Ma vision d’Empire Galactique n’est pas forcément tranchée.
Nous avons à faire à un Empire millénaire, qui s’est largement étendu à travers la galaxie, qui a expérimenté de nombreuses guerres, de nombreux types de gouvernements, de nombreuses révolutions et s’est toujours reconstruit sous une forme ou une autre, renaissant de ses cendres après chaque épreuve.
Cette apparence d’unité politique masque en fait de grandes disparités en pratique. Des disparités de niveau technologique, de droit, sociales. Un kaléidoscope, qui dessine en définitive un ensemble cohérent, basé sur le système des guildes, de l’autorité de l’Empereur et dans des lois minimales universelles au sein de ses frontières.
A la manière de certains Empires terrestres, le centre de l’Empire, la section se trouvant autour de Prima et celle du berceau historique de la Fédération qui l’a précédé, sont sans doute les mondes les plus développés, les plus anciens, qui drainent à eux richesses, biens et exportent savoir, recherche, art. Bref une majorité de mondes NT6 voir NT6+. Quelle est la vie des habitants de ces mondes ? Une vie urbaine dans tous les sens du terme, calme, civilisée, largement assistée par les machines, ou l’on trouvera essentiellement des personnes du secteur tertiaire. Des mondes ennuyeux pour certains, sans imprévu.
Plus loin, se trouvent les mondes qui, bien que situés au cœur de l’Empire, ont un intérêt économique à la production, tant industrielle qu’agricole, pour fournir à la bordure externe et au cœur de l’Empire des biens technologique et de quoi subsister. Ce sont des mondes riches, eux aussi, qui emploient aussi largement les machines, bénéficient d’un niveau technologique NT6 ou 5 et au taux de criminalité réduit.
Il y a ensuite des mondes qui, bien que situés au sein de l’Empire, sont éloignés des routes commerciales principales. Ces mondes peuvent être des havres de paix, des planètes décharges, des lieux de villégiature, des planètes minières, des planètes garnison … On peut tout imaginer (sachant bien entendu qu’une planète est rarement totalement spécialisée). Ces mondes bénéficient aussi d’un niveau technologique élevé, d’un accès à l’éducation peut-être un peu plus difficile. Une criminalité peut-être un peu plus élevée, peut-être avec des lois et des forces de police locales.
Nous en arrivons enfin aux frontières, par définition les plus éloignées du centre de l’Empire. Des planètes coloniales, intégrées, fondées sous l’influence des guildes, d’aventuriers passés, colonisées en raison de leur richesse, de leur implantation stratégique sur une voix commerciale vers l’extérieur, des mondes redécouverts après l’essaimage NT5, des mondes étrangers qui ont souhaité un rattachement Impérial ou qui y on été contraints (persuadés). Des mondes d’une technologie variable, NT4-5 avec des technologies importées NT6 qui font encore appel lourdement à l’être humain comme force de travail. Un foisonnement de mondes d’où naissent la plus grande variété culturelle, mais aussi de grandes inégalités. C’est néanmoins le poumon de l’Empire, ce qui renouvelle son sang vieillissant, par des idées, des fortunes, une dynamique nouvelle. Une jachère volontaire où la main de l’Empire se fait plus légère et où ses éléments les plus turbulents trouvent à exprimer leur énergie. Des mondes parfois violents, âpres, pleins de potentiels, mais où se nouent parfois des drames personnels, où la loi est le plus souvent locale qu’Impériale, même s’il existe des bornes diplomatiques.
Enfin l’extérieur, l’autre coté des frontières. Là, tout est possible, même si l’on peut imaginer d’autres états constitués, des bulles de civilisation pour l’Alliance des Douze Soleils (A12S) ou la République du Cygne, des états livrés à la guerre civile comme les territoires kiffish et foncièrement xénophobes, des planètes indépendantes … Là c’est le territoire des pirates, des aventuriers border line à la recherche de richesse et de gloire, des criminels en fuite, des soldats de fortune, d’explorateurs, de la lie des étoiles, mais aussi le sel de la terre, des bâtisseurs d’empires.
Il y a là de tout, tous les niveaux technologiques, des réalisations Xéno dont on serait bien en peine de donner un niveau technologique tant leur développement a été différent de celui de l’Empire. Pas de loi Impériale, si ce n’est celle(s) apportée(s) avec elles par des patrouilles [...] de la division Nova. Des lois locales à la surface des planètes ou dans l’espace contrôlé. Celle du plus fort, du plus malin, de celui qui tirera son épingle du jeu partout ailleurs. Un univers où la technologie impériale doit être importée, mais où des solutions locales alternatives se présentent parfois. Un espace où la débrouillardise et l’homme, dans ce qu’il a de plus humain, s’exprime totalement.
Dans ses cotés les plus sombres mais aussi dans son aspiration aux étoiles.
Nous avons à faire à un Empire millénaire, qui s’est largement étendu à travers la galaxie, qui a expérimenté de nombreuses guerres, de nombreux types de gouvernements, de nombreuses révolutions et s’est toujours reconstruit sous une forme ou une autre, renaissant de ses cendres après chaque épreuve.
Cette apparence d’unité politique masque en fait de grandes disparités en pratique. Des disparités de niveau technologique, de droit, sociales. Un kaléidoscope, qui dessine en définitive un ensemble cohérent, basé sur le système des guildes, de l’autorité de l’Empereur et dans des lois minimales universelles au sein de ses frontières.
A la manière de certains Empires terrestres, le centre de l’Empire, la section se trouvant autour de Prima et celle du berceau historique de la Fédération qui l’a précédé, sont sans doute les mondes les plus développés, les plus anciens, qui drainent à eux richesses, biens et exportent savoir, recherche, art. Bref une majorité de mondes NT6 voir NT6+. Quelle est la vie des habitants de ces mondes ? Une vie urbaine dans tous les sens du terme, calme, civilisée, largement assistée par les machines, ou l’on trouvera essentiellement des personnes du secteur tertiaire. Des mondes ennuyeux pour certains, sans imprévu.
Plus loin, se trouvent les mondes qui, bien que situés au cœur de l’Empire, ont un intérêt économique à la production, tant industrielle qu’agricole, pour fournir à la bordure externe et au cœur de l’Empire des biens technologique et de quoi subsister. Ce sont des mondes riches, eux aussi, qui emploient aussi largement les machines, bénéficient d’un niveau technologique NT6 ou 5 et au taux de criminalité réduit.
Il y a ensuite des mondes qui, bien que situés au sein de l’Empire, sont éloignés des routes commerciales principales. Ces mondes peuvent être des havres de paix, des planètes décharges, des lieux de villégiature, des planètes minières, des planètes garnison … On peut tout imaginer (sachant bien entendu qu’une planète est rarement totalement spécialisée). Ces mondes bénéficient aussi d’un niveau technologique élevé, d’un accès à l’éducation peut-être un peu plus difficile. Une criminalité peut-être un peu plus élevée, peut-être avec des lois et des forces de police locales.
Nous en arrivons enfin aux frontières, par définition les plus éloignées du centre de l’Empire. Des planètes coloniales, intégrées, fondées sous l’influence des guildes, d’aventuriers passés, colonisées en raison de leur richesse, de leur implantation stratégique sur une voix commerciale vers l’extérieur, des mondes redécouverts après l’essaimage NT5, des mondes étrangers qui ont souhaité un rattachement Impérial ou qui y on été contraints (persuadés). Des mondes d’une technologie variable, NT4-5 avec des technologies importées NT6 qui font encore appel lourdement à l’être humain comme force de travail. Un foisonnement de mondes d’où naissent la plus grande variété culturelle, mais aussi de grandes inégalités. C’est néanmoins le poumon de l’Empire, ce qui renouvelle son sang vieillissant, par des idées, des fortunes, une dynamique nouvelle. Une jachère volontaire où la main de l’Empire se fait plus légère et où ses éléments les plus turbulents trouvent à exprimer leur énergie. Des mondes parfois violents, âpres, pleins de potentiels, mais où se nouent parfois des drames personnels, où la loi est le plus souvent locale qu’Impériale, même s’il existe des bornes diplomatiques.
Enfin l’extérieur, l’autre coté des frontières. Là, tout est possible, même si l’on peut imaginer d’autres états constitués, des bulles de civilisation pour l’Alliance des Douze Soleils (A12S) ou la République du Cygne, des états livrés à la guerre civile comme les territoires kiffish et foncièrement xénophobes, des planètes indépendantes … Là c’est le territoire des pirates, des aventuriers border line à la recherche de richesse et de gloire, des criminels en fuite, des soldats de fortune, d’explorateurs, de la lie des étoiles, mais aussi le sel de la terre, des bâtisseurs d’empires.
Il y a là de tout, tous les niveaux technologiques, des réalisations Xéno dont on serait bien en peine de donner un niveau technologique tant leur développement a été différent de celui de l’Empire. Pas de loi Impériale, si ce n’est celle(s) apportée(s) avec elles par des patrouilles [...] de la division Nova. Des lois locales à la surface des planètes ou dans l’espace contrôlé. Celle du plus fort, du plus malin, de celui qui tirera son épingle du jeu partout ailleurs. Un univers où la technologie impériale doit être importée, mais où des solutions locales alternatives se présentent parfois. Un espace où la débrouillardise et l’homme, dans ce qu’il a de plus humain, s’exprime totalement.
Dans ses cotés les plus sombres mais aussi dans son aspiration aux étoiles.
De Stephane le Ven 17 Juin 2016
Si je devais me risquer à nommer et caractériser
les "tores" concentriques qui constituent l'espace occupé par l'Empire,
et en les prenant dans le sens centrifuge :
- Centre : également appelé Noyau Galactique, Cœur Impérial, Mondes de la Centralité. Prima et ses 24 agro-colonies sous protection de l'Armée Impériale, ainsi que les 500 systèmes proches dont l'économie est directement liée à la présence de l'oecuménopole, dans un rayon de 2.000 AL environ.
- Couronne : les mondes éloignés de moins de 15.000 AL de Prima, presque tous de NT6 (environ 10% d'agro-colonies NT5) et tous sous administration impériale ou protectorat.
- Ceinture : parfois aussi appelée Bordure Médiane. Les mondes éloignés de 15.000 à 30.000 AL de Prima, où on commence à trouver des Provinces Souveraines.
- Bordure : parfois aussi appelée Ceinture Extérieure, Frontières de l'Empire ou Marches Impériales Tout ce qui est au-delà de la Ceinture. Autant d'espace sous administration impériale que de Provinces Souveraines.
- Confins : parfois aussi appelés Frange, Outre-Limes, c'est l'espace extra-impérial. La limite entre Bordure et Confins est floue. Quasiment inoccupés, mais les rares systèmes habités sont tous des Mondes Indépendants ou fédérés en petites Provinces Souveraines à la sphère d'influence très réduite.
1 commentaire:
Star Wars- The Imperial March (Darth Vader's Theme) : https://www.youtube.com/watch?v=-bzWSJG93P8
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