vendredi 15 juillet 2016

Kobolds

Kobold
Image from Arik
Many races of Kobold live underground on inhospitable planets; for this reason they often wear self-luminous adornments. To protect against falls in high gravity they usually wear knee- and elbow- pads
A clade of high gravity tweaks gengineered for life on the planet Sisyphos. A new (tweaked) clade of humanity was developed for this high gee world; a metre tall and the same wide, they became known as Kobolds to other modosophonts. They are sometimes called gee-gnomes because of their genetic modifications for gravity-tolerance and their short stature.

Since their exile from Sisyphos by Thyratron, Kobolds have migrated to several superterrestrial and chthonian planets throughout the Terragen Sphere, usually but not always preferring high gravity superterrestrial worlds. Despite their short stature, they are strong and hardy and capable of remarkable feats of strength in Earth-like gravity regimes.

Sourcehttp://www.orionsarm.com/eg-article/47fc240a5e94f

1 commentaire:

Je a dit…

Un kobold est une créature légendaire du folklore et de la mythologie germanique.

Le terme n'est pas issu du substantif allemand der Kobold, signifiant le plus souvent un lutin, mais d'un mot attesté au moyen haut allemand kóbolt ou kobólt et probablement encore plus ancien. Il s'agirait initialement d'un esprit protecteur de la maison et du foyer, associée aux divers cultes des morts des traditions païennes. Bon et dévoué pour la famille qui l'accueillait en conservant rituels, mais menaçant pour les rivaux et ennemis de la famille, le kobold est devenu ambivalent après avoir été chassé du rituel des foyers par le rigorisme chrétien. Relégués dans les lieux abandonnés et redevenus par nécessité voleurs, sauvages, agressifs et menaçants, les petits êtres sont devenus selon les diverses traditions paysannes soit des lutins des marais, des prairies, des forêts sauvages soit des nains voleurs de métaux monétaires et précieux des milieux souterrains soit des recycleurs infernaux des mondes chtoniens. Leur présence médiévale tardive est très souvent associée à des endroits puants ou enfumés, à des brouillards inquiétants et démoniaques, à des charniers ou autres lieux de mort avant l'embourgeoisement idyllique des contes par les littératures nationales, procédant par l'écriture.