Le Bene Gesserit, dans le cycle romanesque de Dune, est une sororité (s'appuyant sur un lignage matrilinéaire).
Cette société (séculaire et même plurimillénaire de sœurs) a un but secret messianique : obtenir par croisements/mariages, sur des générations et des générations, le Kwisatz Haderach.
Pour arriver à leurs fins, les Sœurs développent des techniques mentales (et même guerrières) et sont dans l'ombre des puissants du Landsraad, sans oublier le monarque suprême : l'Empereur Padishah. Elles apportent leurs services intellectuels et, en échange, contrôlent les naissances.
Lignage matrilinéaire, prophétie messianique, concentration d'intellectuels, grande proximité avec le pouvoir politique/militaire ... tous ces éléments me font penser à la diaspora juive. Élément supplémentaire : la sonorité de "Bene Geserit" m'évoque étrangement une organisation juive : le B'nai B'rith.
L’Ordre indépendant du B'nai B'rith (בני ברית, de l'hébreu : « Les fils de l'Alliance ») est la plus vieille organisation juive toujours en activité dans le monde.
Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843, par douze personnes, dont Henry Jones et deux frères, juifs émigrés d'Allemagne, qui avaient appartenu à la Société des Frères (Brüder Bund) qui joua un certain rôle dans l'élaboration de la Première Internationale (Association internationale des travailleurs).
Ils voulaient fonder un système d'entraide pour les juifs arrivant aux
États-Unis et devant faire face à des conditions de vie difficiles. C'est à partir de cette base, d'aide humanitaire et de services,
qu'un système de loges et chapitres fraternels grandit aux États-Unis,
puis dans le monde entier.
B'nai B'rith International est également affilié au Congrès juif mondial.
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8 commentaires:
L'ordre du Bene Gesserit est, dans la série de romans du Cycle de Dune de l’écrivain Frank Herbert, un groupement d’individus de sexe féminin qui exerce une influence politique et religieuse au travers des siècles dans la société de l'Imperium, puis dans les siècles suivants, pour mener l'humanité vers des buts qui lui sont propres.
Ce groupe, aux origines et motivations mystérieuses, est décrit comme une fraternité exclusive de sœurs dont les membres entraînent leur corps et leur esprit à travers des années de conditionnement physique et mental afin d'obtenir des pouvoirs et des capacités surhumaines. Les acolytes qui achèvent l'enseignement dispensé par le Bene Gesserit sont appelés Révérendes Mères dans les rangs de l'organisation.
Organisation semi-mystique et école réputée, le Bene Gesserit et ses Sœurs sont connues pour leurs capacités spécifiques qu'elles ont jalousement développées et codifiées au fil des siècles, qui peuvent sembler magiques aux yeux des étrangers, au point d'être surnommée les Sorcières du Bene Gesserit par leurs ennemis.
Du fait des compétences uniques dont dispose le Bene Gesserit, celui-ci est l'objet d'alliances avec les autres forces et maintient son influence en éduquant et proposant son enseignement aux femmes des Grandes Maisons, et en installant certaines de ses initiées en tant qu'épouses et concubines dans les familles importantes (notamment celles des Grandes Maisons) à son avantage. Les Sœurs du Bene Gesserit ne sont cependant fidèles qu'à elles-mêmes. En effet, le Bene Gesserit, pour atteindre ses objectifs et éviter les ingérences extérieures fait souvent passer l’illusion d’être fidèle à d’autres groupes ou individus, pour mieux les manœuvrer. Chacun des mouvements du Bene Gesserit est calculé en fonction d'un résultat précis et déterminé à l'avance.
L'un des secrets les mieux gardés de l'Ordre est de faire aboutir son programme génétique millénaire, dont le but est de créer le Kwisatz Haderach, l'être suprême, qui leur donnera les clés du passé et du futur de l'humanité par son accès sans limite à la mémoire génétique de ses ancêtres mâles et femelles. Néanmoins, à la suite de l'avènement inattendu du Kwisatz Haderach en la personne de Paul Atréides qui échappera à tout contrôle de la part de l'Ordre et, ultérieurement, du règne du « Tyran » Leto II Atréides qui mettra le Bene Gesserit à genoux pendant plus de trois millénaires sans pour autant l'éradiquer, la communauté des Sœurs continuera son programme génétique avec prudence, en s’assurant avant tout de ne pas perdre le contrôle de son projet pour ne pas renouveler son erreur.
Le Cycle de Dune est une œuvre littéraire de science-fiction créée par l’écrivain américain Frank Herbert dont le premier tome est paru aux États-Unis en 1965.
Après la mort d'Herbert, son fils Brian Herbert, assisté de Kevin J. Anderson, a apporté des compléments posthumes à cette œuvre.
Cycle original de Frank Herbert
1965 : Dune
1969 : Le Messie de Dune
1972 : Et l'homme créa un dieu sous-titré Prélude à Dune car situé chronologiquement avant le premier volume.
1976 : Les Enfants de Dune
1981 : L'Empereur-Dieu de Dune
1984 : Les Hérétiques de Dune
1985 : La Maison des mères
Livres écrits par Brian Herbert et Kevin J. Anderson
Livres écrits par Brian Herbert et Kevin J. Anderson postérieurement à l’œuvre de Frank Herbert
Sous-cycle Avant Dune
2000 : La Maison des Atréides
2001 : La Maison Harkonnen
2002 : La Maison Corrino
Sous-cycle Dune, la genèse
(Remarque : suivant une bizarrerie de traduction, les titres des deux premiers tomes sont inversés en français. Les titres indiqués ici sont les titres des traductions françaises sous lesquels on peut trouver ces livres.)
2003 : La Guerre des machines (titre original : The Butlerian Jihad)
2004 : Le Jihad butlérien (titre original : The Machine Crusade)
2005 : La Bataille de Corrin (titre original : The Battle of Corrin)
Livre isolé :
2005 : La Route de Dune. Il s'agit d'un ouvrage assez particulier car il contient, outre des nouvelles de Brian Herbert et Kevin J. Anderson, des chapitres originaux de Frank Herbert non publiés de Dune et Le Messie de Dune.
Sous-cycle Après Dune (suite de La Maison des mères écrit d'après les notes de Frank Herbert)
2006 : Les Chasseurs de Dune paru le 22 août 2006 aux États-Unis et au Royaume-Uni, et le 20 septembre 2007 en France dans la collection Ailleurs et Demain.
2007 : Le Triomphe de Dune paru en août 2007 aux États-Unis et au Royaume-Uni, paru le 22 mai 2008 en France dans la collection Ailleurs et Demain.
Sous-cycle Légendes de Dune.
Ce sous-cycle, écrit après le sous-cycle Après Dune prend place entre les romans Dune et L'Empereur-Dieu de Dune du cycle original de Frank Herbert. Il comprend quatre romans :
2008 : Paul le prophète paru en août 2008 aux États-Unis et au Royaume-Uni, paru le 4 mai 2009 en France dans la collection Ailleurs et Demain.
2009 : Le Souffle de Dune paru le 4 août 2009 aux États-Unis et au Royaume-Uni, paru le 22 avril 2010 en France dans la collection Ailleurs et Demain.
date inconnue : The Throne of Dune
date inconnue : Leto of Dune
Sous-cycle Dune, les origines
Ce sous-cycle se déroule peu de temps après la fin du sous-cycle Dune, la genèse
2012 : La Communauté des sœurs paru le 3 janvier 2012 aux États-Unis et au Royaume-Uni, paru le 23 mai 2013 en France dans la collection Ailleurs et Demain.
2014 : Les Mentats de Dune paru le 11 mars 2014 aux États-Unis et au Royaume-Uni, paru le 20 novembre 2014 en France dans la collection Ailleurs et Demain.
2016 : Navigators of Dune paru le 13 septembre 2016 aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Adaptations filmées
Cinéma
Dune (1984) de David Lynch.
Dune de Denis Villeneuve, prévu pour sortir en 2020.
Jodorowsky's Dune (2013) film documentaire de Frank Pavich. Voir aussi Dune (Alejandro Jodorowsky).
Télévision
Dune (2000), mini-série de 3 épisodes de 90 minutes adaptée et réalisée par John Harrison.
Les Enfants de Dune (2003), mini-série de 3 épisodes de 90 minutes adaptée par John Harrison et réalisée par Greg Yaitanes.
La Communauté des sœurs, une série prévue, qui devrait accompagner le film de Denis Villeneuve, basée sur cet ordre mystique féminin au cœur de la saga d'origine.
La famille matrilinéaire est un système de filiation dans lequel chacun relève du lignage de sa mère. Cela signifie que la transmission, par héritage, de la propriété, des noms de famille et titres passe par le lignage féminin.
Toutefois, une gradation dans la transmission des noms ou des titres de propriété se remarque à mesure de l'emprise de la filiation patriarcale. Dans la filiation matrilinéaire, cette transmission en arrive alors à passer de l'oncle (le frère de la mère) au neveu (le fils de la sœur).
La transmission de l'héritage (notoriété, position sociale, biens et services) s'est d'abord effectuée de mère à fille.
Les relations sociales régnant dans les sociétés matrilinéaires peuvent trouver une caractérisation dans le fait même de la position de la femme : étant la personne par laquelle passent les ancêtres (la mémoire de la société en question, son histoire, ses faits, ses gestes), elle trouve un respect qu'elle a perdu plus tard de la part de son compagnon devenu patriarche. De plus, la vertu régénératrice du coït étant totalement ignorée, il y règne une très grande permissivité sexuelle avant le mariage.
Des femmes continuent de transmettre leur nom, leurs biens et leurs savoirs à leurs filles, héritières d'une lignée exclusivement féminine. « La naissance de filles est donc nécessaire puisque ce sont elles qui transmettent la filiation », explique Françoise Héritier, anthropologue française féministe, experte des systèmes de parenté et qui a succédé à Claude Lévi-Strauss au Laboratoire d'anthropologie sociale du Collège de France. Les fils, eux, appartiennent par leur naissance au groupe de leur mère, mais ils ne transmettent pas cette filiation à leurs enfants ».
Toutefois, Françoise Héritier ajoute : « Ce qui ne veut pas dire que les sociétés matrilinéaires soient des sociétés où le pouvoir appartient aux femmes. Les femmes ont des frères, qui exercent leur autorité sur leurs sœurs et sur leurs neveux ».
Le messianisme, sur le plan religieux, est la croyance en un messie, un sauveur ou rédempteur. Les religions ont souvent un concept de messie, comme le messie juif, le Christ du christianisme, et le messie Îsâ (= Jésus) dans l'islam, l'avatar Kalki hindou et le maitreya bouddhiste.
Histoire
Le nom messie en français (en arabe "Massih", en anglais "Messiah") vient de l'hébreu מָשִׁיחַ, mashia'h, qui signifie l'oint, c'est-à-dire la personne consacrée par le rite de l'onction, réalisée par un prophète de Dieu.
Dans la Bible, les rois Saül puis David sont oints par Samuel.
En grec, on le nomme Christ, Χριστός, Christós, qui signifie « oint », traduction du terme hébraïque de mashia'h.
Dans le Coran, livre sacré des musulmans, le terme de "Massih" fait obligatoirement référence à Jésus "Issa", définit comme " un Don " et un " fils pur ", annoncé par l'Ange Gabriel qui apparu à Marie, " Sourat 19(Maryam):v19 - Il dit : "Je suis en fait un Messager de ton Seigneur pour te faire don d'un fils pur". " et est un Prophète qui est mentionné à plusieurs reprises dont dans une Sourat' qui porte le nom de "Maryam" Sourat 19 (Marie, mère de Jésus) Le terme Messie, dans les trois grandes religions monothéistes, invoque le passé et le futur. Le passé pour la vie du Messie en tant que Prophète et Messager. Et le futur pour son Retour sur terre afin de combattre son usurpateur.
À savoir : seuls les Chrétiens et les Musulmans reconnaissent Jésus comme étant le Messie.
Les différents types de messianisme
* Juifs, donc descendants d'Abraham, adhérant au messianisme juif, croient au retour du prophète Élie ainsi qu'à l'avènement du Messie. À ne pas confondre avec le judaïsme messianiste, ancêtre du christianisme ancien, ni le judaïsme messianique, un ensemble de mouvements judéo-chrétiens à visée évangélisatrice, non reconnu par les courants du judaïsme dans leur ensemble.
* Chrétiens, adhérant à l'eschatologie chrétienne, croient que Jésus de Nazareth est le Messie, qui a vécu au Ier siècle, et croient à son second avènement, précédé de la venue de deux témoins (Élie et Hénoch).
* Musulmans, donc descendants d'Abraham, adhérant à l'eschatologie islamique, croient au second avènement du Mahdi ainsi que du messie Îsâ (Jésus de Nazareth).
* Hindouistes, croient en l'avènement de l'avatar Kalki.
* Bouddhistes, adhérents aux courants theravāda et mahāyāna croient en l'avènement de Maitreya.
* Maitreyistes, adhérents d'un courant syncrétique chinois actif du VIe au XIVe siècle, voyaient aussi en Maitreya un sauveur, mais dans un système de croyances différent du bouddhisme orthodoxe.
Le Kwisatz Haderach, « Le court chemin », est un personnage de l’univers fictif de Dune écrit par Frank Herbert. Il s’agit d'un nom probablement tiré du terme hébraïque d'origine talmudique et kabbalistique, קְפִיצַת הַדֶּרֶךְ, dont la signification est « contraction du chemin » qui se réfère à une téléportation miraculeuse.
Description
Il est celui que les Sœurs du Bene Gesserit essaient de réaliser depuis des milliers d’années en manipulant les lignées génétiques, notamment celles de la Maison Atréides. Il apparaît après avoir suivi une formation très spécifique.
Les sœurs affirment que le Kwisatz Haderach peut voir là où elles ne peuvent. Il a accès à la totalité des mémoires de ses ancêtres, tant masculins que féminins, au contraire des sœurs qui n’ont accès qu’à la lignée maternelle (mère-fille-mère-fille). L'expansion de ses mémoires devient exponentielle, tandis qu'avec les sœurs, elle est linéaire. Cette énorme quantité d'informations lui permet de voir des motifs en analysant ses mémoires, et voir aussi les possibilités illimités. Il en découle qu'il possède une forme de prescience et de « voir » le futur.
Dame Jessica, sœur du Bene Gesserit, mère de Paul Atréides et concubine du Duc Leto Atréides, aurait dû enfanter une fille du Duc, conformément au programme génétique des sœurs. Ceci afin que cette fille procrée avec Feyd-Rautha Harkonnen pour donner naissance au si attendu Kwisatz Haderach.
Mais par amour pour son Duc, Jessica décide de lui donner un fils, Paul, bouleversant totalement les plans du Bene Gesserit, devenant ainsi une renégate à leurs yeux. Le début de la prophétie du Kwisatz Haderach est annoncé lorsque Paul réussit le test du Gom Jabbar. Paul prend alors conscience de ses énormes pouvoirs et devient le Kwisatz Haderach, échappant ainsi au contrôle des Sœurs…
Les Sœurs sont restées partagées quant à Paul et ne l’ont jamais vraiment reconnu en tant que Kwisatz Haderach. Certaines ont douté : après tout, un plan de sélection génétique étendu sur plusieurs milliers d’années ne peut être précis à une génération près. D’autres ont persisté dans leurs recherches. Après la perte de la lignée Harkonnen à la fin du premier roman, plusieurs possibilités ont été envisagées : l’accouplement de Paul et de sa sœur Alia, de Paul et Irulan… Lorsque Paul, devenu aveugle part affronter le désert comme le veulent les traditions Fremen, le Bene Gesserit se tourne vers ses enfants, espérant récupérer la lignée grâce à un inceste entre Leto et Ghanima.
Le Landsraad est une organisation politique fictive de l'univers de Dune, créé par Frank Herbert.
Le Landsraad est une sorte de parlement rassemblant les maisons majeures et mineures de l'univers connu. Il possède un important rôle politique et économique dans l'Empire et ses représentants traitent avec l'Empereur Padishah ou divers organismes tels que la CHOM (Combinat des Honnêtes Ober-Marchands) ou la Guilde spatiale.
Les Empereurs Padishah de Dune sont des monarques fictifs apparaissant dans la série de romans de science-fiction du cycle de Dune de l’écrivain Frank Herbert. Dans cet univers de fiction, on désigne l'Empereur Padishah par le terme d’« Empereur d’un million de mondes », ou « le Sublime ».
Son pouvoir militaire important (les Sardaukar) est contrebalancé par la Guilde spatiale, la CHOM, le Bene Gesserit et les Grandes Maisons nobles du Landsraad.
Dans le monde réel, Padishah en persan veut dire le « grand roi » ; c'est le titre des empereurs iraniens.
Description et historique
Le titre de noblesse d'Empereur Padishah est créé par les vainqueurs de la bataille de Corrin : Faykan Butler change de nom, pour prendre celui de la Maison Corrino, en l’honneur de sa victoire sur les machines pensantes sur la planète Corrin.
En tant que grand gagnant du Jihad Butlérien, la maison Corrino occupe alors le trône sans discontinuer, jusqu’au règne de l'empereur Shaddam IV. Celui-ci, impliqué aux côtés de la Maison Harkonnen dans un complot contre la Maison Atréides, est renversé. Le Duc Paul Atréides — alias Muad'Dib — et ses troupes Fremen, victorieux de Shaddam IV et de ses Sardaukars, capturent l'empereur et le forcent à abdiquer, laissant la régence à sa fille ainée, la princesse Irulan.
En épousant la princesse Irulan, Paul Atréides monte alors sur le trône. Il est à noter que le terme « Padishah » n'est plus mentionné par la suite, Paul et son fils étant simplement nommés Empereurs. Quelques dizaines d'années plus tard, Paul Atréides, devenu aveugle lors d'un attentat contre sa personne, et conscient, grâce à son don de prescience, des dangers vers lesquels se dirige l’humanité, disparait dans le désert. Le trône est alors occupé en régence par Alia Atréides, la sœur de Paul, en attendant que les enfants de Paul et de Chani, Leto II et Ghanima, soient en âge de régner.
Par la suite, possédée par l’esprit de son grand-père, le baron Vladimir Harkonnen, Alia se suicidera, laissant le trône à son neveu, Leto II, le fils de Paul. Leto, prescient lui aussi comme son père, fusionne avec des truites des sables afin de devenir un être mi-ver/mi-homme, quasi immortel et invulnérable, pour guider pendant des siècles l’humanité sur le long et difficile Sentier d'Or.
Quand, des siècles après, Leto Atréides II meurt dans un attentat fomenté par son ghola Duncan Idaho — un clone de l'ancien soldat de la maison Atréides, fourni par le Bene Tleilax — et sa descendante, Siona Atréides, l’Empire s’écroule. La cohésion de l’humanité est alors brisée, et la race des hommes se propage dans tout l’univers, via la Grande Dispersion. La cohésion des forces humaines est alors assuré par les Sœurs du Bene Gesserit, mais le système impérial est totalement brisé et ne se relèvera plus, bien que les descendants des différentes Grandes Maisons soient encore présents dans l’univers, les gènes originaux de chacun étant dispersés.
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