggère comment peut être courbé ce même espace à travers une quatrième dimension. Ces immenses "plis" de l'espace varient constamment, comme le vent peut plisser l'un de vos draps étendu au sol, et ils sont dus à l'influence de l'UWAAM (Notre Cosmos jumeau dont nous avons déjà parlé dans un autre document). Il existe cependant d'autres courbures beaucoup plus petites: de petits plis ou rides que l'on peut identifier avec ce que nos sens perçoivent comme MASSES. Les Galaxies, et en elles les astres, le corps humain, une pierre, ne sont que des petits "creux" ou courbures de l'espace à travers un quatrième axe dimensionnel (ligne pleine dans l'image B). Observez que les scientifiques terrestres ont identifié la courbure générale de l'ESPACE et ces petites courbures-MASSE, mais ils ignorent les grands plis variables que nous venons de mentionner en second lieu.
Comme vous le voyez, la ligne continue de l'image B ou C représentera donc l'AUTHENTIQUE DISTANCE LA PLUS COURTE (idéale pour les voyages interplanétaires) dans cet espace tétradimensionnel.
Quand le rayon de cette courbure est grand, (image B) les deux lignes ont presque la même longueur et les voyages spatiaux se feront encore dans un temps très long même en se déplaçant à des vitesses proches de celle de la lumière.
Mais si la courbure est prononcée, (image C) la ligne isochrone (ligne continue) sera sensiblement plus courte que la ligne pointillée , ligne de la propagation de la LUMIÈRE.
Dans les images D et E on peut distinguer deux types de lignes idéales.
LIGNES ISOCHRONES (VERT BLEU INDIGO) qui représentent la véritable ligne
la plus courte (VERT), celle de la trajectoire de la LUMIÈRE (ROUGE),
et d'autres intermédiaires (VIOLET). Les IISUIW
(lignes isochrones) se caractérisent ainsi pour que dans cette même
ligne deux observateurs 1 et 2 vérifient que le TEMPS est synchrone. Par
contre pour 1 et 3 situés dans des IISUIW différents, le TEMPS s'écoule d'une manière différente.
LIGNES USDOUOO (ISODYNAMIQUES) représentées avec la couleur ORANGE. Observez que dans l'IMAGE D elles sont divergentes et que dans l'IMAGE E elles sont PARALLELES.
C'est seulement quand les lignes USDOUOO ou isodynamiques ne convergent ni ne divergent, c'est-à-dire qu'elles sont parallèles (image E), que nos scientifiques peuvent prendre conscience que la distance à l'autre astre est minime et qu'ils peuvent se déplacer à travers cette IISUIW (isochrone) avec nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spatiaux en forme de disques).
Mais cette courbure de l'espace subit des modifications périodiques engendrées par l'influence de l'UWAAM. Aujourd'hui il peut se produire que notre planète UMMO soit plus proche de la planète Terre que l'étoile ALPHA DU CENTAURE et en fait cela s'est produit quelques fois.
L'image F aidera à comprendre cela. Dans des conditions normales, IMAGE
F, la distance apparente Alpha du Centaure à la Terre sera de quelques
4,4 années lumière. Par contre IUMMA et UMMO (NOTRE SYSTEME SOLAIRE DE WOLF 424) sont distants de plus de 14 années-lumière . (ligne rouge)
Ainsi par exemple un autre proton "B" appartenant à l'enveloppe ou blindage, ainsi que toutes les sous particules atomiques et énergétiques "C" d'une quelconque molécule de gaz ou particule de poussière cosmique contenue dans le mince environnement cortical d'épaisseur ΔU délimité par l'IITOA, sembleraient "disparaître" à la vue d'un observateur imaginaire pourvu d'un exceptionnel équipement d'observation, situé à l'extérieur de l'enceinte délimité par l'ITOOA.
Cette transformation instantanée que nous appelons OAWOOLEAIDAA est provoquée par le même équipement IBOZOO AIDAA (image 1 - 8) qui inverse simultanément les "axes" orientés de tous les IBOZOO UU y compris ceux de sa propre structure.
Je vous ai déjà expliqué que pour atteindre l'OAWOOALEAIDAA , une masse quelconque exige un apport énergétique dont la quantité dépend exclusivement de la valeur de cette masse inerte. Bien entendu après cette inversion, cette énergie est restituée lentement sous forme de masse mais ceci est une autre question marginale.
Il est évident que l'apport d'énergie ne se réalise pas en un instant. Dans un processus préalable, différent niveaux de puissance vont être amenés à chaque instant. Près de l'instant T0 de l'OAWOOALEIDAA, la puissance nécessaire va en augmentant jusqu'à atteindre dans certains types de structures des niveaux très élevées.
La fonction PUISSANCE (fonction du temps) est différente pour chaque type géométrique de structure (image A - voir bas de page), c'est-à-dire qu'elle varie en fonction du profil ou forme de l'enceinte.
Dans les images, nous avons représenté sept structures, en supposant une masse identique pour toutes (pour que l'énergie d'inversion des IBOZOO UU soit équivalente). Voyez cependant comment la puissance mise en jeu à chaque instant durant l'intervalle Δt qui précède T0 (inversion des IBOZOO UU) varie pour arriver à atteindre une valeur démesurée par rapport à d'autres modèles dans le cas du cylindre.
Il existe un cas particulier non représenté dans la série : tétraèdre régulier; pour une masse en configuration polyèdre, la puissance nécessaire à l'instant T0 tends vers l'infini, pendant que Δt devient pratiquement nul. Inutile de suggérer qu'un vaisseau construit avec une telle structuration périphérique est irréalisable.
La série de l'image A a été ordonnée suivant le critère de classification des profils en fonction de la "puissance maximum nécessaire" pour obtenir l'OAWOOLEAIDAA.
Le type structural le plus adapté est, comme je vous l'ai indiqué plus haut, l'YONNIANNAA. Malheureusement, des exigences de fonctionnement incompatibles entre elles exigent de "forcer" le profil jusqu'à une forme qui, tout en conservant quelques traits du premier, puisse à la fois remplir d'autres multiples conditions simultanées en relation avec la navigation intragalactique et avec la fonction des équipements de bord.
.../...
D'autre part, ce profil ou un autre est valable pour naviguer dans l'espace galactique. Quand je fais référence au "profil optimal", je l'exprime en relation avec la plus petite "puissance maximum", nécessaire pour inverser ses sousparticules, mais malheureusement ce n'est pas le cas quand il s'agit d'un vol au sein d'un fluide visqueux comme l'air qui vous est familier. (Observez que la seconde structure de la liste représente un cylindre se terminant par deux ogives) Naturellement les profils de l'image A sont sélectionnés comme échantillons aléatoires.
Il y a une autre caractéristique facilement observable: le très fort champ magnétique qui apparaît autour de l'axe de symétrie de nos vaisseaux, (et peut être aussi dans d'autres vaisseaux spatiaux appartenant à d'autres êtres extraterrestres). Ce champ magnétique qui atteint de nombreux milliers de Webber / metre2, n'est pas comme on pourrait l'imaginer, un indice sur le fait que notre système de propulsion soit magnétodynamique. Cette forte induction magnétique n'est que l'inversion axiale, d'un angle de 90°, de l'intensité du champ électrostatique produite par un puissant générateur dont la fonction consiste à inverser les particules sous atomiques du vaisseau et de ses passagers (Souvenez-vous que les vecteurs représentatifs des champs gravitationnels, électrostatiques et magnétiques forment un trièdre au sein de l'espace pluridimensionnel. Les trois champs sont en réalité identiques. C'est notre perception physiologique illusoire, qui leur
attribue une nature différente selon leur orientation).Disparition du vaisseau
Un observateur qui se trouve à une distance qui n'est pas excessive, peut observer l'apparente " annihilation " instantanée d'un vaisseau de ce type. Cette pseudo-disparition peut avoir deux causes : comme je vous l'ai dit dans les pages précédentes, à l'instant (OWOALEAIDA) où tous les IBOZOO UU correspondant à l'enceinte délimitée par la ITOOAA changent "d'axes " (OAWOO) dans le cadre tridimensionnel où se trouve placé l'observateur, toute la masse qui est intégrée dans cette enceinte cesse d'avoir une entité physique. Ce n'est pas qu'une telle masse soit " annihilée", car le substrat de cette masse est composé par les IBOZOO UU ou autrement dit la masse s'interprète comme un PLISSEMENT DE LA CHAÎNE DES IBOZOO UU. Notre Physique interprète ce phénomène comme si l'orientation de cette dépression ou le plissement des entités constitutives de l'espace changeait de sens de telle manière que les organes sensoriels ou les instruments physiques de l'observateur ne sont plus capables de percevoir un tel changement (note 17 - manquante).
A cet instant t0, le vide dans l'enceinte est absolu. Il n'y a pas une seule molécule gazeuse et bien entendu aucune particule solide ou liquide, ni même une particule subatomique (proton, neutrino, photon, etc.) qui puisse être localisée probabilistiquement dans cette enceinte. Dit de votre manière : la fonction de probabilité est nulle en to. Toutefois une telle situation instable ne dure qu'une fraction infinitésimale de temps. L'enceinte se voit "envahie" consécutivement par des IBOAYAA (quantons énergétiques), c'est-à-dire que se propagent en son sein des champs électromagnétiques et gravitiques de diverses fréquences, elle est immédiatement traversée par des radiations ioniques et enfin se produit une implosion quand le gaz extérieur se précipite dans le vide laissé par la structure " disparue ". Cette implosion constitue l'explication de ces " détonations" ou " tonnerres" que quelques observateurs terrestres d'OVNI ont cru percevoir dans certaines occasions après la disparition apparente du véhicule."Changements brusques" de vitesse
Certaines fois nos vaisseaux, que l'on a vu se déplacer à des vitesses même supérieures à Mach 15 , semblent changer brusquement de direction (Image 16).
Il est fréquent que ce changement soit orthogonal, virant brusquement sa trajectoire de quelque 90° sexagésimaux terrestres sans enchaînement ou sans virage, et souvent un tel angle peut être encore plus aigu. Parfois le vaisseau semble même inverser sa vitesse tangentielle "en s'arrêtant instantanément" et en revenant par la même trajectoire (image 17).
La mission d'exploration peut exiger aussi une immobilisation instantanée de la UEWA OEM en vue de l'efficacité d'analyse. Dans ce denier cas, un quelconque observateur étranger au véhicule qui observerait le déplacement hypersonique de loin, peut être surpris en assistant à l'immobilisation brusque de la UEWA comme si elle avait heurté un obstacle invisible. Pour cet OEMII, son illusion visuelle sera pour le moins interprétée dans les termes précédents. Je traiterai donc, monsieur, ce qui se passe vraiment dans ces cas.
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Généralement c'est le XANMOO AYUBAA de l'UEWA qui adopte la décision de changer rapidement de cap, après l'analyse logique des multiples paramètres-réponses recueillis par les organes sensitifs (UEWA) du vaisseau .
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Voyons comment notre technique nous permet alors d'obtenir cet effet identique sans provoquer un bouleversement si grave. Premièrement, voyez dans la notice de l'image 18 le cas où l'UEWA doit changer brusquement sa trajectoire " m-p " à cause de la présence d'un agent perturbateur . Au point "P" est provoqué alors le changement de système tridimensionnel (de XYZ à X'Y' Z') c'est-à-dire la OAWOLEAIDAA. De plus le véhicule suit une trajectoire P-P', formant une boucle, et presque à la même vitesse de régime (Uo subit un léger accroissement).
La rentrée au cadre tridimensionnel "habituel" est maintenant beaucoup plus précise si elle se produit au même point P (P <-> P') car le choix d'un quelconque autre point dans le second système tridimensionnel pourrait donner lieu à des erreurs considérables de position et de situation.
La seconde branche de la trajectoire P-N peut être de nouveau visualisée par un observateur situé dans le XYZ, mais qui n'a pas pu " voir " la boucle P-P'. De plus, comment a-t-il pu commettre l'erreur de croire que le vaisseau inversait brusquement sa direction ? Un profane quelconque pourrait argumenter que l'OEMII (observateur) a pu voir que le vaisseau disparaissait un instant au point P pour après " réapparaître" de nouveau au même point, continuant son vol dans la nouvelle orientation.
Mais cela ne se passe pas ainsi pour un œil structuré comme celui d'un être humain, qu'il soit de OYAAGAA (Terre) ou d'UMMO. Car l'intervalle de temps entre P et P' (trajectoire en boucle dans le cadre X'Y'Z') est si court que [par un effet psychophysiologique bien connu des psychologues de la Terre comme de nos spécialistes (vous le nommez persistance rétinienne des images optiques)
.../Question: Si IAGIAAIAOO (Nébuleuse toroïdale) est à 7900 années-lumière,comment recevoir à temps des informations sur le repliement à venir? Voie télépathique avec Ummooemmii ?
Réponse: 7900 a-l avec un UEWAA automatique.# 2 mois de voyage dans un WAAM de grand écart angulaire
Un tweet important
OAWOLEIIDAA, référentiel temporel, la modification angulaire des sous particules (NR-22). et " processus d'inversion de l'orientation des axes des IBOSZOO OU" (NR-13): il ne s'agit donc pas nécessairement d'un changement de WAAM.
Suite à une question "@oaxiiboo6 l'OAWOOLEAIDAA est-il un changement de WAAM?",
OAWOLEIIDAA : H(qₑ,pₑ,t)⇝ H(qₔ,pₔ,tⁱ)
tⁱ= t ⇒ WAAM⇝ WAAM
tⁱ≠ t ⇒ WAAM⇝ autre WAAM (mⁱ = ±m, ±im)
tⁱ=-t ⇒ WAAM⇝ OUWAAM (mⁱ = -m)
Remarques'
“H” est un opérateur hamiltonien. Les 2 indices (e) de Q et P subissent une double rotation.
Sur la liste "divers" d'Ummo-sciences, lors d'un débat les 17 et 18 octobre 2018, Alexandre A. et Manuel O. sont d'accord tous les deux pour dire que "p" est la quantité de mouvement et que "q" exprime la position (en effet, quand on dérive q par rapport au temps, dq/dt on obtient une vitesse ce qui indique que q est bien la position)
Les indices ₑ et ₑ subissent une double rotation. t devient tⁱ que l'on retrouve dans les 3 formules qui suivent (de même que m devient mⁱ ). "im" est la masse imaginaire (voir D357-2 et D731) qui peut être positive ou négative
Interprétation de F.D.
H est la fonction qui représente la transformation OAWOLEIIDAA, composée de 3 paramètres. Charge, énergie cinétique et temps. En sortie, on obtient des inverses (ou des opposés, je ne sais pas) pour la charge et l'énergie cinétique et un Ti. Ligne 1: Si t ne change pas (Ti=t) on reste dans notre univers. Ligne 2 si Ti différent de T, on est dans un autre univers avec des masses positives ou négatives, idem pour les masses imaginaires. Ligne 3 Ti = -t, on est dans l'univers jumeaux, dans lequel la flèche du temps est opposée et où la masse est négative. (nb Mi correspond à la masse après la transformation H au même titre que Ti correspond au temps après la transformation H). La courbe associée est donnée dans les lettres, ci dessous.
Trois "types" d'OAWOLEIIDAA
Il y a donc trois “types” de OAWOLEIIDAA, comme indiqué dans la NR22.
- (dans l'ordre du tweet W1-122)
Type 1: tⁱ = t ⇒ WAAM⇝ WAAM :
- nous n'altérons pas le référentiel temporel de nos nefs pour voyager selon les conditions isodynamiques propres à ce WAAM et mesurées pour celui-ci.
Type 3 : tⁱ ≠ t ⇒ WAAM⇝ autre WAAM (mⁱ = ±m, ±im)
- Pour les autres WAAM dans lesquels nous savons nous projeter par inversion de six angles axialement à une autre dimension figée, nous nous contentons d'y répertorier les différentes concentrations de masses accessibles à nos enregistreurs et tentons d'y capter des signaux émis par d'autres formes d'intelligence.
Type 2 : tⁱ = -t ⇒ WAAM⇝ OUWAAM (mⁱ = -m)
- Nous nous projetons parfois temporairement dans OUWAAM en inversant, par rotation de π radians, tous les angles dimensionnels des sous particules. Nous le parcourons localement pour restreindre la durée de nos voyages lorsque les conditions isodynamiques du WAAM sont défavorables. Tout lien avec OUMMO est alors rompu.
Confirmation Type 1
Explication imagée (M.R.)
A ce que j'ai compris, dans son modèle à dix dimensions, l'espace physique "x, y, z" serait une hyper-superficie qui "évolue" (peut subir des courbures) dans un sous-espace quatre-dimensionnel.
Pour imager ça vous pouvez imaginer un espace monodimensionnel (une droite ou mieux une gigantesque circonférence) qui évolue (subit des courbures) et qui est placé dans un plan (un sous-espace bidimensionnel). On voit que dans l'espace tridimensionnel plus général on peut imaginer des autres espaces monodimensionnels placés dans des autres plans (circonférences qui pourraient évoluer en élargissant son rayon presque à l'infini) qui seraient écartés de notre premier espace monodimensionnel par un angle (il y a une infinité des plans dans l'espace tridimensionnel). L'angle d'écart serait évidement l'angle que formeraient les deux plans qui contiennent les circonférences.
Pour les pauvres êtres monodimensionnels qui habiteraient ces espaces (circonférences de rayon tendant vers l'infini) ils ne pourraient pas imaginer des autres êtres monodimensionnels évoluant dans un autre espace monodimensionnel placé dans un sous-espace bidimensionnel (un plan) écarté de leurs par un angle.
Traduisez tout ça a l'espace deca-dimensionnel proposé par nos amis. Dans cet espace il y aurait une infinité de sous-espaces quadri-dimensionnels (seraient les équivalents de nos plans dans l'exemple antérieur) écartés les uns des autres par des angles (il faut faire appel a une géométrie multidimensionnel où ces concepts d'angle etc. doivent être "élargis"). Dans chaque sous-espace quadri-dimensionnel évolueraient des espaces tridimensionnels, flottant a petit niveau (non dans sa structure générale que continuerait a être celle d'une hypersphère ou d'une hyper-hyperbole) dans le sous-espace quatre-dimensionnel. Ces courbures de l'hyper-superficie tridimensionnelle dans le sous-espace quadri-dimensionnel, permettraient que deux points placés dans l'hyper-superficie tridimensionnelle seraient plus proches si on les considère dans le sous-espace quadri-dimensionnel que si on suit le chemin le plus court dans le tissu tridimensionnel.
Je vais essayer de représenter ça en réduisant l'image d'un univers monodimensionnel placé dans un sous-espace bidimensionnel (un plan) orienté d'une façon spécifique dans l'espace général tridimensionnel.
Bien que très maladroit, on peut imaginer deux univers (le vert et l'orange) qui évolueraient (ils seraient en expansion ou en contraction) dans des sous-espaces bidimensionnels (plans) écartés par un angle α.
On peut transposer tout ça a dix dimensions et imaginer (bon, c'est impossible d'imaginer) un espace général de dix dimensions où ils seraient placés une infinité de sous espaces quadri-dimensionnels, chacun contenant une hyper-superficie tridimensionnelle (ouverte ou fermée, en expansion ou en contraction) et écartées les unes des autres par les hyper-angles qui formeraient les sous-espaces quatre-dimensionnels qui les contiendraient.
Alors et en revenant aux hamiltoniens et à la lettre NR22.
1- Exprime un voyage dans notre propre WAAM (c'est-à-dire sans abandonner notre sous-espace quatre-dimensionnel) mais qui profite des courbatures apériodiques de notre tissu tridimensionnel qui ondule dans le sous-espace quatre-dimensionnel qui le contient pour voyager par ce chemin raccourci d'un point a un autre du tissu.
2- Exprime un OAWOOLEIDAA qui passe de l’intérieur a l’extérieur (face et envers du WAAM du point de vue de son évolution dans l'axe temps) de l'hypersuperficie (WAAM et OUWAAM)
3- Une OAWOLEIDAA qui passe du point U dans notre WAAM au point conjugué U' dans un autre WAAM écarté par un angle α pour y parcourir là, en profitant de la plus grande valeur de "c" dans ce WAAM' la distance U' au point conjugué T' de T et a ce point défaire l'OAWOLEIDAA et revenir sur notre WAAM au point T.
Tout ça est en réalité plus compliqué que ça car il faut tenir en compte que toute cette géométrie des espaces n-dimensionnels n'est qu'une élucubration idéalisée par nos esprits (une fantaisie) d'une réalité où l'espace n'existe pas, mais comme information codée dans les différences angulaires de ces Éléments Primordiaux (E.P.) que nos amis appellent IBOZOO UU.
Avis de Jean Pollion
Concrètement pour nous et à la lumière d’un modèle cosmologique reconstitué par mes soins à partir des textes et de ma propre recherche, le cosmos (univers ou système dans lequel les relations entre composants obéissent aux mêmes lois pérennes) dans lequel nous vivons (défini indirectement par nos perceptions dont la principale, celle du temps, est “UN” WAAM, le “nôtre”. Comme tout WAAM caractérisé par son dt de l’information (“vitesse” de la lumière) il est doté d’un jumeau (ce qui définit une “paire”), en inversions dimensionnelles (une à une), qui est évoqué par les vocables UWAAM, On peut globalement généraliser à l’idée que dès qu’un cosmos est évoqué par U-xxx, c’est un élément de la famille des inverses (jumeaux). Car les paires conduisent au concept d’une infinité de jumeaux (un par WAAM).
Sur les voyages, AJ a opportunément rappelé les 3 sortes d’OAWOOLEIIDAA : les voyages les plus couramment pratiqués (évoqués) par les auteurs NE SONT PAS FAITS par l’UWAAM. L’inversion de masse pratiquée (type 1) est une substitution PARTIELLE (le temps reste “t” et ne passe pas à “-t” ce qui est le cas des inversions de type 3). Image simplificatrice et pédagogique : c’est comme dans un “Rubik’s cube”, on peut faire tourner un plan, sans faire varier les deux autres plans...
Quant aux “vitesses”, je suggère que tout le mode retourne à la D45. En inversant la masse, et selon ma compréhension, les Oummains passent à la distribution dimensionnelle (je n’aime pas le mot “géométrie” ) de notre jumeau. Elle n’est que le moyen de “subir” ou d’emprunter les plissements dimensionnels responsables de l’incroyable “raccourcissement des distances”. En effet, ces plissements ne peuvent exister que dans les jumeaux. Nos amis n’inversent pas la masse quand ça ne vaut pas la peine (plissement trop peu productif). Et ce qui fait apparaître des vitesses “impossibles”, ce n’est pas un changement de “c” ( je rappelle que l’inversion est faite à dt constant, ce qui garantit la pérennité des communications télépathiques avec UMMO), mais simplement un changement d’échelle dans les rapports dimensionnels.
Fin du problème et solution de l’apparente incohérence de dt constant (même “vitesse” de la lumière ou de l’information) et de rapports des distances apparentes (celles du cadre du vécu d’origine) avec le temps réellement écoulé.