Les noms de ces systèmes planétaires, tous indépendants, peu peuplés, sont étymologiquement originaires de l'archipel indonésien.
Voici une liste de noms d'îles (et de cités-États) utilisables pour les systèmes NT5 :
- Sumatra
- Java
- Sulawesi -Cités-Etats de Sulawesi : Baubau, Bilungala, Bulukumba, Donggala, Ereke, Gorontalo, Kendari , Kolaka, Kotamobagu, Limboto, Luwuk, Majene, Makassar ou Ujungpandang, Malamala, Mamuju, Manado, Palopo, Palu, Parepare, Polewali, Pinrang, Raha, Sinjai, Tambu, Tampo, Taluda, Tenteno, Tinobo, Tondano, Watampone, Wotu.
- Bornéo
- Bali
- Komodo
- Lombok
- Sumbawa
- Sumba
- Flores
- Adohara
- Lomblen
- Pantar
- Alor
- Raijua
- Sawu
- Roti
- Semau
- Timor
Et les villes d'Indonésie pour les systèmes de niveau technologique inférieur ou égal au NT4 ou les planètes principales des systèmes NT5 et autres
Les villes d'Indonésie ont en général le statut de kecamatan, une subdivision du kabupaten (département). Le kabupaten est lui-même une subdivision de la province.
Un kecamatan est administré par un camat, fonctionnaire nommé par le bupati (préfet).
Quand elle atteint une certaine importance, ou pour des raisons historiques, une ville peut acquérir le statut de kota ou ville. Une kota est une unité administrative territoriale du même niveau que le kabupaten. Cela signifie notamment que :
- d'une part elle est administrée par une personne élue au suffrage direct, le walikota ou maire de ville,
- d'autre part, elle possède un dewan perwakilan daerah, assemblée régionale élue.
Dans ce cas, la kota sera distinguée administrativement du kabupaten dans lequel elle se trouve.
Voici une liste des 100 villes indonésiennes les plus peuplées
- Jakarta
- Surabaya
- Medan
- Bandung
- Bekasi
- Tangerang
- Makassar
- Depok
- Semarang
- Palembang
- Padang
- Bandar Lampung
- Bogor
- Malang
- Pekanbaru
- Yogyakarta
- Banjarmasin
- Surakarta
- Manado
- Pontianak
- Balikpapan
- Jambi
- Denpasar
- Cimahi
- Ambon
- Pacet
- Tambun
- Samarinda
- Percut Sei Tuan
- Bengkulu
- Mataram
- Batam
- Kupang
- Jember
- Palu
- Cilegon
- Sukabumi
- Banda Aceh
- Tasikmalaya
- Kendari
- Cibadak
- Pekalongan
- Cirebon
- Majalaya
- Binjai
- Sumedang
- Cibungbulang
- Purwakarta
- Tegal
- Ciampea
- Rengasdengklok
- Kediri
- Cileungsi
- Cibitung
- Parung
- Loa Janan
- Curug
- Purwokerto
- Leuwiliang
- Cilacap
- Lembang
- Ciputat
- Pematang Siantar
- Pondok Aren
- Brebes
- Karawang
- Cibinong
- Cikupa
- Bojong Gede
- Taman
- Palangkaraya
- Banjaran
- Plumbon
- Madiun
- Pemalang
- Salatiga
- Perbaungan
- Probolinggo
- Cicalengka
- Lawang
- Pamulang
- Tanjung Morawa
- Hamparan Perak
- Serang
- Rancaekek
- Soreang
- Sunggal
- Lubuklinggau
- Purwodadi
- Gunung Putri
- Metro
- Sukaraja
- Astanajapura
- Pasuruan
- Pasarkemis
- Karang Tengah
- Kebumen
- Dumai
- Tanjungbalai
- Gorontalo
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Villes_d%27Indon%C3%A9sie#Liste_de_villes_d'Indon%C3%A9sie
A utiliser : le système "Bobo" (nom officiel "Baubau") l'un des plus proches du trou noir surnommé "Mort d'Or" (nom officiel "Charybde"), ancien monde de la civilisation qui se serait autodétruite lors de la "Guerre des Buton". C'est sans doute dans les ruines de ce monde que le vrijbuiter Alf-116 (flibustier ; "libre-butin-eur") aurait découvert les cristaux géants de corindium (issu du cœur d'une étoile à neutron) qui firent sa fortune. Vendus sur Feriae Jonction, ces cristaux lui permirent de faire construire une flotte de guerre complète dans les chantiers navals de Botajef ; une flotte mise aux couleurs de la Marche de Calypso.
Baubau est la
principale localité de l'île de Buton en Indonésie. C'est le chef-lieu du
kabupaten de Buton. La ville a le statut de kota.
Histoire
Bau-Bau était la capitale du royaume de Buton.
Habitants
A Bau-Bau et aux alentours de la ville se trouve l'ethnie des Buton. Afin de sauvegarder leur langue (le cia-cia), ces derniers ont choisi en 2009 l'alphabet coréen (hangeul) comme écriture. Cette initiative a cependant été abandonnée, car elle ne respecte pas la loi indonésienne stipulant que toutes les langues doivent être retranscrites via l'alphabet latin pour préserver l'unité nationale.
Tourisme et transport
Bastion du Benteng Keraton Buton en 1928
Construite au XVIe siècle par les 3e et 4e sultans de Buton, La Sangaji (1591-1596) et La Elangi, la forteresse du palais de Buton (Benteng Keraton Buton) s’étend sur plus de 23 hectares. Son enceinte mesure 2 740 mètres de long, s'élève à une hauteur qui varie de 2 à 3 mètres et a une épaisseur de 1,50 à 2 mètres. Elle est percée de 12 portes ou lawa. La forteresse se trouve dans le quartier de Melai. À l'intérieur de l'enceinte, on trouve notamment le palais Malige (Istana Malige), une belle construction de bois qui fut la résidence du 36e et avant-dernier sultan de Buton, La Ode Hamidi (1928-37).
L'accès à Bau-Bau se fait par le port de Murhum, ou par l'Aéroport Betoambari.
Histoire
Bau-Bau était la capitale du royaume de Buton.
Habitants
A Bau-Bau et aux alentours de la ville se trouve l'ethnie des Buton. Afin de sauvegarder leur langue (le cia-cia), ces derniers ont choisi en 2009 l'alphabet coréen (hangeul) comme écriture. Cette initiative a cependant été abandonnée, car elle ne respecte pas la loi indonésienne stipulant que toutes les langues doivent être retranscrites via l'alphabet latin pour préserver l'unité nationale.
Tourisme et transport
Bastion du Benteng Keraton Buton en 1928
Construite au XVIe siècle par les 3e et 4e sultans de Buton, La Sangaji (1591-1596) et La Elangi, la forteresse du palais de Buton (Benteng Keraton Buton) s’étend sur plus de 23 hectares. Son enceinte mesure 2 740 mètres de long, s'élève à une hauteur qui varie de 2 à 3 mètres et a une épaisseur de 1,50 à 2 mètres. Elle est percée de 12 portes ou lawa. La forteresse se trouve dans le quartier de Melai. À l'intérieur de l'enceinte, on trouve notamment le palais Malige (Istana Malige), une belle construction de bois qui fut la résidence du 36e et avant-dernier sultan de Buton, La Ode Hamidi (1928-37).
L'accès à Bau-Bau se fait par le port de Murhum, ou par l'Aéroport Betoambari.
Quelques visages et costumes des populations de la Zone Sunda (inspiration iconographique)
zones à risque majeur où des actes de piraterie maritime surviennent
Et la liste des 22 villes de Papouasie-Nouvelle-Guinée de plus de 10.000 habitants (pour compléter la variété de choix)
1. Port Moresby
2. Lae
3. Mendi
4. Popondetta
5. Mount Hagen
6. Kokopo
7. Arawa
8. Madang
9. Kimbe
10. Bulolo
11. Wewak
12. Goroka
13. Kavieng
14. Daru
15. Kiunga
16. Alotau
17. Tari
18. Vanimo
19. Kundiawa
20. Wau
21. Buka
22. Aitape
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Villes_de_Papouasie-Nouvelle-Guin%C3%A9e
La Zone Sunda est encombrée d'astronomiques nuages de gaz qui rendent la navigation interstellaire délicate. Mais il existe un chemin tortueux appelé Détroit de Malacca que les navires doivent suivre pour traverser la Zone. Malheureusement, ce passage est aussi l'opportunité d'embuscades pour les pirates qui grouillent dans cette Zone.
Résultat du sort (du nord au sud et d'ouest en est)
Systèmes habités et niveau technologique
Baubau ou "Bobo" jadis Kaldahan (vestiges de NT5, espèce Kanduh) : temples de corindium, de cabirium, de kyber et autres cristaux rares
Kupang (NT4)
Binjai (NT1)
Purwakarta (NT4)
Raijua (NT5)
Pantar (NT5)
Serang (NT1)
Lubuklinggan (NT1)
Salatiga (NT2)
Sukaraja (NT4)
Flores (NT5)
Cicalengka ((NT3)
Pekanbaru (NT5)
Karawang (NT2)
Pekalongan (NT4)
Sunggal (NT1)
Kebumen (NT4)
Medan (NT3)
Java (NT5)
Popondetta (NT1)
Vanimo (NT4)
Vadiun (NT1)
Mompracem (NT5)
Makassar (NT5)
Wewak (NT3)
Goroka (NT4)
Srawak (NT5)
Sumbawa (NT5)
Pantar (NT5)
Lembang (NT1)
Adohara (NT5)
Madang (NT3)
Komodo (NT5)
Port Moresby (NT5)
Batam (NT1)
Seman (NT5)
Roti (NT5)
Benkulu (NT5)
Rengasdengklok (NT5)
Astanajapura (NT5)
4 commentaires:
Regard nouveau sur les "pirates malais" (1ère moitié du XIXème siècle) :
Voir : https://www.persee.fr/doc/arch_0044-8613_1979_num_18_1_1513
Le kriss, kris, ou keris (en javanais et en malais), est une arme blanche caractéristique du Monde malais (Indonésie, Malaisie, Singapour, Brunei, Philippines et sud de la Thaïlande). Le « kris indonésien » fait partie du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kriss_(arme)
Sandokan est un feuilleton télévisé en coproduction italienne-française-allemande en six épisodes de 55 minutes, réalisé par Sergio Sollima et diffusé à partir du 6 janvier 1976 sur Rai en Italie, du 27 mai 1976 sur TF1 en France, et du 21 avril 1979 sur Das Erste en Allemagne.
La série est inspirée du roman "Les Tigres de Mompracem", écrit par l'Italien Emilio Salgari en 1900.
Synopsis
XIXe siècle. Les Anglais poursuivent leurs conquêtes en Asie. En Malaisie, l'impitoyable gouverneur James Brook s'est auto-proclamé rajah de Selangor. Son ennemi juré est un pirate du nom de Sandokan, surnommé "le tigre de la Malaisie", qui lutte contre l'oppresseur anglais et jouit d'une très grande popularité auprès des populations. Sandokan est secondé par Yanez, un Portugais qu'il considère comme un frère, ainsi que par de nombreux hommes de tous horizons qui ont rallié sa cause. Les pirates se sont établis sur l'île de Mompracem, sur laquelle flotte le drapeau pirate à l'effigie d’une tête de tigre.
Lors d'une sortie en mer, Sandokan et ses hommes sont pris au piège par les soldats de James Brook sous le commandement du colonel Fitzgerald, récemment arrivé d'Angleterre. Blessé par balle au cours de la bataille, Sandokan tombe à l'eau et s'échoue sur un rivage. C'est là que le trouve le serviteur de Lord Guillonk, qui le ramène chez son maître. La nièce de Lord Guillonk, la belle Marianne, le soigne sans relâche jusqu'à sa complète guérison. Sandokan tombe amoureux de Marianne mais, démasqué par ses hôtes, doit prendre la fuite. Il demande à Marianne de venir avec lui à Mompracem. La jeune femme accepte...
Source : http://scriiipt.com/2017/07/sandokan-le-tigre-de-malaisie/
Sir James Brooke, dit le Raja de Sarawak, né le 29 avril 1803 à Bénarès en Inde, et mort le 11 juin 1868 à Burrator dans le Devon au Royaume-Uni, est un aventurier britannique premier raja blanc du Royaume de Sarawak.
Biographie
Il est né d'un père anglais, fonctionnaire de la Compagnie anglaise des Indes orientales et d'une mère écossaise. Quand il a 12 ans, ses parents l'envoient dans une grammar school (lycée) en Angleterre. À 16 ans, il s'engage dans l'armée du Bengale. La première guerre anglo-birmane éclate en 1824. Le jeune Brooke lève un corps de cavalerie formé de volontaires. Il est blessé à sa première charge et rapatrié en Angleterre. En 1830, il repart pour Madras mais arrive trop tard pour rejoindre l'armée. Il essaie alors de se lancer dans le commerce en Extrême-Orient, sans succès.
En 1835, son père meurt, lui léguant 30 000 livres, avec lesquelles il achète un bateau. Il met le cap sur Bornéo en 1839. Il arrive à Kuching en plein soulèvement des Dayak contre le sultan du Brunei. Il offre ses services au sultan et parvient à un règlement pacifique de l'affaire. Le sultan lui confère le titre de raja (vice-roi) de Sarawak après qu'il eut menacé militairement ce dernier.
Le Royaume de Sarawak
Brooke entreprend alors de réformer l'administration du territoire, promulgue des lois et lutte contre la piraterie, un problème persistant tout le long de son gouvernement. Brooke rentre temporairement en Angleterre en 1847, où on le nomme gouverneur et commandant en chef de Labuan et consul général britannique à Bornéo. En 1851, Brooke est l'objet d'accusations de malversations. Une commission royale d'enquête est nommée à Singapour, qui conclut à l'absence de preuves. Brooke gouverne le Royaume de Sarawak jusqu'à sa mort en 1868. Son neveu, Charles Anthony Johnson Brooke, lui succède comme raja. Charles Brooke doit faire face aux menées de chefs rebelles comme Syarif Masahor et Rentap, mais parvient à régler ces problèmes.
Inspiration
- James Brooke a servi de modèle pour Lord Jim de Joseph Conrad (1899-1900).
- James Brooke apparaît dans l'œuvre de l'écrivain Emilio Salgari, qui fait de lui l'un des principaux adversaires de son héros Sandokan surnommé « le Tigre de la Malaisie ». Dans la série télévisée franco-germano-italienne Sandokan de 1976, inspirée des romans de Salgari, le rôle de James Brooke est interprété par l'acteur italien Adolfo Celi.
- James Brooke inspire certains tomes (dont Le trésor du Rajah Blanc) de la bande dessinée franco-belge Théodore Poussin de Frank Le Gall (1987-2005).
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