IBOZOO UU
Il est difficile d’aborder un concept qui dans notre science est encore sujet à de multiples propositions. La théorie des IBOZOO UU est la théorie de l’unification que recherchent nos savants. Nous aimerions tant que vous compreniez la finesse de cette théorie. Elle a le mérite d’être belle et harmonieuse ( notion chère à Kepler), bien qu’elle ne soit pas très fiable.
Quoiqu’en disent les oummites, nous retrouvons dans ce concept la notion de l’ETHER qui fût supplantée par la théorie de la relativité. L’Ether a été inventé pour expliquer les théories quantiques du 19° siècle. Ce milieu a servi pour expliquer entre autre, la propagation des corpuscules, les interactions électromagnétiques etc. mais très vite, les scientifiques ont noté des incohérences entre la définition d’un tel système et les observations réelles. Einstein n’a pas, pour autant, abandonné cette idée de l’Ether dans ses travaux, mais il n’a pas eu le temps d’en définir une trame.
Les IBOZOO UU sont un Ether ou une sorte de matrice sans référentiel qui définit toute l’architecture de l’univers. Les sub-particules ( la matière, les particules élémentaires ) ne sont pas « plongés » dans cette matrice en revanche, cette matrice ( l’ensemble des IBOZOO UU) EST la matière, le champ gravitationnel, les photons, le temps, l’électromagnétisme, la distance… Implicitement, il ne faut pas introduire d’ordre ou d’arrangement d’IBOZOO UU au sein de ce réseau puisqu’ils sont source d’ordre. Comment définir un vulgaire électron avec cette théorie ? Nous avons modélisé cette petite animation pour mieux comprendre.(animation que vous trouverez sur le site Internet)
Dites-vous que l’alignement de ces dominos est un réseau d’IBOZOO UU liés deux à deux ( dans la « réalité », le réseau n’est pas ordonné) . Les oummites spécifient bien dans leurs textes qu’un IBOZOO UU seul n’a pas de valeur. En effet, toute la logique repose sur une variation d’angle et de transmissions d’informations D’UN IBOZOO UU à un autre. Le premier domino transmet à son voisin une énergie qui le fait chuter, ainsi une ondulation se propage le long de cette chaîne sans fin. L’ondulation n’a pas d’existence intrinsèque, elle n’existe que par le support des dominos. Voilà ce qu’est un électron, une onde / un corpuscule qui résulte de l’information communiquée dans un réseau d’ IBOZOO UU liés deux à deux.
Affinons un peu ce concept et essayons de nous imaginer que l’information qui a été communiquée le long de cette chaîne de dominos ( IBOZOO UU ) est la magnitude MASSE. L’ondulation nous apparaît comme une masse ( un électron), cette dernière est bien là, devant nous mais dire qu’elle est élémentaire n’a plus de sens. Maintenant, les oummites nous disent que les IBOZOO UU définissent une dizaine de magnitudes différentes. Nous pouvons les supposer, elles doivent définir l’univers.
Cette théorie serait comme définir un ensemble en mathématique, pourvu que les objets qui le composent, répondent à des lois dîtes de stabilité et à des lois de composition. Ces lois mathématiques opèrent sur des objets multidimensionnels ( les IBOZOO UU ) dont les multiples dimensions ( les vecteurs et leurs magnitudes) seraient les principaux systèmes dimensionnels de notre univers ( longueur, force, temps, masse, impulsion, énergie etc. ). Les lois de composition ( qui restent à définir, car évidemment les oummites ne nous les communiquent pas ) répondant aux relations de similitudes de ces systèmes dimensionnels de ces objets, permettraient logiquement de retrouver les invariants physiques ( les lois de stabilité).
A l’heure actuelle, la physique reste obnubilée par ces lois stables, ce sont celles que nous observons. Les lois de composition que nous cherchons permettraient de retrouver ces lois connues et peut être d’en découvrir de nouvelles telle la fameuse onde gravitationnelle. Donc, nous connaissons l’ensemble, une grande variété des objets qui le composent, la nature d’un grand nombre de ces objets et un certain nombre de lois stables. Si nous voulons démontrer ce que les oummites avancent, il ne reste plus qu’à découvrir les lois de compositions qui permettront de retrouver les invariants physiques et mettre en évidences les phénomènes qui nous échappent encore. Mais que font les chercheurs depuis Evariste Gallois ! ! !.
WAAM – WAAM
Le WAAM – WAAM, traduction : pluri-cosmos. Il faut vite se décharger de nos romans de S.F. pour comprendre cette vision de l’univers ( même si le dossier oummite peut être assimilé au plus grand jeu de rôle du monde ). En fait, il ne s’agit pas d’une multitude d’univers parallèles, mais plutôt d’univers aux propriétés physiques différentes. Ces propriétés étant liées étroitement aux orientations des multiples vecteurs des IBOZOO UU. Nous vous conseillons de lire et comprendre en premier lieu ce concept avant d’aller plus loin dans « l’exploration » du cosmos. Ainsi, le WAAM ressemble en quelque sorte à la théorie d’Hawking sur les univers bulles ( voir dans la collection Champs / Flamarion son livre de vulgarisation ) mais il n’a pas modélisé une logique pour entériner de tels univers….
Revenons à notre WAAM-WAAM, les Oummites disent que nous sommes plongés dans un univers pluridimensionnel qui subit dans sa structure de multiples combinés. Mais pour l’oummite, la dimension n’est pas un vecteur ou scalaire, la dimension est un cadre tridimensionnel dans lequel EXISTENT des propriétés spécifiques à ce cadre, ces propriétés étant liées à l’orientation des axes des vecteurs des IBOZOO UU. Premier exemple, car, nous vous sentons déjà pantois, un positron n’existe pas à l’état naturel dans notre cadre tridimensionnel ( c’est une position, pas une démonstration ) mais est à l’état naturel dans un autre cadre tridimensionnel et sa spécificité dans ce dernier est la même que l’électron dans notre cadre.
Le WAAM- WAAM consiste en une infinité de cadres tridimensionnels avec deux limites bien définies que nous développerons plus loin. Ce qui diffère de nos concepts tient dans la signification de la dimension. Nous avons vu dans le chapitre sur les IBOZOO UU que tout ce que nous nommons particules/ondes se définit par la variation angulaire des axes des vecteurs de deux IBOZOO UU liés. Un photon, un électron, un « graviton », peuvent ainsi être définis par la spécificité de variation des orientations des vecteurs de l’I.U. L’espace/temps nous plonge dans un cadre à 4 dimensions ou 4 vecteurs pour « parler oummite »…L’IBOZOO UU, se caractérise par 10 vecteurs . Notre cadre ou notre dimension est défini par l’orientation de ses vecteurs et comme l’orientation angulaire de ces vecteurs est par principe infini, il existe une infinité de cadres tétra-dimensionnels.
Vous comprendrez mieux maintenant pourquoi on ne peut pas parler d’univers parallèles, mais nous devons dire que l’univers ( Le WAAM – WAAM ) ressemble dans sa diversité de cadres aux multiples états d’être de l’eau (gazeux, liquide, solide ) ; tous ces états coexistent mais cela reste toujours un élément composé de molécules H2O. Nous vivons dans l’eau à l’état gazeux mais d’autres éléments n’existent que dans l’eau à l’état solide…(C’est une image !). Autre exemple, vous pourriez dire que la couleur verte est singulière, alors que sur votre moniteur elle est composée de trois signaux RVB. Si tout votre écran est vert, un point au signal RVB vert n’apparaît pas, en revanche si votre écran est jaune, votre même point au signal RVB vert apparaît … Ainsi, tout n’est qu’une histoire de référentiel défini par un autre référentiel, le signal RVB. Il n’est pas question de distance entre les différents univers, ni de temps, ni d’autres choses, il est question de spécificité des IBOZOO UU qui caractérisent ces univers.
Les oummites disent avoir pu se « plonger » dans une dizaine de cadres différents par une simple variation de LEURS IBOZOO UU ( lesquels ????) mais il est un cadre qui nous est plus intéressant, c’est l’U-WAAM ou anti-univers ; il ne diffère que par le vecteur qui caractérise la masse, il nous est donc symétrique mathématiquement parlant. Son action, entre autre, serait de contenir notre galaxie dans une sorte de cocon et éviter ainsi, l’effet de force centrifuge qui ne serait pas compensée par la fameuse masse manquante qui est toujours manquante dans les observations. De même, cet univers « longe » le notre dans sa pluri-géométrie et sa particularité est que la vitesse de la lumière en son sein pourrait être 50 fois supérieure à celle dans notre univers, d’où la possibilité de voyager très rapidement d’un point de notre espace à un autre à des vitesses fulgurantes. Il n’est plus besoin de fabriquer des expéditions qui dureraient des centaines d’années pour aller vers l’étoile la plus proche. (ce qu’envisage les ubuesques astronomes tel Ribes, c’est au moins ce qu’il raconte dans ses réunions d’informations).
Nous vous parlions des univers limites, ils le sont encore une fois dans l’état de leur IBOZOO UU. Ces univers sont nos fameux BUAWA et BUAWE BIAEI. D’un coté, l’univers des âmes de l’autre, l’univers des Ames des âmes. Ce qui les caractérisent sont :
* Univers des BUAWA : masse nulle, vitesse du photon nulle, le temps est par conséquence « gelé » et rayon d’expansion constant.
* Univers des BUAWE BIAEI : masse infinie, vitesse du photon infinie et rayon d’expansion constant
Il est surprenant de voir combien ceux qui divulguent ces textes ont intégré physiquement ce qui pour nous n’est que pures spéculations…Nos oummites n’ont plus de raisons de fabriquer des religions puisqu’ils ont modélisé nos intuitions. En cela, une telle société ne peut être que stable. Au moins sur ce point de vue.
Encore une fois, nous vous dirons que nous n’observons l’univers que depuis notre siège….PLATON ! voilà l’homme qui aurait du se faire entendre dans le domaine des sciences, PLATON et sa caverne…. L’objectivation à l’état pur ! Les oummites diraient: la tétravalence qui supplante le manichéisme.
BUAWE BIAEI
Le BUAWE BIAEI, que les oummites ont traduit par » esprit communautaire ou social « , s’apparente à un esprit collectif. Cet « être » est en fait un regroupement des âmes de tout ceux qui ont peuplé un astre. Les oummites se trompent en pensant que nos théologiens n’ont jamais entrevu la possibilité d’être d’un tel Etre. Le père Theillard de Chardin dans » Le phénomène humain » parle d’une Ame des âmes qui ressemble dans son sens philosophique au BUAWE BIAEI. Enfin, les oummites n’ont peut-être pas tout lu….
Un des rôles de cette forme d’être est très » simple » ; puisqu’elle est idée de WOA, elle intègre ses patrons de conduite ou » lois morales « . Nous serions, par un processus interne à notre encéphale en liaison avec cet Etre, ainsi le BUAWE BIAEI nous envoie continuellement, depuis que nous sommes humanité consciente, ses patrons de conduites. Il existe aussi un processus inverse qui renseigne par notre intermédiaire ( notre corps ) le BUAWE BIAEI. En effet, tout ce que nous captons par nos sens, ainsi que nos processus mentaux sont expédiés à cette entité afin d’effectuer une sorte de mise à jour de cette grande Ame des âmes. Après « traitement des données » l’information redescend vers notre encéphale.
Pour ne prendre que la religion chrétienne, il n’a pas été explicité, dans la Bible, une âme collective mais plutôt une vision anthropomorphique d’un » lieu » où seraient réunies les âmes après la mort du corps : « le paradis « . Pour ce qui est de l’expression des codes moraux au travers de nous, la chrétienté fait appel à l’esprit saint étroitement lié à Dieu pour nous inspirer ( in spiritus : l’esprit en nous ). Le BUAWE BIAEI serait très grossièrement une unification de ces deux concepts de la religion chrétienne. Mais la question évidente est: qu’est ce qui permet cette liaison entre ces entités si éloignées dans leur réalité physique ? voir le chapitre sur le OEMBUAW.
Le BUAWE BIAEI dirige aussi toute l’évolution du vivant par l’intermédiaire d’un processus proche de OEMBUAW , de part ses caractéristiques quantiques, qui se nomme BAYIODUU. En effet, il ne s’agit pas ici d’un processus anthropique tel qu’on le conçoit dans les théories de l’évolution, mais plutôt d’une capacité à déclencher un phylum d’évolution lorsque certains critères ( sociaux, climatique, cosmologique, géologiques etc…) sont établis.
Le BAYODUU
Comme nous l’avons défini dans le BUAWE BIAEI, cet univers où seraient stockées les âmes collectives des différentes ethnies planétaires jouerait un rôle prépondérant dans le phylum d’évolution des êtres vivants. En fait, cette psyché collective » contient l’information qui module l’évolution ». Doit-on pour cela considérer que les oummites pensent que le processus de l’évolution est un principe anthropique, que toute la création vivante est déterministe et répond à un plan divin ?. OUI ou NON, et ce « ou » est inclusif. En fait la théorie est un savant mélange de Darwinisme, de créationnisme et de la théorie des équilibres pondérés chers à S.J. Gould. Mais plus encore, c’est la théorie de Theillard de Chardin qui domine dans l’explication de l’évolution vue par les oummites. Cet homme, bien terrestre, nous a légué une théorie que peu de scientifiques osent aborder encore aujourd’hui. Peut être parce que ce scientifique / paléontologue / anthropologue était avant tout un prêtre ! condition qui rebute par principe la science… donc arrêtons-nous ici. Non ?, bon alors ayons l’esprit ouvert. N’oublions pas que nous étudions une ethnie qui se dit extra-terrestre, que nous n’avons jamais vu et qui pourtant rend les gens crédules !! . Attitude similaire aux croyances religieuses. Donc, nous nous devons d’étudier ce que nos contemporains proposent en parallèle avec ce que nos Oummites Volants Non Identifiés avancent.
Nous observons dans la nature un phénomène de complexification du vivant, cela toutes les théories le reconnaissent, mais tout diverge dès que l’on parle d’adaptation. Theillard et les oummites (amusant comme amalgame ) pensent qu’en fait les organismes répondent à l’environnement, non pas par une longue sélection naturelle (Darwin) mais plutôt par une pré-organisation dirigée par un phénomène intra et/ou extra génomique. Cela ne veut pas dire que le biotope ne sélectionne pas, ce dernier impose une configuration du vivant dans ses possibilités d’évolutions (de phylum ). Cette nuance dérange, car les mutations hasardeuses n’ont plus le rôle prépondérant qui colle à la majorité des théories évolutionnistes.
Il existerait un processus « intelligent » qui dirigerait, en conformité avec l’environnement, tout le vivant. Theillard de Chardin, tout comme Darwin s’est inspiré de ses observations pour exposer sa théorie mais il n’a pu l’expliquer que dans un fabuleux essai philosophique : » le phénomène humain « . Si vous lisez ce livre (1930 ) et les textes oummites ( 1966 ), vous y verrez un formidable plagia. Mais les oummites dans un autre texte avouent que certains scientifiques terrestres leur ont révélé bien des notions qui leur étaient inconnues .
Soyons sérieux. Aujourd’hui, Theillard resurgit dans les thèses scientifiques, et certains paléo-anthropologues (français ) ont découvert qu’il existait une logique dans la complexification humaine. Logique qui fait entrevoir un processus directif qui reste à découvrir. Theillard a nommé cette logique, il l’a assimilé au point Oméga, un attracteur ( au sens mathématique ) qui dirigerait l’évolution vers un point d’aboutissement optimum de l’espèce humaine. Les oummites disent de même ( évidemment )
Le BAYODUU se trouve intégré à l’ADN des êtres vivants, C’est un double réseau d’IBOZOO UU qui agit dans notre réalité physique en résonance avec le BUAWE BIAEI ( principe similaire dans l’OEMBUAW_). Toutes les possibilités de phylum préexistent; c’est comme définir toutes les possibilités de combinaisons d’une partie d’échecs. Ces possibilités sont « câblées » dans le BUAWE BIAEI et sont intégrables dans le BAYODUU. Si vous vous reportez au schéma, nous avons simplifié très grossièrement le BAYODUU.
Le BAYODUU reçoit des informations qui définissent l’environnement, ces informations sont confrontées avec la configuration génomique existante et si un changement s’impose, ce même BAYODUU déclenche la mutation génique adéquate. Plus encore, nous avons vu qu’il existait un but ultime à l’homme ( le point Oméga de Theillard). Ce but se traduit par l’orientation logique que suit l’évolution en général et qui a été mis en valeur récemment par nos scientifiques dans l’évolution humaine. En conclusion, nous pourrions dire que le couple BUAWE BIAEI / BAYODUU est un principe gödelien, ou méta-gödelien. Nous serions le résultat d’une autre réalité qui assiste notre évolution. Mais nous ne pourrions pas évoluer sans cet attracteur. Cela rejoint les travaux du physicien Penrose ou du prix Nobel de médecine Eccles lorsqu’ils essaient de définir mathématiquement une entité similaire : LA CONSCIENCE.
Le BUAWA
Le BUAWA (l’âme) rejoint les concepts de nos principales religions. Le BUAWA n’est pas dans le temps, il n’est pas dans l’espace qui nous est accessible par nos sens, mais tout comme le BUAWE BIAEI, il a une réalité physique dans le WAAM WAAM. Son rôle est d’encoder, à la façon d’une mémoire informatique, tous les événements, il intègre tout ce que captent nos sens et tous les processus mentaux que nous développons tout au long de notre vie. Dans un processus inverse le BUAWA dirige la conduite de notre corps tridimensionnel que les oummites nomment OEMII. En d’autre terme, exit le culte du corps qui pour les oummites n’est qu’un capteur qui renseigne d’une par le BUAWA et d’autre par le BUAWE BIAEI par un processus nommé OEMBUAW.
Ainsi on comprend mieux pourquoi les oummites considèrent que chaque être vivant est responsable devant toute sa communauté, car si par malheur un petits réseaux de déviants prend forme, c’est tout le BUAWE BIAEI qui est infecté et par réflexion au sein du BUAWE BIAEI, toute l’humanité oummite se corrompt. C’est pourquoi, ils détectent dans leur société tous les psychotiques ou schizophrènes pour les mettre hors d’état de nuire ( par un moyen non douloureux qui n’est en fait qu’une opération chirurgicale ). C’est pourquoi leur société nous fait tant penser à une fourmilière, tous pareils mais tous unis pour progresser dans l’évolution de leur conscience.
L’OEMBUAW
L’OEMBUAW est ce que les oummites appellent le troisième facteur de l’homme. Ce processus connecte l’homme OEMII à son âme (le BUAWA) est le rend ainsi responsable devant WOA car la conduite de l’homme n’est plus de nature déterministe comme les animaux qui (apparemment) n’ont pas ce facteur. L’être doté de l’OEMBUAW est ainsi libre de suivre ou de transgresser les lois morales et irréductibles de WOA, ce qui montre bien pourquoi l’Oummite « corrige » d’une manière intransigeante tout semblable qui oserait sortir des lois transcendantes de son » Dieu «
On pourrait se demander par quel moyen une entité adimensionnel, le BUAWA, peut diriger une entité dimensionnelle et temporelle, l’OEMII. C’est ici qu’intervient l’OEMBUAW. Il faut bien comprendre la théorie des IBOZO UU pour intégrer ce facteur, car c’est un processus quantique qui, par nature non-déterministe, joue le lien entre le corps, l’âme, l’esprit collectif. On sait vulgairement que l’électron n’est pas localisable autour de son noyau parce qu’il n’est ni onde, ni corpuscule, de même le principe d’incertitude Heizenberg montre que le comportement des sub-particules est sujet au hasard pour ce qui est de leur localisation / leur vitesse. Si donc deux entités qui diffèrent par leur nature physique (le BUAWA et l’OEMII) doivent échanger des informations, cela ne peut se faire que par un processus ambivalent tel un principe quantique.
l’OEMBUAW est un réseau d’IBOZOO UU qui n’est plus sujet au principe d’incertitude d’Heizenberg, parce qu’il entre en résonance (au sens physique du terme), ce qui lui donne la possibilité d’échange à « distance ». Mais en aucun cas il ne transgresse les lois physiques, on pourrait dire qu’il utilise une particularité de la nature. Pour mieux comprendre, essayons d’utiliser une image très simple. Si vous avez une guitare dans une pièce où est diffusée une musique, de temps en temps vous entendez les cordes de la guitare se mettre à vibrer seule, c’est une résonance. L’OEMBUAW est une corde de guitare, votre corps c’est la caisse de l’instrument et le BUAWA peut être assimilé à la musique. Le processus est identique avec le BUAWE BIAEI et ce dans le sens OEMII / BUAWE BIAEI ou BUAWE BIAEI / OEMII.
Les oummites localisent ce facteur dans l’encéphale humain, et la résonance est mise en jeux par une série d’atomes d’un gaz rare, le Krypton. Comme nous pouvons le voir dans les chapitres consacrés à BUAWA et BUAWE BIAEI, tout ce que nous captons par nos sens ou tous nos processus mentaux sont codifiés dans l’OEMBUAW et engrangés par cet état de résonance dans le BUAWA_ et le BUAWE BIAEI. La réciproque est vraie. Ainsi, les oummites expliquent la télépathie, qu’ils utilisent couramment pour palier leur défaut « naturel » d’élocution. Le BUAWA par l’OEMBUAW envoie une pensée qui ensuite passe dans un autre réseau d’IBOZOO UU de l’OEMBUAW pour l’envoyer au BUAWE BIAEI. Ce dernier redescend l’information vers le destinataire du message ( un code, une clef est propre à chaque Etre ) par son OEMBUAW et enfin le réseau responsable de l’émission vers le BUAWA du destinataire relance le message au BUAWA du destinataire ( ouf !! ) . Vous comprendrez mieux en regardant dans le schémas général. Vous voyez que le troisième facteur de l’homme est primordial dans un réseau humain, car il permet une liaison autre que sensuelle, mais il unifie l’expression de l’esprit collectif à tous les êtres qui veulent bien les intégrer ( n’oublions pas que nous sommes libres … ).
Du point de vue de la science terrienne, que dire ? certes la physique quantique est à l’état embryonnaire, nous n’avons pas encore compris ou modélisé mathématiquement la réalité de ce que nous voyons. La physique des particules montre effectivement qu’aujourd’hui les comportements quantiques n’ont pas une mathématique adéquate. C’est donc aux mathématiciens d’élaborer un langage que la physique pourra utiliser dans ses observations. Les Oummites utilisent toujours nos faiblesses scientifiques pour avancer des concepts monstrueux de logique. L’âme, le corps, psyché, soma, tout ceci entre difficilement dans des considérations scientifiques et nous n’avons que nos religions pour affirmer ou infirmer les concepts oummites… encore des bases faibles car indémontrables. Nous sommes seulement capables de dire : c’est logique et cela expliquerait toutes ces choses que nous entrevoyons ou discernons. Mais pourquoi y a t il des religions ? pourquoi des phénomènes de groupes? Pourquoi retrouvons nous des concepts identiques dans des peuples qui ont évolués séparément ? On peut élaborer des théories, mais si elles n’ont pas de langage pour les signifier elles resteront conceptuelles.
WOA
Déjà, le mot » religion » dérange nos amis les oummites, car la religion n’est pas un concept scientifique. Pour qu’une religion s’établisse, il est nécessaire de croire en des valeurs / êtres / concepts qui par essence demeurent sans explication rationnelle. Le verbe Croire ou la Foi est antinomique pour l’oummite qui ne considère comme vrai que le stade d’évolution de sa science. Attention ! l’oummite est encore plus subtil, en fait, il ne pense même pas que sa science soit vraie mais seulement exploitable dans l’état actuel de ses connaissances ou de sa conscience ( nous verrons plus loin pourquoi la conscience joue un rôle fondamental). Tous nouveaux modèles acceptables peuvent refondre l’ensemble des théories.
Dans l’état, nous pourrions penser qu’il n’existe pas de dieu pour ce peuple. Première illusion, les oummites considèrent un Dieu qu’ils nomment WOA.. WOA est un modeleur d’idées, un générateur, toutes les lois du cosmos lui sont propres. WOA n’entre pas dans les canons de notre réalité physique, en fait dire qu’il est adimensionnel est très réducteur, les oummites préfèrent parler d’un Etre qui n’est pas susceptible d’être déformé par notre pensée donc inaccessible à notre entendement physique au sens le plus strict et dans aucuns des textes auxquels nous ayons eu accès, il n’est donné une définition physique ou mathématique de WOA et c’est » théologiquement » obligatoire de s’en soustraire, car cette tentative est vouée à l’échec. La meilleur définition qui illustre le mieux leur idée de Dieu c’est : » WOA est un être créateur d’idées, d’une infinité d’idées, dans la mesure où ces idées ne sont pas incompatibles avec l’essence du WAAM « Il faut entendre par idées tout ce qui EST (existe ) dans le WAAM, en passant du concept du quark à l’architecture d’une galaxie, jusqu’au rôle du document que vous lisez en ce moment.
Ceci reste encore simple et ressemble fortement à nos conceptions théologiques de Dieu. Là où les oummites se distinguent réside dans les Etres qui coexistent avec WOA. Il faut malheureusement résumer pour que tout le monde puisse suivre, disons simplement qu’il existe d’autres entités toujours adimensionnelles et atemporelles qui ne sont pas WOA mais qui répondent à cette nécessité d’être, toujours dans cette logique que tout être doit implicitement exister si cet être n’est pas incompatible avec l’essence de WOA. Ainsi EST le BUAWE BIAEI.
OEMII
L’OEMII : l’organe des sens, l’être pensant matériel, l’être doué de raison plongé dans le WAAM – WAAM. Voici comment les oummites définissent l’être humain, un capteur singulier capable, par sa pensée, de signifier le cosmos. L’être humain revêt un caractère primordial, car il est l’aboutissement ultime de l’évolution. On pourrait dire la structure la plus organisée possible dans le phylum d’évolution de l’organique. L’oummite détermine comme OEMII un anthropoïde ayant le troisième facteur ( l’ OEMBUAW ) ce lien avec l’univers des BUAWA, donc une âme qui engrange des données statiques provenant de ses sensations et de ses « processus » cognitifs raisonnés. Nous allons retrouver ici tous les concepts abordés dans les autres articles parce que l’être humain est LE SENS de la création, le point de regroupement qui explique la grande question que chacun se pose : « pourquoi suis-je ? ». Ne vous l’êtes- vous jamais posée ?….moi, qui écris ces lignes, je me la suis certainement posée et j’ai ma réponse; seulement, elle s’apparente plus à une foi qu’à une réelle démonstration, alors…. donc….. voilà…..
Nous avons vu dans le BAYODUU que l’être humain est voué à une phase ultime d’évolution, ce processus, répondant aux contraintes de l’environnement ( et ne le subissant pas, par une sélection des êtres faibles ), mène à une organisation encéphalique qui tôt ou tard donne à l’homme la qualité de penseur. Cette pensée ou cette conscience d’être soi est le premier stade du « câblage » de la responsabilité de l’homme dans son biotope. L’être n’est plus animé d’instincts de préservation mais d’une volonté de trouver le sens de TOUT CELA. Là commence les gros problèmes, parce que l’homme sait qu’il fait du bien, sait qu’il fait du mal, sait qu’il va mourir et ne sait pas pourquoi il a fait tout cela si c’est pour finir en caviar pour les vers de terre !
« Mais les oummites dans tout cela »… Et bien ils ont les mêmes problèmes que nous… Ils cherchent. Non, les oummites s’ils n’ont pas trouvé un sens à l’univers, ils ont au moins trouvé l’aboutissement de l’OEMII… Puisque tout ce que l’être pense et vit est envoyé aux BUAWE BIAEI, nous sommes responsables de la façon dont nous allons penser le cosmos, responsables de l’influence que nous exerçons sur nos semblables parce que eux aussi envoient leurs processus cognitifs au BUAWE BIAEI, cette grande banque de « sentiments » et de « signifiants » engrangés par tous les êtres qui ont peuplé et pensé depuis que l’OEMII est. L’oummite conçoit que ce qu’il vit, il le vit donc pour lui, ses congénères et ses générations futures qui seront alimentées par la banque de données BUAWE BIAEI. Voilà la fameuse fourmilière que décrit Petit. Mais tout est logique dans une telle philosophie, comment des êtres peuvent s’amuser à perturber ceux qui le suivront ?? D’autant plus si l’évolution de l’OEMII est en jeu.
Les stades suivants de l’OEMII sont une suite d’organisation de l’encéphale qui le mène à penser de mieux en mieux le cosmos, d’une manière plus « objective » ou « tétravalente » ( ce concept ne s’applique pas qu’aux mathématiques ). En cela, intervient la fameuse néguentropie, cette lutte contre l’inévitable dégradation qu’est l’entropie galopante de la matière ou de la pensée. L’OEMII doit, pour l’oummite, parvenir à l’OEMII WOA pour se réaliser en tant qu’humanité. L’OEMII WOA, c’est le point Oméga de Theillard de Chardin (encore lui ) c’est l’attracteur universel. Mais, comme c’est inéluctable, il faut qu’une humanité parvienne à ce « câblage » encéphalique de la manière la plus saine possible afin de ne pas perturber son BUAWE BIAEI (qui ne l’oublions pas engrange aussi les lois morales de WOA ) mais aussi afin de ne pas perturber les BUAWE BIAEI des autres humanités du cosmos. Quelle responsabilité !!
Nous nous sommes demandés, pendant un temps, pourquoi les oummites voulaient savoir s’il existait une possibilité de liaison télépathique entre eux et nous les terriens. La réponse était évidente, si télépathie il y avait, un lien entre les BUAWE BIAEI des différentes ethnies planétaires était mis en évidence ( voir la logique dans le schéma ). Si donc nos bêtises d’humanité juvénile influaient sur leur âme collective, raison de plus pour nous donner la brimade…. Ont-ils aujourd’hui trouvé ce lien? le texte stipulant cette question date de 1966.. bientôt 50 ans .
La traduction de l’OEMII WOA : homme Dieu. Nous ne pouvons pas occulter notre Jésus planétaire. Les oummite l’appellent OYAGAA WOA ( OYAGAA = TERRE ), il est en tout point semblable de part sa vie à leur UMMO WOA qui en leur temps eut le même charisme sur toute leur planète. Que dire?????? nous vous laissons penser, c’est plus simple. La qualité de cette configuration humaine réside dans l’objectivation de l’univers dans sa pensée. Ainsi, l’OEMII WOA est un presque WOA, si bien qu’il peut déformer – de par sa condition – l’état du WAAM. N’oublions pas que nous sommes les senseurs du cosmos et c’est l’OEMII qui renseigne le BUAWE BIAEI de l’état du l’univers de par sa pensée/consciente. L’OEMII WOA devient donc un danger potentiel pour tout le WAAM parce qu’il SAIT comment il EST. Les oummites disent que l’OEMII WOA arrivant à un tel point de conscience devient antinomique avec la réalité physique du cadre dimensionnel qui l’accueil, et disparaît… Tout simplement. Fable ? religion ? réflexion ? nous ne savons plus, d’autant que ce sont des supposés extra terrestres qui nous disent cela. Une sorte de protection naturelle nous impose de ne pas en dire plus. Nous n’avons pas le droit de détruire ni d’abonder dans ce concept. Tout cela est aussi logique que la théorie des trous noirs qui existent pour certains et non pour d’autres. Faîtes vous donc une idée, car, nous ne voulons pas sombrer dans le prosélytisme.
Nous aimerions quand même vous confier une gymnastique pour intégrer les concepts oummites. Soyez tétravalents! et ne rejetez pas tout en bloc parce que cela vous dérange.
Source : https://encyclopedhu.wordpress.com/
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