"Changements brusques" de vitesse Certaines fois nos vaisseaux, que l'on a vu se déplacer à des vitesses même supérieures à Mach 15 , semblent changer brusquement de direction (Image 16).
Il est fréquent que ce changement soit orthogonal, virant brusquement sa trajectoire de quelque 90° sexagésimaux terrestres sans enchaînement ou sans virage, et souvent un tel angle peut être encore plus aigu. Parfois le vaisseau semble même inverser sa vitesse tangentielle "en s'arrêtant instantanément" et en revenant par la même trajectoire (image 17).
La mission d'exploration peut exiger aussi une immobilisation instantanée de la UEWA OEM en vue de l'efficacité d'analyse. Dans ce denier cas, un quelconque observateur étranger au véhicule qui observerait le déplacement hypersonique de loin, peut être surpris en assistant à l'immobilisation brusque de la UEWA comme si elle avait heurté un obstacle invisible. Pour cet OEMII, son illusion visuelle sera pour le moins interprétée dans les termes précédents. Je traiterai donc, monsieur, ce qui se passe vraiment dans ces cas. Le changement "si spectaculairement interprété" du régime cinématique de nos UEWA (modification du gradient de vitesse aussi bien en grandeur qu'en orientation ou sens) peut être provoqué durant la navigation par des incidents imprévus (véhicules étrangers qui se rapprochent, tempêtes qui peuvent perturber une observation intéressante, nécessité d'éviter des champs électromagnétiques dans des zones dont l'intensité de propagation peut être aussi perturbatrice, faisceaux de radiation déci ou centimétrique que vous utilisez en radiolocalisation quand notre système d'absorption de telles fréquences pour annuler les échos doit être bloqué pour éviter les risques d'altérer d'autres mesures intéressantes, etc.). Généralement c'est le XANMOO AYUBAA de l'UEWA qui adopte la décision de changer rapidement de cap, après l'analyse logique des multiples paramètres-réponses recueillis par les organes sensitifs (UEWA) du vaisseau . Comme de tels agents perturbateurs se trouvent dans le cadre tridimensionnel dans lequel se déplace la UEWA, il est clair que l'efficacité maximum sera obtenue par un changement brusque et réel de la route et même de la magnitude de sa vitesse tangentielle Uo. La solution, telle que nous l'exposons, n'est pas viable physiquement. Les effets immédiats seraient l'annihilation du vaisseau. |Uo| ne se modifie pas, un virage brusque de 90° sexagésimaux terrestres suppose un accroissement instantané de l'accélération centripète, si brusque (n'oubliez pas que nous nous référons à un rayon de courbure presque nul au sommet de la trajectoire), que la masse du véhicule subirait une compression annihilatrice. D'autre part arriver à paralyser instantanément la masse de l'UEWA, dont la quantité de mouvement due à la haute vitesse à cet instant est très grande, équivaudrait à un choc semi-plastique si catastrophique que la chaleur développée vaporiserait et ioniserait tous les composants de celle-ci (inutile de parler du sort des voyageurs).
Voyons comment notre technique nous permet alors d'obtenir cet effet identique sans provoquer un bouleversement si grave. Premièrement, voyez dans la notice de l'image 18 le cas où l'UEWA doit changer brusquement sa trajectoire " m-p " à cause de la présence d'un agent perturbateur. Au point "P" est provoqué alors le changement de système tridimensionnel (de XYZ à X'Y' Z') c'est-à-dire la OAWOLEAIDAA. De plus le véhicule suit une trajectoire P-P', formant une boucle, et presque à la même vitesse de régime (Uo subit un léger accroissement). La rentrée au cadre tridimensionnel "habituel" est maintenant beaucoup plus précise si elle se produit au même point P (P <-> P') car le choix d'un quelconque autre point dans le second système tridimensionnel pourrait donner lieu à des erreurs considérables de position et de situation. La seconde branche de la trajectoire P-N peut être de nouveau visualisée par un observateur situé dans le XYZ, mais qui n'a pas pu " voir " la boucle P-P'. De plus, comment a-t-il pu commettre l'erreur de croire que le vaisseau inversait brusquement sa direction ? Un profane quelconque pourrait argumenter que l'OEMII (observateur) a pu voir que le vaisseau disparaissait un instant au point P pour après " réapparaître" de nouveau au même point, continuant son vol dans la nouvelle orientation. Mais cela ne se passe pas ainsi pour un œil structuré comme celui d'un être humain, qu'il soit de OYAAGAA (Terre) ou d'UMMO. Car l'intervalle de temps entre P et P' (trajectoire en boucle dans le cadre X'Y'Z') est si court que [par un effet psychophysiologique bien connu des psychologues de la Terre comme de nos spécialistes (vous le nommez persistance rétinienne des images optiques) et qui permet à vos frères terrestres de contempler les images télévisées et cinématographiques, de visualiser des phénomènes avec un appareil que vous appelez stroboscope et même d'obtenir plus de beauté des spectacles de feux d'artifice] le phénomène apparaît comme CONTINU ou sans intermittence sans l'être réellement.
L'image 19 et l'analyse, faite par vous, monsieur, en appliquant une justification technique semblable à celle qui est décrite, vont servir à vous montrer comment une UEWA peut " s'arrêter brusquement " comme si elle défiait toutes les Lois Physiques constantes pour tous les points de notre WAAM (univers), c'est-à-dire sans que la soudaine régression de vitesse annihile la OAWOOLEA UEWA OEMM (la pente du gradient vitesse est alors égale à 90° sexagésimaux terrestres quand le vecteur décélération atteint une magnitude infinie). |
Dans un prochain document je vous donnerai, Monsieur, une réponse concernant votre question sur notre technique de soudure et de sectionnement ou coupure d'alliages et métaux. On n'utilise pour cela ni flamme ni arc électrique ni un effet que vous appelez Joule, car cette technique est toujours réalisée en présence d'une couche ou fine pellicule de gaz inerte (Xénon et Hélium de préférence). Le processus de fusion dans les couches externes de l'alliage est si rapide et le contrôle moléculaire de la structure cristalline si rigoureux qu'en évitant les tensions d'origine thermique les propriétés d'élasticité ne sont pas altérées, évitant de plus la formation dendritique dans la direction du refroidissement. (Je vous expliquerai ce point extrême dans le document.)
Je vous expliquerai aussi, jusqu'à un certain niveau, dans quelle mesure les membres de la UEWA peuvent établir des inter-relations avec d'autres vaisseaux et avec notre UMMO. Cela nous surprend et nous flatte que vous soyez intéressé par ces thèmes plus que par ceux en rapport avec votre profession. Quant à l'étonnement manifesté par le fait que dans la dernière conversation téléphonique nous sachions le nom de cet ami qui se trouvait à votre domicile et qui a décroché l'écouteur téléphonique, je désire vous indiquer qu'en réalité l'événement est parfaitement explicable techniquement. Il ne s'agit d'aucune transmission de caractère télépathique, comme vous l'appelez, et encore moins d'un effet transcendant et ésotérique.
L'autre question de savoir si nous possédons une méthode qui permette de mémoriser des nombres simples par un procédé purement électronique sans utiliser des noyaux de ferrite, trouve sa réponse dans la note 1 correspondante de l'Appendice.
La voix "électronique" est très ambiguë et demande une explication. Pour ce que j'ai pu en déduire au long de votre conversation téléphonique (je vous demande de m'excuser si vous avez des difficultés pour comprendre mes paroles), vous vous référez à une méthode basée sur une valvule spéciale de vide, pour mémoriser des chiffres. Non. Nous n'utilisons pas une telle méthode car dans notre technologie les propriétés électroniques des enceintes de haut vide ne sont pas utilisées. Mais je vous demande de me pardonner de vous objecter qu'en réalité vous pouvez formuler cette question à un quelconque frère de la Terre spécialisé en ordinateurs car vous ne savez pas qu'en effet, comme je vous l'ai dit dans notre presque inintelligible conversation, vous, les terrestres, avez utilisé des tables de mémoire électrostatique capables d'emmagasiner des nombres binaires grâce à l'incidence d'un faisceau d'électrons sur une plaque pourvue de " phosphore " située devant la grille collectrice. L'accès à un digit s'effectue en quelques dix micro-secondes. Et bien que ce système vous paraisse étrange, il est encore plus ancien que celui des noyaux toroïdes magnétiques. Lisez "Automatic Digital Calculators", 2ème édition, 1957, de A.D. Booth. Comme vous le voyez, en réalité le système est déjà ancien sur la planète Terre.
Votre insistance par rapport à l'attitude à avoir face à ce que vous avez qualifié la nuit dernière de cas le plus étrange que vous ayez vécu, ne nous gêne absolument pas. Notre conseil objectif est celui-ci :
Vivant dans un cadre social opposé à la croyance de ce type d'expériences, je vous conseille de maintenir secrètes vos conversations téléphoniques avec nous. Je comprends parfaitement la réaction de votre collègue ingénieur dont il est question. Ce fut une imprudence de lui permettre la lecture des documents dans ces conditions.
Cependant certains de vos frères terrestres, parmi lesquels vous figurez, peuvent montrer
un sérieux intérêt pour ce cas (s'ils se trouvent toujours dans le cercle
de vos amis intimes et familiers) et peuvent aussi recevoir des copies
de ces documents (en restreignant comme je vous l'ai dit, les paragraphes
soulignés en vert pâle).
La publication des documents suivants :
- ALLIAGES LÉGERS
- TECHNIQUE DE NOS XINIBOOA
- HISTOIRE DE NOTRE ARRIVÉE EN ESPAGNE
- DOCUMENT (ci-joint) sur OAWOOLEA UEWA OEMM
(en aucun cas les autres) est autorisée avec les restrictions suivantes :
- Les dates pour chaque document cité qui pourrait faire l'objet d'une
publicité imprimée (revues spécialisées ou textes monographiques) sont
respectivement : janvier 1970 ; avril 1968 ; sans limitation de date ;
octobre 1967. (Jamais avant les dates citées.)
- Sous aucun prétexte, ces textes imprimés relatant nos documents ne
seront signés par vous et encore moins sous votre titre professionnel
de sorte qu'ils pourraient constituer une garantie scientifique de leur
aptitude là moins qu'ils soient inclus dans le contexte d'une quelconque
publication périodique ou monographique en relation avec la divulgation
de thèmes hétérogènes, OVNI, etc., dont la fiabilité ait un niveau modéré.
Même ainsi n'y figureront ni votre nom ni votre sigle.
De toute manière partez de ce principe : nous préférons (et le conseil est bénéfique aussi bien pour nous que pour vous) que votre identité ne soit jamais liée publiquement à ces documents pour le cas où ils seraient insérés dans un quelconque moyen de communication sociale terrestre.
Au cas où ils seraient publiés, nous vous prions instamment de mettre un soin extrême dans la transcription des termes pour que la fidélité du texte original soit respectée. Les graphiques et images seront photocopiés et jamais publiés en seconde copie manuelle.
Comme vous le savez, quelques paragraphes et pages des documents cités sont, dans les feuillets dactylographiés, entourés d'un trait à l'encre noire. Quelle que soit la raison, vous ne ferez jamais une transcription de leur contenu sous forme de textes typographiés. Cette restriction ne concerne pas vos frères intéressés.
Comme il serait trop complexe de vous exposer en détail tous les cas restrictifs,
nous vous présentons en résumé la portée de notre exhortation :
- Sous aucun prétexte vous ne devez adopter des mesures qui puissent provoquer
la suspicion d'organismes ou secteurs d'opinion responsables qui ont des
moyens de perturber notre activité sur OYAGAA (Terre).
- Et cela même si nous pensons que la publication de textes cités (en
dehors des paragraphes encadrés) ne présente pas de risques de provoquer
de fortes réactions d'opinions dans les milieux scientifiques officiels
car leur caractère purement descriptif et expurgé d'un contexte véritablement
scientifico-technique les préserve dans ce sens.Bien entendu, il ne
serait pas non plus tolérable d'insister excessivement sur leur authenticité
ou aptitude.
Jusqu'à présent, dans les rares cas où vos frères de la Terre ont publié des fragments de nos documents, l'écho a été faible et donc peu dangereux pour nous. Il n'y a aucune raison technique pour penser que ceux qui vous ont été envoyés vont constituer une exception si vous respectez l'esprit - plus que la lettre - de nos prières.
Mais si malgré tout cela, vous vous décidiez un jour à les publier et que vous observez alors une réaction de curiosité excessive dans des milieux autorisés, nous vous prions de compenser cette position par une attitude de scepticisme apparent ou d'incrédulité. Sinon le danger que vous pourriez causer à nos investigations serait très élevé. Comme nous ne vous avons jamais rien demandé en échange de ces documents, nous croyons en votre honorabilité et en vos valeurs morales.
Mais en connaissance de cause, notre supplique est surtout orientée vers vous. Nous connaissons le psychisme social de l'humanité terrestre. Nous savons que dans votre pays, l'Espagne, l'OEMII qui se risque à avoir une attitude de crédulité face à ces thèmes est très peu considéré professionnellement. Comme nous vous l'avons déjà dit, votre prestige serait mis à mal si vous désirez vous porter garant de notre authenticité par votre signature. Nous vous assurons, monsieur, qu'en aucune manière nous avons besoin que le Réseau Social Terrestre sache que nous sommes provisoirement intégrés dans celui-ci pour réaliser une simple mission d'étude. Ce qui fait qu'un quelconque effort honorable de votre part pour nous " défendre " serait non seulement stérile mais de plus contre-indiqué pour mes frères.
Un cordial et respectueux salut pour votre épouse et votre fille ; leurs
paroles courtoises nous émeuvent d'autant plus qu'elles proviennent de
dames du beau pays d'Espagne.
Écrit sous la dictée de DEII 98 fils de DEII 97
Approuvé par YU 1 fille d'AIM 368
Et par UMMOAELEWE
Explications concernant le comportement apparent des UEWA OEMM Je vous ai déjà expliqué, monsieur, que nos UEWA OEMM (astronefs) se déplacent au sein de l'atmosphère à grande vitesse (bien que les plus grandes valeurs dans ce cas ne puissent être comparées avec les régimes cinématiques possibles dans l'espace dépourvu de fluide visqueux). Les sauts brusques que certains de vos frères terrestres ont cru percevoir dans la vitesse d'astronefs similaires appelés par les journalistes terrestres : soucoupes volantes, OVNI, UFO, etc., exigent une analyse plus objective. Avant tout, je désire vous signaler qu'un pourcentage très élevé de ces témoignages se rapportent (en dehors de la multiplicité des cas frauduleux, erreurs optiques, hallucinations, erreurs de perception, attribution d'un caractère interplanétaire à de simples structures terrestres, etc.) à des vaisseaux mystérieux étrangers à notre civilisation d'UMMO. Mais tant que de tels vaisseaux sont structurés avec des bases technologiques semblables aux nôtres, comme semble le suggérer leur morphologie externe - et nous l'avons vérifié dans certains cas -, vous pouvez élargir les déclarations que je vais vous faire non seulement en ce qui concerne nos UEWA OEMM OAWOOLEA mais aussi aux structures provenant sans doute d'autres astres froids, bases de réseaux sociaux très évolués (voir la note 12). Disparition du vaisseau Un observateur qui se trouve à une distance qui n'est pas excessive, peut observer l'apparente " annihilation " instantanée d'un vaisseau de ce type. Cette pseudo-disparition peut avoir deux causes : comme je vous l'ai dit dans les pages précédentes, à l'instant (OWOALEAIDA) où tous les IBOZOO UU correspondant à l'enceinte délimitée par la ITOOAA changent "d'axes " (OAWOO) dans le cadre tridimensionnel où se trouve placé l'observateur, toute la masse qui est intégrée dans cette enceinte cesse d'avoir une entité physique. Ce n'est pas qu'une telle masse soit " annihilée", car le substrat de cette masse est composé par les IBOZOO UU ou autrement dit la masse s'interprète comme un PLISSEMENT DE LA CHAINE DES IBOZOO UU. Notre Physique interprète ce phénomène comme si l'orientation de cette dépression ou le plissement des entités constitutives de l'espace changeait de sens de telle manière que les organes sensoriels ou les instruments physiques de l'observateur ne sont plus capables de percevoir un tel changement (note 17 - manquante). A cet instant t0, le vide dans l'enceinte est absolu. Il n'y a pas une seule molécule gazeuse et bien entendu aucune particule solide ou liquide, ni même une particule subatomique (proton, neutrino, photon, etc.) qui puisse être localisée probabilistiquement dans cette enceinte. Dit de votre manière : la fonction de probabilité est nulle en t0. Toutefois une telle situation instable ne dure qu'une fraction infinitésimale de temps. L'enceinte se voit "envahie" consécutivement par des IBOAYAA (quantons énergétiques), c'est-à-dire que se propagent en son sein des champs électromagnétiques et gravitiques de diverses fréquences, elle est immédiatement traversée par des radiations ioniques et enfin se produit une implosion quand le gaz extérieur se précipite dans le vide laissé par la structure " disparue ". Cette implosion constitue l'explication de ces " détonations" ou " tonnerres" que quelques observateurs terrestres d'OVNI ont cru percevoir dans certaines occasions après la disparition apparente du véhicule. Cette disparition de l'UEWA OEMM au regard du spectateur éventuel ne doit pas toujours être interprétée comme un effet de ce processus d'inversion dans un cadre tridimensionnel différent. Quand l'observation est nocturne, les vaisseaux (tout au moins les nôtres) peuvent être parfaitement observés grâce à la luminescence générée secondairement par la XOODI NAA (voir note 19 - page précédente). La lumière émise par nos UEWA se situe dans la bande spectrale optique qui, pour la rétine de l'OEMII, corresponds à la gamme chromatique du jaune à l'orange. (Parfois d'autres vaisseaux présentent une autre bande chromatique car ils possèdent une XOODINAA d'une autre composition chimique comme nous avons pu le vérifier dans d'autres voyages que nous avons réalisés dans d'autres points galactiques.) Ainsi donc, en accord avec ce phénomène secondaire, une telle luminescence peut être annulée par la même UEWA, ce qui fait que le véhicule semble "s'estomper", "s'éteindre" ou "disparaître". |
Note 12 : Nos relations avec quelques civilisations établies sur d'autres OYAA (ASTRES froids) datent d'assez longtemps. La structuration biologique de telles Planètes habitées suit les mêmes lois que celles que nous connaissons vous et nous. La gamme des espèces et subespèces vivantes y est d'une richesse considérable, sans que l'on enregistre de grandes ressemblances parmi les phylums de chaque milieu écologique; au contraire, les schémas phylogénétiques respectifs présentent dans leur multiplicité phylétiques de profondes différences bioconfiguratives même en ce qui concerne les êtres les plus semblables d'un autre milieu planétaire. Cela ne se passe pas toujours ainsi avec les organismes moins développés (oligocellulaires et monocellulaires) et avec les plus évolués (anthropomorphes). C'est-à-dire avec les extrêmes de l'échelle biologique. Ainsi nous avons constaté l'existence sur UMMO d'espèces de cyanophites et de certains flagellés parfaitement connus des biologistes de la Terre. La ressemblance des êtres anthropomorphes est également évidente en dehors de quelques petites différences dans la pigmentation épidermique, dans l'atrophie de certains organes disfonctionnels, dans des différents degrés de développement musculaire, métabolique et par dessus tout neurocortical. Le développement de l'épiderme constitue aussi un signe progressif. Des récepteurs nerveux qui y sont intégrés peuvent subir de profonds changements qui leur permettent d'être sensibilisés à d'autres sphères de stimulus physiques ou en agrandissant l'extension dans le spectre jusqu'à des fréquences qui étaient jusqu'alors inaccessibles. En arrivant sur cette Planète en l'an terrestre 1950 (les circonstances de notre arrivée sur Terre furent intéressantes et Je vous les narrerai un jour comme complément au document que vous avez reçu concernant notre arrivée en Espagne) et une fois assimilés la langue et les coutumes, nous pûmes nous mélanger aux OEMII terrestres. Nous pûmes nous informer, grâce aux publications imprimées typographiquement, des observations réalisées par des témoins éventuels qui purent observer des véhicules spatiaux avec une configuration semblable à celle de nos UEWA OEMM. Naturellement nous étions certains que presque toutes ces descriptions n'avaient rien à voir avec nos propres Vaisseaux (nous nous référons à la décade comprise entre 1950 et 1960). Mais quelques éléments attirèrent fortement notre attention : En effet : nos propres analyses révélèrent que la masse sociale de la Terre, s'appuyant sur le centre de cristallisation de quelques témoignages, véritables et vérifiés, s'était lancée dans une spéculation fébrile autour des narrations d'OEMII farceurs, journalistes sans scrupules, malades parano-mythomanes, névrosés... sans oublier la collaboration ingénue ou intéressée de frères avec une faible formation culturelle et un esprit critique peu élevé, frères qui, avec leurs illusions de perception et même victimes de croyances hallucinatoires, rendirent encore plus touffu et sombre un panorama déjà lourd et confus. Face à cette perspective chaotique, il est clair que les OEMII sensés et équilibrés de votre Planète, qui au début abordèrent le problème sérieusement avec une méthodologie orthodoxe, furent déçus non seulement en découvrant la supercherie de quelques cas (nombreux sans doute) mais aussi en constatant qu'avec leurs moyens de contrôle, de détection et d'analyse limités, l'accès aux cas réels probables était totalement impossible. En ce qui nous concerne, nous fîmes unilatéralement nos propres enquêtes sur Terre. Comme inconvénients il faut tenir compte du fait que nous n'avions pas un accès facile aux dossiers secrets qui étaient aux mains des organismes de l'administration Gouvernementale de quelques pays et que nous ne pouvions pas atteindre les hypothétiques témoins de la Terre sans risquer d'être démasqués ou de soulever de sérieux soupçons. De plus, nous n'avions pas assez de frères à consacrer à cette tâche car pour nous l'objectif fondamental qui nous a amenés sur cet OYAA, c'est-à-dire l'étude de la civilisation terrestre, était beaucoup plus important. Mais par contre, en notre faveur nous avions le manque de préjugés qui inhibe toute tentative sérieuse des Terrestres au niveau de ces recherches, et surtout de pouvoir compter sur des moyens techniques de prospection et d'analyse inconnus de la technologie de vos frères. En effet, nous pûmes localiser à proximité de cet Astre, la présence de structures navigantes qui n'étaient évidemment pas construites par des pays terrestres.., pas plus que par UMMO. Ces structures n'étaient pas préalablement identifiées dans nos mémoires. En réalité les faits codifiés à ce sujet par nous sont très rares; cependant, en observant une nouvelle UEWA (véhicule), la similitude de ses traits techniques avec ceux d'autres vaisseaux différents et d'une civilisation déterminée qui sont analogues peut servir comme critère d'identification pour nos XANMOO AYUBAA . Autrement dit, si par hypothèse nous voyions sur une autre Planète un nouvel avion à réaction encore non enregistré par nous, nous l'identifierons malgré tout comme originaire de la Planète Terre - même s'ils n'ont pas de signes distinctifs - car nos XANMOO " trouveraient " en lui des traits techniques propres à la seule Planète Terre. Je vous disais donc, qu'au contraire, de telles découvertes ne purent être identifiées comme originaires d'un Réseau Social connu. De tels vaisseaux utilisaient cependant - ce qui était évidemment prévisible - des bases technologiques de navigation spatiale semblables aux nôtres. Nous " nous sentîmes " observés par eux (je ne peux vous expliquer ce point) et en aucun cas ils ne répondirent à nos codes d'identification. Dans un des cas, la finesse résolutive des faisceaux d'ondes gravitationnelles émis par eux, avec sans doute comme objectif l'obtention d'une image fidèle de la structure interne de notre vaisseau, était si extraordinaire (à tel point que nos propres équipements UAXOO [détecteurs] furent incapables de la mesurer) que, conscients de notre infériorité technique, nous dûmes recourir à l'OAWOOLEAIDAA (inversion de la masse). Très récemment, deux épisodes d'un autre ordre ont complété nos observations précédentes. Nous croyons, avec un degré certain de fiabilité, que nous avons vraiment obtenu des contacts personnels dans cette même écorce de OYAAGAA (Terre) avec des OEMII originaires d'autres OYAA qui, par une démarche similaire à la nôtre, semblent s'être intégrés sans éveiller de soupçons dans le Réseau Social Terrestre. De tels contacts ont surgi dans un climat de mutuelle méfiance, car ces êtres ne peuvent être vraiment qualifiés de véritables membres d'un autre Réseau Social étranger à la Terre, jusqu'à ce qu'un apport de preuves soit plus convaincant. A ce niveau, nous nous montrons beaucoup plus méfiants que vous malgré que les épreuves auxquelles ils ont été secrètement soumis ne présentent pas un caractère négatif. |
Source : https://www.ummo-sciences.org/fr/D69-5.htm
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