Parmi les
grandes aventurières qui inspirèrent les hommes à travers les siècles,
la mystérieuse et fascinante sud-africaine Elizabeth Klarer est
peut-être celle dont le destin fut le plus étrange. Elle naquit en 1910 à
Mooi River, dans la province reculée du Natal et passa son enfance dans
une ferme isolée où elle apprit très jeune et de façon totalement
autodidacte à communiquer avec les Zoulous et à parler leur langue. Puis
ses parents l’envoyèrent en Angleterre pour y faire ses études. Elle
manifesta bien vite de stupéfiantes aptitudes dans les disciplines les
plus variées : à l’âge de 20 ans, elle jouait à la perfection de
plusieurs instruments de musique, était capable de piloter des gros
avions et avait déjà atteint la notoriété en tant
qu’environnementaliste. Durant la seconde guerre mondiale, elle
travailla à la fois au décodage de certains messages cryptés de
l’état-major allemand pour le compte de l’armée britannique et à un
programme de recherche ufologique financé par le gouvernement
sud-africain.
En 1955 et
1956, une soucoupe volante survola à plusieurs reprises sa ferme au
Natal, où elle était retournée s’installer après la guerre, et en 1957,
alors qu’elle effectuait une randonnée sur le haut plateau de Cathkin
Peak, dans la région de Drakensberg, elle se retrouva nez à nez avec un
grand être blond et de noble prestance qu’elle connaissait déjà pour
l’avoir vu, au cours de l’un de ses flashs médiumniques, en train de
piloter la soucoupe qui avait survolé sa maison l’année précédente.
Vue de Cathkin Peak
Il se présenta à elle sous le nom d’Akon et lui indiqua qu’il venait de Méton, une planète appartenant au système de Proxima du Centaure. Celui qui allait devenir le père de l’un de ses trois enfants l’invita alors à le suivre à bord de son engin. Puis elle disparut totalement de notre monde durant près d’un an.
Akon
À son retour sur la Terre, elle était enceinte de quatre mois. Durant les semaines qui suivirent, elle ne cessa d’être harcelée, car une personne indélicate de son entourage avait transmis des informations sur son mystérieux voyage à la fois à la CIA et aux services secrets russes. Ces derniers voulaient absolument s’emparer du futur enfant des étoiles qu’elle portait en elle. Ils essayèrent même de la kidnapper, mais elle parvint de justesse à leur échapper. Elle avait appris à communiquer tétépathiquement avec les Métoniens et demanda alors à Akon de revenir la chercher ; puis elle accoucha de leur enfant, Ayling, sur la planète Méton. Mais elle avait du mal à s’acclimater aux vibrations élevées du champ magnétique de cette lointaine planète, et dut finalement se résoudre à revenir définitivement sur la Terre.
Akon et
son fils demeurèrent cependant en contact avec elle sous forme de
rencontres télépathiques et de matérialisations holographiques jusqu’à
son départ définitif en 1994. Tous les épisodes de sa vie sont
retranscrits dans son livre Beyond the Light Barrier (Au-delà de la Barrière de Lumière) qui n’a malheureusement jamais été traduit en français.
Depuis son
retour sur la Terre, le Département britannique de la Défense a
toujours manifesté un intérêt particulier pour les expériences
d'Elizabeth Klarer et son histoire a attiré l'attention des
gouvernements de plusieurs autres pays, en particulier ceux des
États-Unis, de l’Allemagne et de la Russie.
En 1975,
elle fut applaudie à Wiesbaden par un groupe de scientifiques
représentant 22 nations après avoir donné une conférence sur les
propriétés de la lumière. Elle prononça d’autres discours qui
suscitèrent également l’enthousiasme, aussi bien aux Nations Unies qu’à
la Chambre des Lords. Elle avait commencé la rédaction d’un second livre
intitulé Les Fichiers de la Gravité avant d’être emportée par
une longue maladie en 1994. Son histoire continue aujourd’hui de faire
rêver et d’inspirer de nombreux spiritualistes tout en demeurant un
mystère, voire une énigme dérangeante pour certains esprits cartésiens
étriqués.
Voici quelques extraits inédits des deux dernières interviews qu’elle avait accordées juste avant de nous quitter.
Elizabeth Klarer (1910 - 1994) : ci-dessus à l'époque de sa rencontre avec Akon,
et ci-dessous posant derrière son buste qu'elle avait elle-même sculpté peu avant sa mort.
et ci-dessous posant derrière son buste qu'elle avait elle-même sculpté peu avant sa mort.
Question : Pouvez-vous nous décrire la soucoupe qui vous avait emmenée jusqu’à la planète Méton ?
Elizabeth Klarer : Elle était
parfaitement circulaire et son diamètre était d’environ 6 mètres, avec
une coque très large et un dôme aplati en son centre avec des hublots
tout autour . Elle projetait un éclat argenté, qui ne provenait pas
d’une réflexion de la lumière du Soleil, mais de son propre rayonnement.
Lorsque ce type de vaisseau prend de la vitesse, le rayonnement
s’intensifie et tout se met à briller et à scintiller. L'intérieur était
splendide et éclairé d’une lumière douce et agréable dont on ne
percevait pas la source. Les murs changeaient de couleur lorsque le
système était mis sous tension, ils passaient du rose au jaune, puis au
vert et au bleu.
Question : Y a-t-il une raison à cela ?
Elizabeth Klarer : Les
soucoupes ont la possibilité de s’immobiliser dans l’espace ou au
contraire de se déplacer quasi-instantanément d’un point à un autre de
la trame universelle. Leur vitesse de déplacement est associée à des
changements de fréquences qui ont une incidence sur leur structure
chromatique. Les vaisseaux-mères fonctionnent suivant le même principe
et irradient également de merveilleuses couleurs.
Elizabeth Klarer : Ils étaient
deux et ils étaient tous les deux astrophysiciens, mais l’un des deux
était également biologiste ; il s’intéressait principalement à la faune
et à la flore des planètes habitées qu’ils visitaient.
Question : Pouvez-vous nous donner des informations sur les techniques et matériaux utilisés pour construire ces vaisseaux ?
Elizabeth Klarer : Les
vaisseaux sont créés dans l’espace par condensation de flux
énergétiques. Puis ils sont ramenés jusqu’à la surface de la planète
dont ils dépendent au moment de la finition intérieure. Mais l’essentiel
du fuselage est formé dans l’espace de manière à optimiser sa
conductivité énergétique.
Question : Un métal particulier est-il utilisé pour la construction ?
Elizabeth Klarer : Non cela n’a
rien à voir avec du métal. Au niveau de l’aspect extérieur, cela ferait
plutôt penser à de la porcelaine très fine. Mais la seule substance
entrant dans la composition des vaisseaux est la lumière.
Question : Combien leur faut-il de temps pour construire un vaisseau ?
Elizabeth Klarer : Pour créer
le fuselage complet, il leur faut l’équivalent d’environ 15 minutes de
temps terrestre, le temps d’harmoniser leurs vibrations à celle de
l’entité du futur vaisseau. Il est alors créé virtuellement. Il faut
ensuite une quinzaine de jours pour le matérialiser complètement à
partir de l'énergie cosmique naturelle.
Question : Pourriez-vous nous dire quelques mots concernant le vaisseau-mère où vous avez voyagé ?
Elizabeth Klarer : C’est un
immense vaisseau-cargo pouvant contenir environ 24 soucoupes ; chacune
est prévue pour transporter deux personnes. Il avait la forme d’un
cigare, mais son aspect variait en fonction de la lumière. Sous certains
angles, il semblait même presque circulaire. Ces vaisseaux sont de
véritables villes. Certains font plus de dix kilomètres de long et
contiennent non seulement des maisons, mais des arbres, des fleurs et
des lacs magnifiques.
L'intérieur d'un vaisseau-mère
La plupart transportent des soucoupes
qui servent en général de navettes, mais certaines de ces soucoupes ne
sont que des hologrammes destinées à habituer les Terriens à l’existence
des extraterrestres. Quand le vaisseau arrive à proximité d’une
planète, il se positionne généralement en orbite géostationnaire à
environ 1500 kilomètres de la surface. Il fonctionne en totale autarcie
et peut accueillir au moins 5000 passagers. L’énergie auto-produite par
le vaisseau suffit à la croissance et à la maturation des végétaux dont
ils se nourrissent, à l’exclusion de tout aliment carné.
Question : Peut-on voir ce qui se passe à l’extérieur du vaisseau depuis l’intérieur ?
Elizabeth Klarer : Non
seulement on peut tout voir y compris à travers des obstacles solides et
zoomer sur n’importe quel point de l’espace sans altérer la qualité des
images, mais on peut obtenir le même résultat au niveau du son.
Question : Les vaisseaux ont-ils de l’armement à leur bord ?
Elizabeth Klarer : Non, ils
sont seulement équipés de déflecteurs qui leur permettent, en cas de
nécessité, d’immobiliser d’éventuels projectiles, y compris des
missiles.
Question : Les membres de l’équipage du vaisseau-mère à bord duquel vous avez voyagé viennent-ils tous de Méton ?
Elizabeth Klarer : Ils
appartiennent tous à la Fédération des Planètes qui regroupe la plupart
des planètes et des lunes habitées de notre système solaire. Mais
d’autres planètes sont actuellement en cours d’aménagement, notamment
dans le système de Véga, en vue d’y accueillir des humains.
Question : Comment sont les habitants de Méton par rapport aux Terriens ?
Elizabeth Klarer : Ils sont
plus grands, plus beaux, plus évolués et plus pacifiques. Ils se
vêtissent et se nourrissent de manière beaucoup plus simple et naturelle
que nous, et ils vivent bien plus longtemps : jusqu’à plusieurs
centaines d’années.
Proxima du Centaure ne produit aucun
rayonnement susceptible de brûler la peau ou de perturber le
fonctionnement de l’organisme. C’est pourquoi les Métoniens se
contentent de vêtements de soie légers et agréables. Tout est gratuit et
il existe des "fermes à soie" où chacun se sert librement selon ses
goûts. Tout ce qui est nécessaire à la vie est disponible en abondance
et il n’y a ni argent ni troc.
Question : À quoi ressemble la planète elle-même ?Elizabeth Klarer : Elle est légèrement plus grande que la Terre, recouverte de vastes mers, et les terres sont toutes des îles ; il n’y a pas de continents. Le climat est merveilleusement doux et la luminosité agréable. La végétation est luxuriante et les Éléments ne provoquent jamais de catastrophes ni de cataclysmes. Ils sont totalement sous contrôle des habitants qui ont des milliers d’années d’avance sur nous non seulement au niveau technologique mais surtout au niveau spirituel.
Question : Pouvez-vous nous décrire l’organisation politique et sociale sur Méton ?
Elizabeth Klarer : Il n'y a ni
lois ni argent ni système politique, car tout repose sur l’harmonie, le
partage et la fraternité. Il n’y a ni criminels ni délinquants. Les
Métoniens sont des êtres extrêmement doux, gentils et hospitaliers.
Leurs maisons sont belles, lumineuses et construites à l’aide d’un
matériau transparent qui les rend particulièrement confortables et
accueillantes. Les médecins se consacrent exclusivement à des activités
d’étude ou de recherche sur d’autres planètes, car il n’y a pas de
malades chez eux. Ils n’ont pas d’ennemis et il n’y a aucun prédateur
sur Méton. Leur principale préoccupation est que tout soit beau autour
d’eux. Ils ont un sens artistique inné. Leur musique et leurs peintures
sont merveilleuses. Ils affectionnent particulièrement les jardins
fleuris, les papillons et les oiseaux avec lesquels ils communiquent
télépathiquement.
Les
Métoniens n’utilisent ni livres ni ordinateurs et la plupart du temps
ils communiquent non seulement avec leurs animaux mais également entre
eux par télépathie, et c’est ainsi que se transmet l’éducation. C’est
d’ailleurs de cette manière que se réalisent la plupart des échanges
d’informations entre les êtres évolués qui habitent notre univers. Cette
méthode m’a été enseignée par Akon. Il m’arrive d’être en relation
harmonique avec leur vaisseau pour accompagner l’un des leurs à travers
la barrière de lumière et traverser l’éther, avant de rejoindre la
banque d’informations où ils stockent leurs connaissances.
Question : Comment se déroule la vie des femmes sur Méton ?
Elizabeth Klarer : Les femmes
n’ont pas à accomplir les mêmes travaux que sur la Terre. La lumière se
substitue à la force physique. Par exemple, la nourriture n’est pas
cuisinée mais préparée grâce à la lumière. Les Métoniens sont moins
nombreux que les Terriens. Mais il arrive à certains couples d’avoir
beaucoup plus d’enfants. Cela provient de ce qu’ils vivent bien plus
longtemps et peuvent continuer à avoir des enfants durant plusieurs
centaines de nos années. Il n’y a aucun problème lié à l’âge. Ils
recourent cependant souvent à des contraceptifs naturels, pour éviter de
se retrouver confrontés aux problèmes récurrents de surpopulation que
nous connaissons sur la Terre. Il n'y a ni mariages et ni divorces. Une
fois qu’ils ont trouvé leur compagne ou leur compagnon, ils restent
ensemble pour la vie, et si l’un des deux est victime d’un accident, il
se réincarne et revient tout simplement dans la même maison poursuivre
et terminer son incarnation au côté du même partenaire.
Question : Vous avez mentionné l’existence de sept planètes autour de Proxima. Comment se nomment les autres ?Elizabeth Klarer : Elles n’ont pas de noms, seulement des nombres harmoniques. Akon m’avait donné le nom de Méton pour faciliter nos communications personnelles. Mais les habitants de Méton n’utilisent pas ce nom.
Question : Que représente le temps pour eux ? Comment le mesurent-ils ?
Elizabeth Klarer : Ils ne se
préoccupent pas du temps. De toute façon, leur système tristellaire ne
leur permettrait pas de le faire, car il n’y a jamais de nuit ni de
transition entre les journées sur Méton. Quand la plus petite étoile,
Proxima (Alpha C), se couche, les deux autres soleils, Alpha A et Alpha B
se lèvent. Ils sont plus éloignés de Méton que Proxima, mais beaucoup
plus gros. Leur lumière produit sur Méton à peu près le même niveau
d’ensoleillement que celui provenant de Proxima, malgré la distance plus
grande et leur vibration moins rapide.
Vision tristellaire
Question : Je présume que Méton se trouve dans une dimension plus élevée que la Terre.
Elizabeth Klarer : Oui, mais
c’est une dimension qui demeure proche de la matière. Ce n’est pas une
dimension totalement spirituelle comme la cinquième.
Question : Pour en revenir aux vaisseaux-mères, vous avez dit qu’ils sont construits dans l’espace. Comment cela est-il possible ?
Elizabeth Klarer : En réalité,
il ne s’agit pas exactement de construction, mais plutôt de création.
Ils sont créés dans l'atmosphère des planètes puis assemblés sur les
planètes elles-mêmes. Les plus anciens furent conçus y a des millions
d’années et construits par des Vénusiens. Après avoir colonisé la Terre,
ils comprirent qu’ils ne pourraient continuer à y habiter. Ils
décidèrent alors de réaliser plusieurs immenses vaisseaux pour emmener
le maximum de personnes ainsi que des spécimens de notre faune et de
notre flore.
C’est en raison de la nature instable de
notre Soleil et des cataclysmes qui se produisaient régulièrement sur
la Terre que les Vénusiens décidèrent de la quitter. Ils se mirent alors
en quête d’un système qui soit assez proche de notre système planétaire
tout en étant mieux adapté à leur mode de vie et de pensée. C’est ainsi
qu’ils découvrirent Proxima Centauri, qui était d'une étoile semblable
au Soleil, mais bien plus âgée et donc beaucoup plus stable. Ils
s’installèrent finalement sur Méton qui est actuellement la planète qui compte le plus de Vénusiens, parce
qu’elle ressemble beaucoup à Vénus, telle qu’elle était à l’époque où
ils y vivaient encore. Les conditions atmosphériques et climatiques y
sont à peu près identiques, et surtout, son taux vibratoire est bien
mieux adapté que celui de la Terre à leur niveau de conscience actuel.
Ils ont cependant encore des bases sur la Lune, Mars et sous la Terre
qu’ils continuent de visiter régulièrement.
Question : Les Vénusiens ont-ils joué un rôle en Lémurie et en Atlantide ?
Elizabeth Klarer : Oui, Atlantis était leur base principale et ils en avaient une autre en Amérique du Sud. Les Incas étaient les descendants directs des anciens colons vénusiens. Il
y avait également une base vénusienne dans la région de la Cordillère.
Ils y sont restés jusqu'aux grands bouleversements de l'Atlantide qui
ont profondément modifié la topographie des Andes : les éruptions
volcaniques ont soulevé cette région. La partie la plus fertile est
devenue aride et montagneuse. Il subsiste des vestiges de cette
civilisation au bord du lac Titicaca et aussi sous le lac.
Question : D’où vient le reste de la population terrestre, puisque vous dites que seule une petite partie est originaire de Vénus ?
Elizabeth Klarer : La
population terrestre actuelle était à l’origine essentiellement composée
d’indigènes autochtones descendant d’anciennes races issues de
croisements génétiques, auxquels il faut ajouter un petit groupe
d’anciens colons vénusiens qui choisirent de rester lorsque la majorité
d’entre eux émigrèrent à destination de Proxima Centauri. Ceux qui ont
choisi de rester l’ont fait pour pouvoir continuer à veiller sur la
planète et aussi pour encadrer l’évolution des Terriens de souche
terrestre.
Les
Vénusiens cherchent actuellement à préserver la vie sur la Terre et à
la réinsuffler non seulement sur la planète Vénus, qui était à l’origine
parsemée de mers et recouverte d’une flore luxuriante comme l’est celle
de Méton, mais aussi sur la planète Mars, car l’avancement
technologique de leur civilisation et leur haut degré de spiritualité
leur permet désormais d’accomplir la mission à laquelle ils se préparent
depuis des milliers d’années : rendre la plupart des systèmes
planétaires de notre galaxie habitables par des humains.
Question : Comment cela est-il possible, puisque les scientifiques prétendent que le Soleil est en train de mourir ?
Elizabeth Klarer : Le Soleil
n’est pas du tout en train de mourir, mais simplement de se transformer.
Il produit actuellement plus d’énergie qu’il n’en absorbe et donc il se
refroidit. Mais pendant que le Soleil se refroidit, Jupiter se
réchauffe et s’embrasera dans un futur très proche. Notre système
deviendra alors bistellaire, car Jupiter est en train de devenir une étoile. Il y aura bientôt deux Soleils dans notre ciel !
Elizabeth Klarer : Les Terriens
d’origine remontent à l’époque des dinosaures. Au moment de leur
disparition, il y eut une période de très grande activité solaire. Le
rayonnement ultraviolet détruisit une grande partie de la faune et de la
flore. Les survivants des anciens autochtones, qui étaient peu
nombreux, se réfugièrent dans des grottes, non pas pour se protéger du
froid ni des prédateurs, mais pour se protéger de certaines radiations.
Et ils ont survécu grâce à l’aide des Vénusiens.
Question : Êtes-vous la flamme
jumelle d’Akon et provenez-vous de la même conscience originelle, ou
bien est-il pour vous une sorte d’âme-sœur avec laquelle vous avez déjà
partagé d’autres existences ?
Elizabeth Klarer : Nous
sommes tous deux originaires de la même planète et nous sommes tous
deux des flammes jumelles depuis toujours, parce que nous avons la même
conscience unitaire. Je me souviens parfaitement de mon
existence précédente sur Vénus au côté d’Akon, et nous avons toujours
vécu ensemble à travers les âges. Je n’avais jamais vécu sur la Terre
jusqu’à cette présente incarnation.
Deux âmes-sœurs sont tout l’une pour
l’autre, et aucun autre être au monde ne peut leur apporter la même
plénitude. Tous les êtres que vous avez vous-même rencontrés depuis le
commencement de vos multiples incarnations, tous les maris ou toutes les
femmes que vous avez eus, tous vos anciens amants et toutes vos
anciennes maîtresses vous ont quitté parce qu’ils ne vous étaient pas
accordés harmoniquement. Vous avez peut-être été ensemble un moment,
mais comme un pot et un couvercle qui ne s’adaptent pas. Tandis que deux
âmes qui ont été conçues ensemble au sein de la grande Matrice
originelle sont absolument faites l’une pour l’autre ; rien ne peut les
séparer, pas même des années-lumière, et elles n’ont aucune crainte de
l’être.
Lorsque, dans un couple, l’un ou l’autre
a peur que l’on vienne séduire son partenaire - et rien en effet ne
peut empêcher que cela se produise ! - c’est que ce partenaire n’est pas
le bien-aimé véritable, l’âme-sœur. Une femme aime un homme, mais il
l’abandonne ; un homme aime une femme, mais elle part avec un autre… Les
âmes-sœurs, au contraire, se reconnaissent avec une certitude absolue
et ne peuvent se quitter.
Il nous est cependant arrivé d’être
séparés durant de courtes périodes. Ainsi, j’ai un travail à terminer
ici et Akon en a un autre à accomplir sur sa planète. Ma mission
consiste à expliquer la réalité extraterrestre, à parler de leur
civilisation et à préparer les gens à leur future intervention sur la
Terre. Je dois aussi leur expliquer ce qui risque de se produire si nous
ne nous comportons pas correctement envers la nature.
Question : Le niveau
d’avancement des Métoniens semble tel que l’on aurait pu supposer qu’ils
aient déjà dépassé le plan physique et qu’ils aient définitivement
rejoint des plans de conscience plus spirituels. Pourquoi ont-ils encore
des corps physiques comme les nôtres ?
Elizabeth Klarer : Il leur est
ainsi plus facile de communiquer avec les civilisations qui évoluent
dans la matière dense. Il n’y a d’ailleurs pas d’inconvénients pour eux à
rester dans le plan physique : ils sont toujours en bonne santé ; ils
ne subissent pas les effets négatifs du vieillissement. Par ailleurs,
ils semblent apprécier la vie physique. Et ils sont libres de tout
karma.
Extraits d’interviews d’Elizabeth Klarer
réunis et traduits par Olivier de Rouvroy
Juillet 2012
réunis et traduits par Olivier de Rouvroy
Juillet 2012
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Ils
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Alex Collier, Jean-Paul Appel-Guéry, Lou Baldin et Sheldan Nidle.
La
plupart d’entre eux n’ont pas hésité à sacrifier leur carrière, leur
réputation, le confort douillet de leur vie familiale, acceptant souvent
d’être ridiculisés, traînés dans la boue, menacés, parfois même
torturés, afin que la vérité sur la question des extraterrestres puisse
enfin être dévoilée.
Leurs
témoignages concordent tous et projettent un nouvel éclairage sur la
grande opération que les membres dispersés de notre famille galactique
mettent en ce moment même et conjointement en place afin de se
manifester massivement sur la Terre et de nous aider à y instaurer notre
future civilisation, la civilisation de l’Âge d’Or.
Ce nouveau livre contient de nombreux textes inédits. Vient de paraître (Juin 2012) :
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