Tous les pouvoirs étaient centralisés en la personne de l’Empereur
Paddishah, qui possédait, sous ce titre, l’ensemble de l’Empire. Dans la
pratique, le terme « Empereur Padishah » désignait la tête de la
Maison Corrino, qui avait établi son ascendant, après la Bataille de Corrin en
88 av.G., comme Maison Impériale ; à la chute de Shaddam IV, une Régence fut
mise en place en 10196 – période ininterrompue jusqu’en 10284 (pour le sort de
l’Empire, voir Maison Atréides).
Bien que la Maison Corrino ait pu affirmer qu’elle régnait sur la
galaxie, elle régnait directement sur une infime partie de cette galaxie – plus
particulièrement sur Kaitain, le siège de la Cour Impériale, et Salusa
Secundus, le monde-mère de la Maison Corrino, transformé en planète-prison
Impériale. Le reste de la galaxie fut donné en fiefs aux Maisons Majeures qui
pouvaient posséder une ou plusieurs planètes, ou un système planétaire,
qu’elles contrôlaient au nom de l’Empereur. Ces fiefs étaient normalement
accordés à perpétuité, à une Grande Maison, mais ils pouvaient tomber en
déshérence par l’Empereur, par défaut d’héritier d’une Maison (une circonstance
qui résultait plus d’une contrainte à l’exil que d’un réel défaut du à la
génétique), ou lorsque l’Empereur déclarait la forfaiture du fief en raison de
l’échec d’une Maison à remplir ses obligations féodales. Ces forfaitures de
fiefs dirigées contre l’autorité impériale étaient toutefois, relativement
rares, sauf lorsque ces fiefs détenaient des richesses exceptionnelles et/ou un
pouvoir politique, comme Arrakis (documents écrits par Omar Bruus, L’histoire politique de Dune,
(Fides : Malte))
La règle de l’octroi d’un fief à une Maison Majeure comportait une
protection impériale contre les violations de la Grande Convention dans les
litiges entre Maisons et contre les menaces (possibles mais jamais vues)
d’invasions par des adversaires extragalactiques, non humains. Un fief impérial
garantissait également le statut de chef au titulaire de la Maison Majeure et
lui donnait aussi un siège au Landsraad, une adhésion (bien que pas
nécessairement à un poste d’administrateur) au CHOM, et des privilèges
d’expédition auprès de la Guilde (cela dépendait de l’approbation de la Guilde)
et l’absence d’ingérence impériale directe. Les interférences indirectes, sous
forme d’espionnage, de « visites » non officielles de dignitaires, et
même de sabotage, étaient constantes et attendues (comme l’indique Zhuurazh
Nimkii dans J’ai vécu trois
vies : mémoires d’un agent double, (Zimaona ; Zinat)).
L’octroie d’un fief planétaire, sans cette immunité, donnait au titulaire un
« quasi » fief dans lequel le pouvoir gouvernemental était partagé
avec un Caïd des sardaukars impériaux – un arrangement considéré comme
éminemment insatisfaisant par les Grandes Maisons.
En contrepartie, le bénéficiaire d’un fief planétaire acceptait le titre
de « vassal » et déclarait allégeance à l’Empereur Padishah et à ses
descendants lors d’un serment public ; il s’engageait à verser une dîme
annuelle sur tous les bénéfices du fief, et également à fournir des hommes pour
les forces impériales, celles-ci s’élevant à pas moins d’un dixième de tous les
appelés au service militaire pour les armées planétaires. En outre, diverses
« occasions et aides » féodales furent attachées au système au fil
des ans et furent considérées comme inviolables par une longue habitude.
Celles-ci incluaient le paiement essentiel des droits de succession du lors de
la mort d’un vassal et l’acceptation d’un fief par l’héritier légal de ce
vassal ; à « l’occasion » d’un mariage, l’héritière légale
devait payer pour choisir son propre mari (en pratique, une simple taxe de
mariage, mais qui était prise très au sérieux par l’impérium, comme en témoigne
la jurisprudence de Dame Angelica Hagal contre l’Imperium (archives du
Landsraad 9183), lorsque le Conseil Supérieur de Landsraad jugea que « le
mariage entre les membres de Maisons Majeures ne pouvait pas être interprété
autrement que comme une fusion politique et économique et en tant que telle,
dépendait directement de la juridiction de Notre Sublime Empereur Padishah
lui-même » ; et – par-dessus tout – le droit d’hospitalité ou droit
de gite, qui était redouté par toutes les Maisons Majeures car pour divertir
l’Empereur dans le style auquel il était habitué, peu avaient les finances
nécessaires, sauf les Maisons les plus riches. Heureusement, peu d’Empereurs
utilisèrent ce droit de manière
inconsidérée. En effet, le dernier
Empereur à avoir usé de ce droit lors d’une tournée d’inspection à travers son
Empire, Corrin XXII (9235-9294) occasionna pas moins de 143 émeutes dues à la
famine sur les 17 planètes qu’il visita, des dizaines de lettres de
protestations furent présentées devant le Landsraad et quatre révolutions
aboutirent (rapidement anéanties par son successeur Ezhar X), avant qu’il ne
succombe au chaumes lors d’une visite sur Bolchef (voir Le dernier banquet, par Lors Karden (Yorba : Rose)).
La féodalité impériale différait des systèmes féodaux historiques sur un
point très important, le respect : l’Empereur Padishah ne s’appuyait pas
sur ses vassaux pour avoir des soldats. Certes, il exigeait d’eux une levée de
troupe en soutien. Ces troupes servaient à deux fonctions : comme façon
factice pour couvrir la véritable source des sardaukars (Salusa Secundus),
ainsi que comme chair à canon pour la formation des légions impériales. Ces
troupes n’étaient pas utilisées au combat réel. Dans de tels cas, l’Empereur
faisait appel aux sardaukars qui, à leur apogée, équivalaient, chacun, à dix
conscrits ordinaires au Landsraad. Ce fait, combiné avec la connaissance
qu’avait la Maison Corrino des armes et atomiques, prouvaient que la Maison
impériale pouvait égaler les forces de toutes les Grandes Maisons ; et les
stocks de mélange de la Maison Corrino, une richesse presque illimitée, donnait
à l’Empereur Padishah, le pouvoir de faire appliquer ses décisions sur le
champ, sans avoir à attendre les autorisations de quelques instances chargées
de l’application des lois.
Cette autorité et la richesse donnaient aussi à la Cour impériale (et à
sa bureaucratie), une splendeur et des solaris qui grandissaient d’année en
année. Le Palais impérial sur Kaitain abritait non seulement l’Empereur et sa
famille proche de la Maison Corrino, les serviteurs, gardes du corps et
esclaves, mais aussi les esclaves du harem de l’Empereur avec sa crèche
attenante pour la progéniture de la communauté des concubines et, à un
supérieur, les quartiers des visiteurs aristocratiques, ainsi que le personnel
toléré, comme les costumiers, les chargés de pétitions, les coursiers
diplomatiques et autres. Les gens de moindre importance attendaient dehors.
Tous, cependant, imploraient l’autorisation d’entrer dans le selamlik impérial,
pour pouvoir franchir les portes de plastacier et de marbre, sous les arcades
où la légende impériale était sculptée, « Le droit est la science
ultime », passer les bannières capturées des Grandes Maisons vaincues, se
tenir à six pieds du Trône du Lion d’Or, en présence, enfin, du pouvoir
lui-même. La grande salle d’audience était bondée de gardes du corps impériaux,
de courtisans, noukkers, pages, esclaves, parasites, qui ne formaient qu’une
fraction de ceux qui réclamaient le droit d’entrer ; les audiences
semblaient sans fin, mais ne recevaient que quelques pétitionnaires sur les
nombreuses personnes qui attendaient. L’Empereur, vêtu de l’uniforme gris des
sardaukars avec seulement le plumet impérial sur la tête pour indiquer sa
position – il indiquait, si tel rappel était toutefois nécessaire, exactement
là où le pouvoir impérial se trouvait – écoutait chaque pétitionnaire qui
déclinait son nom et exposait son affaire en termes pratiquement identiques,
les formules étaient établies par l’usage antique : « Moi, un Duc
d’une Grande Maison, un parent impérial, donne ma parole de cautionnement en
vertu de la Convention… »
A quelques exceptions près, les membres de la famille impériale n’assistaient
pas aux innombrables événements sociaux qui donnaient à la Cour sa réputation
de splendeur étincelante. Il n’est pas vrai que (à l’exception peut-être de la
Cour de Chalic I, 8216-8225) derrière la façade publique, la vie de la Cour sur
Kaitain n’était qu’orgies perpétuelles, fêtes, beuveries et combats. Les
journaux privés et les revues de la Maison Royale, encore en cours de
traduction, indiquent que les fonctions impériales, et non les privilèges
avaient cours sur Kaitain.
Ces tâches comprenaient non seulement l’administration des planètes
impériales et la gestion des redevances féodales, les obligations et les dîmes,
mais également le fonctionnement quotidien des divers départements et
ministères. Il fallait assister au recensement impérial tous les dix ans (qui
nécessitait sa propre bureaucratie : aucun autre bureau n’était censé
connaître le nombre exact de mondes sous la domination impériale, et le
recensement se préoccupait des personnes) ; le dictionnaire impérial, un
dossier uniquement rédigé en galach, mais qui nécessitait une révision et une
mise à jour constante ; les contres de recherche en écologie, botanique et
zoologie (sous contrôle strict pour limiter l’avance technologique) ; sans
oublier l’agence de renseignements impériale, dont les dossiers disponibles
résistent, à ce jour, à tous décryptages. La journée de l’Empereur, à
l’exclusion des interventions publiques, consistait en une série de rapports et
de conférences exigeant les services d’une batterie d’aides et de secrétaires-mentats.
Les tribunaux régionaux et planétaires des grandes Maisons avaient
tendance à singer les coutumes et les habitudes de la Maison Impériale. Les
Ducs et Barons portaient de pompeux costumes, accordaient des audiences et
écoutaient les doléances partout dans la galaxie, en imitant leur Sublime
suzerain. La plupart des Grandes Maisons, en effet, accordaient des sub-fiefs à
leurs propres vassaux, seigneurs de Maisons Mineures, dans un double effort
pour (a) accroître leur prestige en créant des vassaux personnels, et (b)
réduire leur travail personnel et les dépenses nécessaires au gouvernement
d’une planète. Ce processus de sous-inféodation pouvait se poursuivre avec les
Maisons Mineures qui octroyaient des sub-fiefs à d’autres Maisons Mineures ou à
des particuliers (ou même, dans des cas extraordinaires, à des Maisons Majeures
pauvres), jusqu’à ce qu’une bureaucratie écrasante devienne nécessaire
uniquement pour démêler qui devait quoi et à qui. La chute de certaines Grandes
Maisons, devenues des Maisons Mineures (entrainant la perte de leur
représentation au Landsraad, de leur privilèges de transport par la Guilde et
de leur adhésion à la CHOM) faisait remonter directement à la Maison
enchevêtrée dans embroglio de layautés conflictuelles et d’obligations (voir E.
Alaynbat, La chute de la Maison Hiirak,
(Grumman : Lodni), pour une anamnèse détaillée et intéressante). Une
astuce utilisée par les Maisons Mineures pas trop scrupuleuses, que ce
processus de sous-inféodation pour élever leur Maison au statut de Maison
Majeure, et bon nombres d’intrigues et de complots planétaires mineurs étaient
de cette même nature.
Le siridar-seigneur et la Dame de la planète étaient censés être plus
que de simples figures politiques comme les gouverneurs planétaires, ils étaient
comme les pères et mères de substitution de leur peuple. Ainsi, en plus
d’assurer la paix et la prospérité, ils définissaient et appliquaient certaines
normes sociales, les modèles de courtoisie en quelque sorte, parmi la
population. Dans la pratique cette obligation devint l’application de la main
de fer dans un gant de velours, du système de castes des Faufreluches :
« Une place pour chaque homme, et chaque homme à sa place ». Une
strictes hiérarchie des privilèges sociaux et du rang qui prévalu tout au long
de l’Empire, et chaque membre de la société prenait soin de conserver sa place
de choix contre les ordres inférieurs, de l’Empereur lui-même vers le bas, à
travers les Maisons, les commerçants, artisans et affranchis, péons, serviteurs
et esclaves. La mobilité dans les rangs était théoriquement impossible, car
l’état d’une personne était déterminé à la naissance, par le rang de la famille
et les possibilités d’éducation ouverte à la descendance de cette famille. La
politique officielle décourageait les aspirations à l’ascension sociale.
Pourtant, les routes étaient ouvertes à ceux qui étaient assez gourmands (ou
assez fous) pour s’y risquer.
Pour preuve, la capacité potentielle des mentats, ou l’intelligence
couplée à la volonté qui permettaient à une conscience pyrétique d’opter pour
une vie bourgeoise, soit par le biais du conditionnement de l’école Suk, soit,
de manière détournée (et en toute sécurité), grâce à une formation renégate aux
mains de l’imagination.
Psychologiquement plus sur, mais encore physiquement dangereux,
l’itinéraire le plus courant pour les classes inférieures était de passer par
les carrières militaires. Il n’est pas vrai, comme la rumeur l’affirmait, qu’un
jeune homme entreprenant pouvait, par le biais de prouesses et de bravoure,
faire son chemin dans le corps d’élite des sardaukars, bien que beaucoup aient
essayé alors qu’ils avaient été enrôlés lors des levées de soutien de
l’Empereur. Mais un homme pouvait gravir de nombreux rangs dans une armée
planétaire pour devenir commandant, général, ou même Maître-assassin (voir par
exemple, Juniper Atreo, éd., Le
journal d’un assassin, une biographie de Gurney Halleck, Etudes
d’Arrakis 25 (Grumman : les mondes unis), collection de dossiers trouvés
dans la Grande Bibliothèque sur Caladan).
La troisième voie permettant de gravir la hiérarchie des Faufreluches
était, comme on peut s’y attendre, la voie financière. Avec les nouvelles
planètes, les nouveaux produits et l’ouverture des exportations, il était
possible pour les hommes d’affaires légitimes et leurs cousins illégitimes –
les contrebandiers – de faire fortune dans le commerce : cette richesse
pouvait servir à acheter des titres ou des Maisons Mineures (et même une Maison
Majeure), un statut, par le biais de négociations discrètes dans des quartiers
appropriés. L’accusation de Noble sac-à-main – signifiait que les titres
étaient sortis de sa poche – était l’une des insultes les plus meurtrières de
l’Impérium, pourtant les sources montrent que cela pouvait être attribué aux
Harkonnen qui avaient acquis leur fortune de cette façon.
Parfois des populations entières vivaient en dehors du système des
Faufreluches : l’exemple le plus marquant est certainement celui des
fremen sur Arrakis. Un autre exemple, bien que ce fut peut-être une légende
(les dossiers sont fragmentaires) était la planète Tupile (ou les planètes), et
sa population – qui était un endroit de salut, selon la rumeur sinon dans les
faits – qui avait cherché là un refuge au cours des siècles.
Le gouvernement impérial avait bien sur, consciemment bloqué tous les
efforts pour contourner le système des Faufreluches. La Maison Corrino n’avait
pas entretenu son ascendant sur tant de
générations en encourageant le changement, ou même l’espoir de changement. La
pyramide féodale devait apparaitre à tous les membres de l’Impérium comme
gravée dans la pierre : aucune mobilité n’était facile, la révolte
impossible. Les agent impériaux cultivaient un pessimisme persistant dans la
population pour renforcer la base de leur pouvoir. Ce pessimisme agissait comme
un moyen de dissuasion psychologique (en plus des restrictions religieuses)
contre l’innovation technologique et politique, gardant ainsi l’Empire en toute
sécurité féodale durant plus de 10.000 ans.
Ces forces qui pouvaient s’opposer à l’Empereur – la Landsraad et la
Guilde – furent absorbées dans la pyramide féodale, ce qui était indispensable
pour sa stabilité. La fédération des Grandes Maisons du Landsraad avait d’abord
été formée pour constituer une défense contre l’impérium, mais chaque Grande
Maison vivait dans la peur de trouver les sardaukars à leur porte, peut-être
déguisés sous la livrée d’une autre Maison, et les Grandes Maisons ne pouvaient
combattre les sardaukars que si elles s’unissaient. Dans la pratique,
cependant, le Landsraad agissait comme une agence d’auto-surveillance,
empêchant les conflits entre Maisons d’échapper à son contrôle, supervisant les
changements de fief, les kanly, vengeances et guerres des assassins, appliquant
les règles de la Grande Convention, ainsi, l’Empereur n’avait pas besoin
d’utiliser ses sardaukars. Dans toutes les situations d’urgence, le Landsraad
agissait pour protéger les bénéfices, pas les droits et, durant 10.000 ans, les
bénéfices accompagnèrent la Maison Corrino. Les sysselraads régionaux, formés
par les Maisons Mineures, en imitant le Landsraad, jouèrent essentiellement la
même fonction en miniature, en ce qui concernait les Maisons majeures
individuelles.
Le troisième pied du trépied politique était la Guilde, avec son
monopole sur les transports et les voyages interstellaires, et donc sur les
banques interstellaires. Même si elle devait allégeance formelle à la Maison
impériale, dont elle avait accepté la charte, la Guilde avait un pouvoir égal,
à la fois à l’Empereur et aux forces combinées des Maisons du Landsraad,
devait-elle choisir d’utiliser ce pouvoir ? Cela fut reconnu tacitement et
symboliquement en instaurant le début du calendrier Impérial en même temps que
la création de la Guilde Spatiale, en l’an 1. Toutes les communications, les
voyages, le commerce et les opérations militaires dépendaient de l’approbation
de la guilde. Aucune Grande Maison, même la toute puissante Maison Corrino,
n’osait mettre en danger son privilège d’expédition en commettant une infraction
peu judicieuse envers la toute puissante Guilde Spatiale ; l’Empereur
lui-même était contraint d’employer des espions et des contrebandiers pour
tenter de contourner le contrôle de la Guilde.
Pourtant, la Guilde elle-même était une organisation fondamentalement
conservatrice. Son conservatisme s’enracinait dans deux sources : la peur
de l’avancée technologique dans son domaine ; Ix ou le Tleilax risquaient
de briser son monopole avec de nouvelles méthode astronautiques, et la crainte
que son approvisionnement en mélange – qui seul rendait les déplacements
possibles – soit coupée. Les guildiens estimaient, à juste titre, depuis plus
de 10.000 ans, que l’imperium, avec sa structure féodale et les restrictions
religieuses contre la technologie, était la seule garantie contre ce danger.
Pour se perpétuer, la Guilde était disposée à laisser entériner la maîtrise de
la charte de l’Empereur et équilibrer sa puissance contre le Landsraad et
toutes autres menaces contre l’ordre impérial établi. Seulement, sur Arrakis,
la seule source de mélange, la politique de la Guilde était sans fondement, et
cette erreur fut désastreuse, non seulement pour la Guilde, mais aussi pour
l’ensemble de l’Empire Corrino. Avec la mise en place du gouvernement de
Régence en 10196, ce fut la fin de la période impériale de féodalité classique
et les formes allaient durer plusieurs générations par la suite. J.T.
Source : http://pivoine923s.blogspot.com/2016/07/imperium-les-modeles-feodaux-de-l.html
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