Le 18 janvier 1920, un commentaire sur le Système de la Réserve Fédérale figurait en page éditoriale du New York Times. L'auteur de ce commentaire non signé (peut-être Paul Warburg), y déclarait ceci : "La Réserve Fédérale est une source de crédit, pas de capital." C'était l'une des déclarations les plus révélatrices jamais faites sur le Système de la Réserve Fédérale. Elle dit que le Système de la Réserve Fédérale n'ajoutera jamais rien à la structure du capital ou à la formation du capital aux États-Unis, parce que la FED est organisée pour produire du crédit et créer de la monnaie en vue d'alimenter le crédit et la spéculation, au lieu de fournir les capitaux nécessaires au progrès du commerce et de l'industrie. Exposé simplement, la capitalisation signifierait l'apport de billets adossés à du métal précieux ou à d'autres matières premières. Les billets de banque de la Fed ne sont que du papier-monnaie ne reposant sur rien et prêtés avec intérêt.
Guillaume TM, d'après Les secrets de la Réserve Fédérale, d'Eustace Mullins
Le nom de la monnaie impériale, "crédit impérial", sous la dynastie Raïmo porte à confusion (par rapport aux crédits bancaires avec intérêts du XXIème siècle ou plus généralement à l'usure légalisée à la fin du XVIIIème siècle) car ils sont créés par la BIC (Banque Impériale de Crédit):
- pour la formation de capital (de richesse) par le travail
- et surtout sans taux d'intérêts.
"La valeur fixe est garantie par l'Empereur et représente le prix d'une minute de travail qualifié."
De plus, "la Banque Impériale de Crédit (BIC) frappe une monnaie en or dont l'usage est accepté sur tous les mondes arriérés", en utilisant la bien-nommée Planète d'Or comme réserve/stock de matière première. Ce fief a été confié à la Maison Winds'Or ; d'où est issue traditionnellement l'épouse de l'Empereur.
La Banque Impériale de Crédit (BIC) est la seule banque émettrice de crédits impériaux. Contrairement à ce qui se pratiquait communément sur Terre au NT4 ("niveau technologique 4" : de la révolution industrielle à la maîtrise des voyages interstellaires), aucune autre banque dite centrale et/ou privée, n'a ce privilège d'émission. Elle est directement associée à la fonction d’Empereur Galactique.
Sous l'Empire Galactique, les banques de la Hanse des Marchands sont soit des banques de dépôt, soit des banques d'affaire (qui investissent la monnaie dont elles disposent préalablement ; c'est-à-dire avec interdiction de créer elles-mêmes cette monnaie ex nihilo). Formulé différemment : elles n'ont pas le droit d'émettre de la monnaie scripturale (monnaie-dette avec intérêts).
La création monétaire est exclusivement liée au travail, à la production de richesse réelle. Quand le Clergé, l'Armée, la Hanse des Marchands, la Guilde Spatiale ou la Loge Tekno veulent payer leurs employés ou acheter quoi que ce soit, si elles n'ont pas les fonds nécessaires, elles empruntent des crédits impériaux à la BIC qui, en échange, leur demande l'exacte compensation :
- sous forme de services (éducation-formation, protection, administration, transport ...)
- ou de biens matériels (production de capital)
... sans intérêts !
L'étymologie du mot crédit provient du latin, avec creditum, supin du verbe credo (croire). Donc littéralement la croyance que celui qui emprunte pourra rembourser.
Dans la cas de la monnaie impériale, si l'Empereur octroie de nouveaux crédits impériaux à de grandes guildes, il leur accorde sa confiance dans leur capacité à créer de nouvelles richesses équivalentes à la monnaie émise, et à le rembourser. La menace de représailles de la part des Scorpionautes est suffisamment convaincante pour que les débiteurs de l'Empereur honorent toujours leurs dettes.
Inversement, cette monnaie est garantie par l'Empereur lui-même. Tout citoyen/sujet de l'Empire Galactique accorde sa confiance dans le pouvoir (l'autorité, l'influence, la considération) suprême incarné par cet individu unique.
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