Source : http://dunedune.over-blog.com/article-5418455.html
Faufreluches was a term commonly used to describe the class system employed during the days of the Old Imperium.
The faufreluche system was meant to provide some sort of order for the way in which humanity related with one another, both to maintain order and civility, and to keep certain groups under control within the Imperium. However, it attempted to minimise alienation of individuals or minorities by providing for everyone: The motto of the faufreluche system was "A place for every man and every man in his place."
An integral part of the Faufreluche system were the Great Houses, Minor Houses, siridar fiefs, and the Padishah Emperor.
The theory behind the Faufreluche system's existence was that, because of the vastness of the universe, and the immense distances across which humanity was scattered, a central figure—the Emperor—was required to provide focus and direction in people's lives. This figure was represented locally for people by the head of the Great House that governed them.
Flaws in the Faufreluche system could be seen in that House Harkonnen, once banished for cowardice after the Battle of Corrin, could return and become a viable political power through market manipulation.
Moreover, the prescient powers of Paul, Alia, Ghanima, and Leto Atreides II revealed that the scattering of humanity without central leadership was precisely what was required in order to save it from stagnation, and, eventually, annihilation; if the entirety of humanity was concentrated sufficiently to be ruled by a single interest, it was likewise vulnerable to destruction by a single threat. Thus, upon Leto II's death, the Faufreluche system effectively ended, and humanity exploded across the universe in an immense Scattering, ensuring humanity's future would be secure.
Source : http://dune.wikia.com/wiki/Faufreluches
Le terme "Faufreluches" dérive sans doute du vieux français "fanfreluche".
Étymologie
- Attesté en 1534 chez Rabelais[1]. De l’ancien français fanfelue (« bagatelle »), attesté sous la forme fanfeluce en 1405[2], du latin famfaluca (« bulle d’air »)[3], issu lui-même du grec ancien πομφόλυξ, pomphólyx (« bulle d’air »)[4].
Singulier | Pluriel |
---|---|
fanfreluche | fanfreluches |
\fɑ̃.fʁǝ.lyʃ\ |
- Garnitures légères, enjolivements de la toilette féminine.
- La tenue uniforme s’agrémentait de rubans et de fanfreluches, d’adjonctions intelligentes à la robe, sous laquelle s’affinaient les traits et se devinaient les dispositions et les développements physiques. — (Alphonse Momas, La Chute des vierges, chap. 1, 1907)
- Vous dites bien, ma belle, répondait Élodie. Mais rien n’est plus coûteux en toilette que la simplicité. Et ce n’est pas toujours par mauvais goût que nous mettons des fanfreluches ; c’est quelquefois par économie. — (Anatole France, Les dieux ont soif, chap. 10, Calmann-Lévy, 1912, p. 142)
- (Par extension) (Au singulier) Activité consistant à fabriquer, à vendre des fanfreluches.
- L’assassin était un fils de famille, dont le père s’était élevé à la force du poignet, partant d’une petite mercerie pour créer un empire de la fanfreluche, et gagner le droit d’habiter place Bellecour. — (Geneviève Parot, La Folie des solitudes, 2009)
- (Figuré) (Au pluriel) Enjolivement, fioriture, accessoire décoratif.
- Mais de quoi allé-je m’aviser de vous raconter cette petite orgie, tant racontée déjà, avec toutes les fanfreluches de ce style dont chacun sait le secret aujourd’hui ? — (Charles Monselet, Monsieur de Cupidon, V. Lecou, 1854, p. 222-223)
- Cavalerie, ma mie, à vous de donner l’exemple. Quittez vos vieilles fanfreluches, soutaches, brandebourgs ou plastrons ; pelisses engonçantes, habits vestes étranglant la taille ; tresses et torsades gênant les mouvements. Renoncez à ces couleurs éclatantes, cibles niaisement glorieuses, devant le tir certain des armes d’aujourd’hui. Disons ensemble ici, un dernier adieu à ces héroïques défroques, symboles encore si vivaces des sublimes chimères pour lesquelles nos pères versèrent le plus pur de leur sang ; cela fait, endossez gaiement votre nouvelle tunique qui, pour si sombre et si prussienne qu’elle soit, est aussi plus saine, plus commode, moins coûteuse, vous couvrant mieux les reins et vous tenant plus chaud au ventre. — (Émile-Marcelin-Isidore Planat dit « Marcelin », « Vieux Uniformes », in La Vie parisienne : magazine mensuel artistique et littéraire, 19 décembre 1868)
- Le génie du père Gallimard a été cette couverture blanche. Elle condamnait d’emblée le récit innocent, menaçait les séculaires fictions que fanfreluches et autres illustrations célébraient comme de vieilles courtisanes effondrées dans des sofas et des dentelles. — (Patrick Chamoiseau, cité par Éric Loiret, « Pour ses 100 ans, Gallimard cherche le roman du XXe siècle » dans Libération, 10 février 2011)
- (Figuré) (Au singulier) Chose de peu d’intérêt, de peu de valeur…
- Mon seul dieu : l’argent
Tout le reste c’est de la fanfreluche. — (Félix Leclerc, Rêves à vendre, ou, Troisième calepin du même flâneur, 1984)
- Mon seul dieu : l’argent
- (Figuré) (Au singulier) Fantaisie…
- L’Écho de Paris, cependant, reproche à La Fronde un manque de fanfreluche ! — (Évelyne Le Garrec, Séverine, vie et combats d’une frondeuse, 2009)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire